La soirée avait été fabuleuse, il l’avait emmené dans son restaurant préféré, dans le parc pour observer le feu d’artifice et ils avaient alors échangé un baiser avec un sentiment partagé mais aussi un message, le message d’un pacte bien plus important que tout autre chose, le pacte d’un amour éternel. Le dernier baiser qu’ils avaient échangé sous cet arbre aurait pu être le dernier de la journée, mais en réalité ils venaient d’ouvrir la porte à bon nombre d’autres baisers qui se promettaient d’être d'une passion infinie. La promesse était faîte, la liste oubliée…

Le désir… Une chose qu’Anatole n’avait presque jamais connu auparavant, pas sous cette ambiguïté, mais c’était quelque chose d’agréable, sa réchauffait tout son corps et troublait aussi ses sens divins, il lançait vers Jo’ de nombreux regards. Il ne savait pas ce qu’elle pensait en ce moment tandis qu’elle était accrochée à son bras, il avait l’impression cependant que leur envie était partagée… Mais il ne préférait pas s’avancer. Refouler ce désir ? Il ne sentait pas qu’il y arriverait… Mais si elle ne le partageait pas il le devrait.

Ils arrivèrent finalement devant la porte de l’appartement de la jeune femme, l’ange la regarda mettre la clé dans la serrure et notant une certaine énergie dans le geste pour ouvrir la porte, Anatole sourit, attendant alors le baiser qui clôturerait leur soirée, mais il n’en fût pas ainsi. En effet Jophielle semblait vouloir la même chose que lui, à l’aide d’un baiser elle l’entraîna chez elle, et lui, il la suivit avec joie. Avec ce baiser langoureux le ton était donnée, la nuit promettait d’être douce, douce comme la peau de la jeune femme pour Anatole.

Quand elle ferma la porte, l’ange sourit, ils étaient seuls en tête à tête… Il ne lui en fallut pas plus pour décupler son envie pour elle. S’avançant doucement vers la jeune femme, il se colla à elle avec tendresse pour la gratifier d’un baiser passionné qui faisait le témoignage de toute son envie pour elle. Il la voulait maintenant, il voulait conclure avec elle, il ne voulait ne faire qu’un avec celle qu’il aimait au-delà du raisonnable. Déboutonnant finalement le manteau de la demoiselle, l’ange lui retira avec une douceur infinie, ne se voulant pas brusque, voulant rendre l’instant magique.

Le jeune homme trouvait Jophielle toujours aussi magnifique dans sa robe bleue, c’était une déesse à ses yeux. Continuant toujours dans la douceur, Anatole posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, les caressant avec tendresse avant de se glisser jusqu’à l’oreille de sa bien-aimée, venant lui susurrer quelques mots d’une voix séduisante et pleine de désir :

— Laissons le désir prendre le dessus sur la raison…

C’était une sorte d’invitation, une invitation au plaisir, une invitation à passer cette magnifique nuit avec lui, l’accepterait-elle ? Anatole le croyait, c’est pour cela qu’il accompagna son invitation de cadeaux. Ces cadeaux commencèrent d’abord par un baiser sur l’oreille de la jeune femme avant qu’elle ne soit mordillée avec douceur. Le jeune homme ne savait pas si Jophielle apprécierait les gestes amoureux qu’il lui donnait en ce moment, mais il l’a connaissait et ce doutait que tout ceci ne la laissait pas de marbre… Le reste des cadeaux arriva alors, ce fût des baisers parsemés sur sa peau descendant subtilement jusqu’à son cou, à partir de là, l’ange avec un sourire malicieux fit un léger suçon à sa chère et tendre. Laissant une petite marque de son passage, cependant Anatole resta encore quelques instants à déposer ses lèvres sur le cou de la belle, s’enivrant de ce parfum si subtile qui lui plaisait tellement. Puis il reprit sa route, les épaules de la jeune femme étant nues il put continuer un petit moment avant de déposer quelques baisers papillons sur le haut de sa poitrine. Le rouge aux joues, il se fraya un chemin jusqu’aux lèvres de la jeune femme pour venir l’embrasser un court instant et lui faire un clin d’œil qui en disait long sur le reste de la soirée. Il sentait la chaleur monter petit à petit, le plaisir commençait doucement, mais ils avaient toute la nuit devant eux pour atteindre l’apogée…

Jophielle profitait du baiser, se laissant porter par le désire qui l'inondait. Anatole était venu déposer ses lèvres sur les siennes, lui faisant comprendre, que lui aussi il éprouvait ce même désire complètement fou mais merveilleux à la fois. Puis le jeune homme passa ses mains sur les hanches de Jo', ce qui eu pour effet de rendre son visage écarlate, ce n'est pas parce qu'elle en avait envie, que Jophi n'était pas intimidé par ça. Elle était encore vierge et l'idée de conclure leur relation dans quelques instants la perturbait tout de même un peu. Mais ses pensées étaient toujours balayé par la voix rassurante et velouté d'Anatole.

— Laissons le désir prendre le dessus sur la raison…

Jophielle rougit de plus belle, mais son corps se détendait, elle se laissa guider tout en passant les bras autour du coup de son amant. Une façon de lui faire comprendre qu'elle était toute à lui. Jophi senti les lèvres du jeune homme frôlé son oreille, son corps se raidit et devient plus brulant que jamais. Un point sensible, qu'Anatole ne semblait pas avoir eu de mal à trouver. Quand il se mit à mordiller cette dernière, Jo' laissa s'échapper un petit gémissement de plaisir. Jophi était transporté intégralement par le désir et la chaleur qui émanait de son corps était à la fois agréable et étouffante. Il en était sans doute de même pour son compagnon, Jo' prit donc l'initiative de lui enlever sa veste et de la jeté sur le canapé pour ne pas interrompre les surprises de plaisirs que lui offrait Anatole.

Jophielle avait levé la tête vers le plafond, Anatole avait commencé à lui dévorer le cou de façon avide et pourtant avec une douceur et une tendresse toute particulière qui rassurait alors Jophi dans ce moment important de sa vie que représentait la perte de sa virginité et de sa pureté. Ses dons angéliques, étaient en plein désordre, son désire résonnait presque avec celui de son amant comme une connexion angélique, ils étaient en pleine communion des sens. Pouvait-il ressentir les mêmes frissons que ceux qu'il provoquait chez Jophielle ? Ce dernier laissa une jolie trace à Jo' dans son cou, celle-ci réfléchissait déjà à la façon dont elle pourrait la cacher demain en cours. Mais son esprit était bien trop perturbé pour qu'elle trouve une solution crédible.

Les baisers d'Anatole étaient toujours aussi doux mais cette fois ils longeaient ses épaules nues, Jophielle en était toute émoustillée. Ses bras autour du cou de son amant tombèrent alors, pour se glisser sur son torse où elle lui retira maintenant son blaser pour commencer à déboutonner les boutons de sa chemise blanche. Le jeune homme continuait sa route jusqu'à arrivé aux seins de Jo', cette dernière ne put s'empêcher de gémir de plaisir. Quand il revint déposer un dernier baiser sur ses lèvres Jophi était toujours écarlate. Anatole lui fit un clin d'oeil qu'elle ne loupa pas. Jo' approcha alors ses lèvres de son oreille puis y susurra de douce parole entreprenantes.

— Ma chambre est par là...

Jophielle invita Anatole à la suivre, lui prenant les deux mains et l'attirant vers la porte blanche au fond du couloir. Son sourire angélique était débordant de bonheur même si le rouge sur ses joues ne désemplissait pas. Jo' lâcha les mains d'Anatole une fois devant la porte et se tourna face à elle pour l'ouvrir avec douceur et sensualité.

L’écarlate, une magnifique couleur sur une femme quand on l’embrassait avec tout le désir possible et c’était ce que portait sur les joues Jophielle. Cependant elle n’était pas la seule dans ce cas-là, en effet, même si c’était moins présent, le rouge était bien là. Et ce rouge était rehaussé d’un sourire à chaque fois qu’il entendait sa chère et tendre gémir sous ses lèvres qui s’appliquaient dans les baisers afin d’animer de plus en plus le feu de leur passion.

Le plaisir était bel et bien présent, des deux côtés parce que même si ses sens angélique était totalement embrumé par le désir qu’il avait pour Jophielle, Anatole la sentait, il sentait ce qu’elle ressentait à peu près, c’était comme s’ils étaient reliés et c’était magnifique… C’était tellement bien, il ressentait son désir et elle devait ressentir le sien. Ils étaient si proche l’un de l’autre, l’ange sentait l’excitation monter de plus en plus. Mais il restait doux, attentif et surtout il prenait son temps, c’était la première fois de Jophielle… Mais ce qu’elle ne devait pas réellement savoir c’est que c’était la sienne aussi. Pendant sa vie d’humain il n’avait consacré sa vie qu’a ses études puis dans sa renaissance ce fut Rose qui occupa tout son temps, il n’avait jamais eu de relation intime avec une femme et Jophielle, celle qu’il aimait de tout son cœur serait la première et la dernière de sa vie. C’était ce qu’ils s’étaient promis.

En sentant la main de la jeune femme il avait frémit, elle avait les mains chaudes et douces. Elle avait déboutonné sa chemise et lui souriait maintenant en la regardant avec un air malicieux. Anatole se laissa guider doucement vers la chambre, observant toujours l’ange qui faisait tant frémir son cœur et son corps. Finalement, elle ouvrit la porte de la chambre avec un geste sensuelle qui fit sourire Anatole, ce dernier s’empressa de ce coller contre Jophielle. Passant ses bras autour de la taille de celle qu’il aimait, le jeune homme vint déposer ses lèvres dans son ou et vint lui murmurer à l’oreille un « je t’aime » empli de désir. Il la voulait, il voulait être celui avec qui elle échangeait le bonheur de partager ce lit qui n’attendait qu’eux. D’une douceur extrême, le jeune homme vint caresser la poitrine de la jeune femme de sa main gauche, caressant son ventre de la droite. Ces caresses étaient lentes et chargés d’amour, il découvrait son corps en la touchant doucement.

Puis relâchant la jeune femme, il la porta comme une jeune marié jusqu’au lit avec un sourire malicieux. L’asseyant sur le lit, le jeune homme retira les chaussures de la belle puis les siennes avant de se glisser derrière elle. Caressant doucement ses cheveux, il les fit passer sur l’épaule de la jeune femme, dégageant ainsi la vision du système pour la libérer de sa robe si jolie. Il déposa donc ses lèvres dans le cou de la jeune femme à de multiple reprise. Faisant donc glisser la fermeture éclair de la robe, Anatole s’arrêtait parfois, glissant ses mains sous le tissu pour caresser la peau douce et chaude de l’ange avant de continuer dans la descente.

Une fois arrivé en bas, les mains d’Anatole vinrent se glisser sur les hanches de Jophielle, le dos de la jeune femme était collé à son torse et il ne l’avait jamais senti aussi proche de lui, tout devenait de plus en plus envoutant, les idées du jeune homme était à la fois claire et embrumé. Clair, car il savait ce qu’il voulait, car il savait que tout le désir, tous les frémissements qui le touchaient, toute cette chaleur était provoqué par tout ça, mais c’était embrumé car il ne pensait à rien d’autres qu’à prendre possession du corps de celle qu’il aimait, de lui faire l’amour avec tendresse afin de finir par dormir avec elle dans ses bras. Il voulait tout ça et il voulait que ce moment puisse durée une éternité, c’était tellement… Enivrant.

Il lui mordilla l’oreille avec amour, voulant entendre un nouveau de ces gémissements si exaltant. Il finit par lui murmurer quelques mots à l’oreille avant de la faire pivoter pour la regarder droit dans les yeux, voulant voir cette magnifique créature qui faisait battre son cœur. Elle était si belle, il vint alors se pencher pour l’embrasser avec fougue sur les lèvres, les mots qu’il venait de lui murmurer voulaient tout dire… « Je te désire, Jophielle. »

Jophielle avait ouvert la porte avec sensualité, à sa façon bien singulière. Elle n'eu le temps de faire qu'un pas avant de sentir les bras d'Anatole autour de sa taille et un nouveau baiser dans son cou, ce qui à nouveau lui arracha un gémissement de plaisir non dissimulé. Un nouveau frisson la parcourut au mots de son amant.

— Je t'aime.

Anatole l'avait murmuré avec douceur. Jophielle comprenait bien sûr la portée de ses paroles. Ce n'était pas la même que ceux qu'ils s'étaient dit jusqu'à présent, on y ajoutait aujourd'hui une notion de plaisir physique et de désire corporel. Jo' n'hésita pas une seconde, elle finit de détacher la chemise du jeune homme, il ne lui restait qu'un bouton, puis elle déposa un baiser sur son torse musclé, puis levant ses yeux vers ceux de son amant, Jophi lui susurra à son tour des mots doux.

— Je t'aime Anatole Michaels.

Jophielle s'était retourné pour l'attirer vers le lit mais sentit soudain le contact des mains du jeune homme sur son corps à travers le tissus de sa robe, un tissu peu épais. Jo' laissa s'échapper un nouveau gémissement de plaisir mais beaucoup plus profond que les précédents. La première sensation se fit sentir sur son sein droit, rendant sa poitrine plus ferme en un instant. La fièvre du désire et de tels frissons affermissaient les seins de la jeune femme, mais les rendaient aussi plus petits. Le rouge ne désemplissait pas du visage de Jophi, à la fois intimidé mais heureuse, et désireuse de poursuivre cette aventure. car on pouvait parler d'une aventure de plus celle de la découverte mutuelle du corps de l'autre. Jo' connaissait Anatole en tant qu'individu, sa façon de pensée, ce qu'il aime. Jophi connaissait presque tout de lui, mais sur ce terrain, celui du corps et du désire Jophielle était en plein apprentissage. Son sens divin en communion complète avec celui du jeune homme lui permettait aussi de comprendre mais surtout de ressentir comment ce dernier vivait ce moment d'amour brulant. Il semblait alors qu'ils le vivaient de la même façon tous les deux à quelques détails près.

Anatole souleva alors la jeune femme à la façon d'un prince charmant. Jophielle était aux anges, se faire porter ainsi avait toujours été un rêve pour elle. Jo' se retrouva quelques secondes après assise sur son lit, Anatole s'était abaissé pour lui enlever ses escarpins, il enleva rapidement ses propres chaussures et passa derrière Jophi. Jo' n'osait pas bouger, elle attendait fièvreuse qu'on la défasse de ses vêtements qui alors l'étouffaient. Son amant semblait l'avoir senti, il caressa doucement, avec beaucoup de délicatesse ses cheveux pour les laisser tomber sur l'épaule droite de la jeune femme. Jo' en eu des frissons à l'idée de ce qui allait suivre. Jophielle sentit alors les mains d'Anatole dans son dos, juste en dessous de sa nuque, ses mains chaude et douce, qui avec tendresse laissèrent glisser la fermeture éclair jusqu'au échines de la demoiselle. Jo' ne pensait pas que cela était possible mais ses joues se firent encore plus écarlates. Jophielle sentait les mains de son amant se glisser sous le tissu de sa robe et venir directement au contact de sa peau, son souffle se fit légèrement saccadé et des frissons la parcouraient de toutes parts.

Jophielle laissa les manches de sa robe retomber, il ne restait alors qu'un soutiens gorge blanc immaculé en dentelles pour la couvrir, sa robe demeurait toujours sur sa taille, Jo' était resté assise sans bouger. Elle sentit alors la peau du torse de son ami se coller à la sienne. Un baiser lui arrache de nouveau un gémissement, son oreille était définitivement un endroit sensible. Puis il lui murmura de nouveau un petit quelque chose "J te désir Jophielle". Cette dernière se laissa porter par Anatole, il l'invita à se retourner vers lui se qu'elle fit sans mal pour recevoir un baiser langoureux.

Jophielle était comme possédé, son désire la dominait totalement, et en réponse aux mots doux de son ami, Jo' le repoussa avec douceur de ses deux mains posé contre son torse, elle s'amusa à déboutonner le bouton de son pantalon, puis vint s'allonger sur lui et l'embrasser de nouveau avec tendresse sur ses douces lèvres au goût sucré. Jophi s'assit alors sur le ventre d'Anatole, passant ses jambes de part en part, Jo' lui adressa un sourire malicieux avant de mettre ses mains dans son dos, pour dégrafer son soutien gorge elle même. Puis d'un geste gracieux laissant découvrir sa poitrine, la demoiselle le laissa tomber hors du lit d'un petit coup de poignet. Puis venant se coller à la peau chaude du jeune homme sa poitrine nue et fraiche. Jophielle le regarda un grand sourire aux lèvres. Puis déclara en chuchotant.

— Je te désire, Anatole.

Le désir faisait monter la température de minute en minute dans la chambre de Jophielle et ce n’était pas la seule chose qui montait. Anatole rougissait de plus en plus d’une part à cause du plaisir d’être si proche de celle qu’il aimait, de goûter à ces douces lèvres qui n’étaient que pour lui, mais il n’y avait pas que ça, il rougissait car il avait une douleur à l’entrejambe. Ses atouts masculins étaient aussi excités que lui et la bosse qui se formait sous son pantalon en était la preuve parfaite et le pantalon étant maintenant trop serré lui procurait une très désagréable de douleur.

Comme si elle avait entendu ses plaintes intérieures, la jeune femme déboutonna le pantalon d’Anatole qui en fut tout de suite soulagé, échappant quelques instants de plus à cette pression horrible de son membre. Quand sa déesse vint s’allonger sur lui, le jeune homme la serra contre lui, appréciant ses lèvres, mais aussi le contact de la dentelle du soutien-gorge de l’ange qui était vraiment très doux presque autant que sa peau et qui provoquait chez Anatole un désir grandissant à cause du frottement du tissu contre lui. Cependant le contact avec cette lingerie si douce qu’il commençait à aimer considérablement fut le dernier de la soirée au niveau de la poitrine.

Jo’ venait de s’assoir sur son ventre et avec un sourire malicieux avait retiré ce qui emprisonnait ses seins. Devant les deux globes de chair, Anatole ne put s’empêcher de se sentir rougir, il se demandait si ils étaient doux… Il en eux la réponse quand sa princesse vint s’allonger à nouveau sur lui, pressant sa poitrine contre lui. Doux, mais aussi étonnement frais vu la chaleur corporelle actuelle de la jeune femme, l’ange en fut surpris, c’était quelque chose d’incroyable. Observant le regard empli de désir de la jeune femme, il ne put s’empêcher de l’embrasser avec une profonde envie quand elle lui dit le vouloir aussi. Cependant, il lui réservait bien des surprises pour la suite, un petit jeu de qui prendra le dessus commença entre eux deux.

Affichant un large sourire, le jeune homme fit basculer Jophielle sur le côté, avant de revenir près d’elle, il retira son pantalon, laissant apparaître son boxer noir d’où on pouvait voir une certaine bosse apparaître. Venant par la suite placer ses mains de part et d’autre de la tête de la jeune femme, le jeune homme l’observa, elle était presque nue, elle semblait tellement vulnérable mais elle était aussi très mignonne sous cette apparence… Approchant sa tête de celle de Jo’, Anatole vint coller son front et la regarder dans les yeux avec un désir qui ne cessait de monter en lui, il avait chaud, très chaud et sa peau en était la preuve, elle était brûlante. L’embrassant avec amour une nouvelle fois, le jeune homme fit glisser ses lèvres le long du corps de la belle. Passant ces dernières sur son cou, entre ses seins et sur son ventre, il atteignit au final la robe qui n’était pas enlevé et qui avait juste glissée à la taille de Jophielle.

L’ange aux désirs grandissant saisit doucement la robe et la fit glisser le long des jambes de la jeune femme avant de la poser par terre sans brusquerie. Finalement, il observa le dernier vêtement de Jophielle et avec un sourire malicieux, il vint couvrir de son corps la moitié de celui de sa princesse, évitant ainsi de l’écraser et que ça ne devienne un calvaire pour elle. Ce saisissant des lèvres sucrées qu’il adorait tellement rencontré avec les siennes, Anatole fit parcourir ses mains le long du corps de sa petite-amie. Caressant avec tendresse chaque endroit de sa peau, le jeune homme finit par laisser sa main gauche au soin du sein droit de la douce créature. Il pétrissait doucement le globe de chair sans lui faire de mal, puis ne voulant pas délaissé l’autre, il fit descendre ses lèvres au niveau du sein qui était seul pour venir le lécher avec tendresse et le suçoter avec amour son téton. La poitrine de la belle était douce et ferme surement en réponse à ses caresses.

Mais il ne s’arrêtait pas à sa poitrine, venant glisser sa main libre sous le dernier vêtement de Jophielle, Anatole caressa la partie la plus sensible de son corps, l’intimité de la jeune femme était quelque peu mouillée, surement à cause du traitement que lui infligeait l’ange depuis qu’ils étaient rentrés. Arrêtant ses mâchouilles sur le sein de Jo’, il regarda sa chère et tendre aux joues cramoisies, remontant jusqu’aux lèvres de la demoiselle, il l’embrassa avec amour au moment de faire entrer deux doigts en elle. Ils partageaient chaque chose qu’ils ressentaient et Anatole mesurait l’envie réciproque qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre et c’était presque magique… L’ange approfondit le baiser avec ardeur tout en jouant avec ses doigts en Jophielle, chacun des gémissements de la jeune femme rendait le jeune homme plus fou d’envie de ne faire qu’un avec elle, de partager un moment très intime…

Jophielle s'était bien amusé en provoquant Anatole avec son soutien gorge mais le jeu ne faisait que commencer et ce dernier l'avait bien comprit. Il bascula avec douceur amenant la belle demoiselle sous lui, complètement impuissante devant la force du jeune homme, Jo' s'avoua vaincu pour un temps, mais il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer, Notre petite ange est pleine de ressources. Anatole avait continué avec de tendre baisers, plein d'un désir profond, que son sens angélique ne cessaient de capter. De plus la chaleur de la peau du jeune était un signe indéniable de son état physique et psychologique. Jo' découvrit alors l'objet de son désir mais aussi de sa curiosité, quand Anatole retira son pantalon, Jophi put constaté que sous le fin vêtement une petite montagne se dessinait. Qu'est-ce qui pouvait bien si cacher ? Et surtout à quoi ça ressemble ça ?! Jophi n'était pas vierge pour rien, tout était objet à découverte dans ce moment sensuel et sérieux. Toutefois un petit rire passa sur ses lèvres, amusée par la situation, et surtout par sa propre ignorance...

Mais elle ne rit pas longtemps quand Anatole s'occupa de lui retirer sa robe. Cette fois Jophielle était rouge écarlate, mais presque tomate, vous voyez ?! Rouge de honte, un peu gêné par sa nudité, il faut avouer qu'elle n'avait pas l'occasion de se montrer ainsi régulièrement devant des hommes. Il ne lui restait que sa petite culotte en coton blanc. Ce n'était pas celle d'une femme sexy, mais juste celle d'une jeune fille de dix huit ans toujours vierge, et à vrai dire la forme et la couleur de ses sous vêtements ne l'avaient pas préoccupé jusqu'à présent personne n'était en état d'en prendre connaissance alors pourquoi dépenser autant d'argent pour ce genre d'apparat si on vous les enlève cinq minutes après. Jophi ne l'avait jamais comprit jusqu'à aujourd'hui à ce moment même, où l'idée lui vint qu'elle aurait peut-être pu être plus sexy pour faire plaisir à son amant. Ce sera pour une prochaine fois.

Soudain Anatole posa son front sur celui de Jophielle encore toute "tomate" pour évoquer l'intensité de sa couleur. Puis il déposa un doux baiser avant d'en recouvrir son corps provoquant quelques gémissement qu'elle voulait discret, mais que son amant ne manqua pas de remarquer au vu de son sourire en coin. Jophielle était comme possédé, complètement vulnérable, débordant de plaisir. Anatole venait de poser une main sur son sein droit et l'autre avait parcourut le chemin qu'aucune autre n'aurait pu tenter avec autant d'audace arrachant un gémissement beaucoup plus audible à la demoiselle, Jo' se mordit la lèvre inférieur et ferma les yeux en se cabrant un peu pour supporter se débordement de nouveautés, elle était de plus accablé par son sens angélique des sentiments et sensations du jeune homme, son coeur état au bord de la faillite, pourrait-elle rester consciente encore longtemps ? Pourrait-elle alors se permettre de tergiverser sur des détails aussi insignifiant que le peu de vêtement qui la recouvraient alors. Il semblait que non. Son esprit était tout absorbé par les actes du jeune homme.

Jophielle n'en oubliait pas l'attention que lui portait son amant au niveau de sa poitrine, elle n'en fut que plus rouge, mais son corps prêta beaucoup plus d'important à la main audacieuse du jeune homme, un corps étranger en elle ne passait pas inaperçu et son organisme le faisait savoir de façon plutôt originale. Anatole l'embrassa tendrement avant de profiter de cette diversion pour faire agir les petits soldat de son armée appelé main audacieuse. Jophielle se cambra alors de plus belle détachant promptement ses lèvres de celle de son petit ami sans même attendre la fin du baiser pour lâcher un petit cri aigüe de plaisir et de surprise. C'était une sensation toute nouvelle et si inattendu... Comment prévoir ?! Ce fut alors qu'Anatole s'empara avec plus de force des lèvres de Jo' lui offrant un baiser beaucoup plus puissant pour étouffer ses cris, il n'advenait alors que des gémissement virulents que les petits soldats provoquaient sans vergogne, avec enthousiasme. Jophielle était totalement impuissante, et n'éprouvait alors que du plaisir en oubliant tout le reste. Ils étaient deux et leur nuit allait bientôt se conclure. Jophi n'attendait plus que le corps étranger qui entrerait en elle ne soit pas un petit soldat mais le roi.

Chacun des gémissements de la jeune femme étaient comme une bouffée d’air frais emplis de désirs pour Anatole. Mais alors quand elle poussa un petit cri aigu alors que ces doigts commençaient à jouer en elle, l’ange sourit, il était heureux de partager un tel moment avec elle et surtout de lui faire découvrir de nouvelles sensations. Le jeune homme se saisit des lèvres de la belle, étouffant ces petits cris si mignons quelques instants d’un baiser ardant tandis qu’il continuait de faire jouer joyeusement ses doigts en elle, la préparant un peu pour la suite de cette nuit qui n’était pas encore terminée. Le corps de Jophielle se cambrait sous les mains du jeune homme qui en était ravi, mais qui se faisait toujours aussi doux, d’ailleurs c’est ce qu’il était tout le temps alors ça ne changerait jamais et surtout le corps qu’il avait sous les yeux méritait de la douceur, il n’avait nul besoin de violence, il voulait de l’amour. Fin du moins c’était ainsi qu’Anatole voyait les choses et il comptait bien donner ce qu’il faudrait à la jeune femme pour la rendre heureuse et ne jamais la faire souffrir c’était aussi une des choses qu’ils s’étaient promis.

Le cœur du jeune homme battait très fort, mais il n’était pas le seul, il sentait aussi le cœur de sa bien-aimée contre sa peau et il avait l’impression qu’il allait lâcher tellement il battait fort ! Avec délicatesse il posa sa main au-dessus du cœur de sa belle, cherchant à l’apaiser légèrement, il ne voulait pas qu’elle perde connaissance, surtout avec ce qui allait suivre. En effet le corps de la jeune femme était de plus en plus stimulait par les doigts d’Anatole qui s’afférait en elle, l’ange le ressentait grâce à cette communication divine entre eux mais aussi en sentant la cyprine qui s’écoulait doucement du corps de la belle qui ne portait plus que sa culotte sur elle, le dernier obstacle à l’accomplissement de cette nuit…

Il cessa alors tout activité sur le corps de sa petite amie, se déplaçant maintenant jusqu’à la culotte de cette dernière, il s’en saisit doucement et la fit glisser le long de ses jambes avant de la lancer doucement avec le reste des affaires envoyés autour du lit, regardant finalement quelques secondes l’entrejambe de la jeune femme, Anatole sourit et lui fit un clin d’œil complice, il était le seul à ne pas avoir encore tout dévoilé. Finalement, il se débarrassa du boxer qui commençait maintenant à le gêner, dévoilant ce qui causait depuis tout à l’heure la bosse sous ses vêtements, son atout masculin. Anatole laissa à Jo’ le temps de regarder ce qui allait entrer en elle, elle l’avait laissé regarder son intimité, il en faisait autant. Le membre dressé, qui était excité à cause des toutes les caresses et baisers ardent de la nuit, n’était pas le plus grand du monde mais restait légèrement au-dessus de la moyenne et à voir sa manière de frémir on pouvait deviner qu’il ne voulait qu’une chose : aller se réfugier au plus profond de Jophielle afin de lui donner du plaisir avant tout.

Le jeune homme revint au-dessus de son amour, la regardant avec tendresse droit dans les yeux, le rouge aux joues, il gémit doucement car il sentit son membre venir se frotter à l’intimité de la jeune femme et par la suite ce raidir un peu plus. Il fixa finalement Jophielle, affichant un sourire rassurant, le temps était bientôt venu… Bientôt il ne ferait plus qu’un.

— Tu es prête ?

La question pouvait sembler être bête, mais il voulait savoir c’était leurs premières fois et il se souciait de Jo’, il ne voulait que son bonheur. Quand il vu que la réponse fut oui, le jeune homme hocha la tête et glissa sa main dans celle de la jeune femme pour la rassurer mais aussi pour qu’elle la serre si elle voulait exprimer sa douleur. Puis Anatole fit descendre son bassin le rapprochant ainsi de celui de la belle, entrant ainsi son membre en Jophielle avec douceur, la douleur allait sûrement lui venir et c’est pour cela que le jeune homme lui lançait quelques regards inquiets et réconfortants, voulant la rassurer et voir si ça se passait bien…

Jophielle sentait son coeur battre, la chaleur était monté rapidement dans la pièce, toutefois elle n'était en rien étouffante mais plutôt rassurante, à la façon d'un feu de cheminé qui enrobe les coeur glacés par le froid hivernal. Anatole semblait avoir senti la même chose que Jo', il posa une main sur son coeur pour en apaiser les battements irréguliers et sauvages. La douceur et le caractère attentionné du jeune homme rassuraient énormément Jophi, son esprit devint plus calme et ses inquiétudes s'envolaient, laissant place à une plénitude de désir. Cependant ses gémissements continuèrent, ses petits cris étouffé par les petits soldats qui s'attaquaient à son royaume.

Soudain, les soldats déposèrent leurs armes, laissant Jophielle savourer un moment de répit, mais celui-ci fut plutôt inquiétant. Jo' commença à devenir rouge pivoine au moment où Anatole lui enleva le peux de vêtements qu'il lui restait, il venait de passer la muraille du royaume. Son armée avançait à grand pas vers le trésor enfouit. Jo' se senti nue, bien sûr, elle l'était, c'était ça le problème... Prise d'une pudeur foudroyante, elle mit ses mains sur ses yeux, cachant son regard chocolaté. Quand Jophi comprit qu'Anatole ne comprenait pas forcément son geste, elle l'expliqua avec une petite voix honteuse.

— Tu ne me vois plus n'est pas ? Je suis caché ! Personne ne voit que je suis toute nue ! Non personne !

Jophielle entendit un petit ricanement. Elle comprit vite le ridicule de son geste. Puis retirant les mains de ses yeux Jo' aperçu le roi. Il était la droit, fort et puissant, de quoi terroriser un régiment ! Mais étrangement, le royaume ne lui opposait aucune résistance. Voir pire, il s'offrait à lui. Jophi frémissait de désir pour Anatole. Et quand le roi effleura les porte du royaume, le rouge pivoine passa à l'écrevisse. Jo' lâcha un petit gémissement, mais cette fois elle n'était pas la seule, et celui de son amant était tout aussi plaisant à entendre, la rassurant un peu plus sur le désir commun des deux êtres. Anatole souffla des mots que Jophielle n'avait encore jamais entendu dans de telles circonstances.

— Tu es prête ?

Jophielle lui sourit tendrement, la raison avait repris le dessus. Toutefois le désir était devenu raison.

— Je suis prête mon ange. Je t'aime.

Anatole hocha la tête avec approbation, ils étaient prêt tous les deux. Le moment était venu où le roi prendrait le royaume pour quelques instants. Le jeune homme prit la main de Jo' dans la sienne, cette dernière ne comprit pas tout de suite, mais accepta le geste attentionné de son amant. Il lui portait un regard bienveillant et inquiets, Jophi n'en comprenait pas non plus le sens. Mais quand le roi, de sa prestance et de sa grandeur, fit son entrée dans le royaume, Jo' comprit toute l'utilité de cette main tendu, qu'elle pressa légèrement. Le plaisir était serte présent, mais une mince douleur se fit sentir. Jophielle n'avait pas l'habitude et c'était devenu une évidence. Une larme coula le long de sa joue. Son souffle se fit plus rapide et saccadé. Ses cris plus fort, mais contenu dans un souffle suffoquant. Jophi lâche brutalement la main d'Anatole, l'enlaçant, autour du coup avec force, en se cambrant, elle déposa sa tête au creux de l'épaule de son amant et lui souffle un "je t'aime" brulant.

Le roi était entré dans le royaume dont Jophielle était la reine, Anatole s’y sentait bien, il avait l’impression de ressentir tout ce que faisait la jeune femme, il pouvait sentir chacun des battements de son cœur, cependant, il ne pouvait s’empêcher de regarder sa bien-aimée avec des yeux rassurant, surtout lorsque la présence du monarque en elle se fit sentir, elle pressa la main de l’ange qui fit apparaître sur ses lèvres un sourire rassurant. Tout se passait pour le mieux et ces petites attentions dont il faisait preuve à l’égard de la belle n’y étaient pas pour rien. Une larme roula alors sur la joue de Jo’. Avec un large sourire, le jeune homme vint embrasser la joue de la jeune femme, prenant alors possession de la larme qui vint humecter ses lèvres.

Maintenant entré de toute sa longueur, le roi commença à mener de doux assaut à l’intérieur du royaume, cherchant à s’approprier la moindre parcelle de terre. Continuant la conquête en ces terres, le monarque accentua alors les assauts, les rendant de plus en plus rapides et forts. De cette bataille intérieur on entendait que le souffle accéléré d’Anatole et les gémissements de sa chère et tendre qui peu à peu se transformaient en des cris. Ils ne faisaient qu’un et cette sensation donnait un plaisir sans borne à l’ange qui assaillait le royaume de Jophielle.

Quand la jeune femme vint se réfugier dans le cou de son amant pour lui murmurer un je t’aime en ce cambrant, il se sentit trembler de tout son être, le roi avait pris possession des terres du royaume de la belle et maintenant il était temps pour lui d’y laisser une trace de son passage. Tout comme sa princesse, le jeune homme se cambra, le roi s’enfonçant dans les terres les plus reculées du royaume, Anatole gémit de plaisir, le monarque venait de déposer sur le royaume son butin.

Retirant alors le roi vidé et dépouillé de sa fortune du royaume qu’il venait de conquérir, Anatole serra sa bien-aimée dans ses bras, pour basculer avec elle et l’avoir sur lui, dans le but de ne pas l’écraser. Il affichait un sourire heureux, il reprenait son souffle en écoutant aussi celui de son amour, elle allait bien. La serrant dans ses bras, tendrement, il l’embrassa sur les lèvres avec amour. Cette bataille avait été rude pour les deux parties et Anatole commençait à sentir la fatigue monter en lui, cependant il ricana légèrement en prenant la main de Jophielle dans la sienne et en déposant ses lèvres dessus.

— Tu sais ? Je te vois !

Il ria légèrement avec la jeune femme avant de fermer les yeux en murmurant un je t’aime plein d’amour qui encourageait à ne faire que des rêves en cette première nuit qu’ils allaient passer dans les bras l’un de l’autre. La joie du jeune homme résidait aussi dans le fait que demain matin la première personne qu’il verrait en ouvrant les yeux serrait celle pour qui son cœur bat et c’est accéléré pendant leurs ébats. Et ça rien ne pouvait plus le combler de bonheur…