Olive Gantir

FICHE DE PRESENTATION

Jusqu'où êtes-vous prêt à aller pour votre confrérie ?

« Aussi loin que l’on me demandera ! »

« NOM & PRENOM  » ▬ IT'S ALL IN YOUR MINDS.   Agée de seulement 18 ans, elle a connu les railleries depuis sa toute petite enfance. Vous me direz, pas étonnant avec le nom qu’elle a. Mais ce nom fait partit de ce qu’elle est. C’est un nom particulier pour une personne particulière, voilà ce qu’elle dit. Olive est une personne qui est forte, qui aime aider les personnes avec qui elle entretient une amitié. Elle ne voit plus le monde comme une enfant, elle sait que certaines personnes sont capables des pires choses. C’est pour cela qu’elle se méfie des gens lorsqu’elle ne les connait pas. Elle aime passer des soirées entre amis et s’en faire de nouveaux. Elle ne loupe jamais une occasion pour fêter quelque chose et sortir une bonne bouteille. Généreuse de nature, elle aime faire plaisir à ses amis et ne demande pas de chose en retour. Mais elle déteste les personnes qui profite de sa générosité et le plus souvent elle leur fait payé. Dès qu’une émotion un peu plus vive l’émeu, sa queue de lionne sort. Son esprit de coopération et d’entre aide lui est venue juste après sa première transformation. Ne contrôlant toujours pas ses métamorphoses elle essaie sans résultat d’apprendre à le faire. Mais elle est déterminée et sait qu’elle y arrivera un jour. ▬ IT LOOKS JUST LIKE YOU'D WANT TO.     Plutôt grande(1m70) et mince. On dit d’elle qu’elle ne passe pas inaperçu, ses regards sont souvent aguicheurs, elle s’amuse avec cela. Ses yeux vont du bleu clair à très foncé selon le temps qu’il fait. Sa longue chevelure châtain rougeâtre est l’une des choses à laquelle elle tient le plus. En couper une mèche serait comme un sacrilège à ses yeux. Olive a une cicatrice d’une vieille brulure de cigarette sur la main qui lui remémore toujours la première fois qu’elle s’est transformée. Elle porte une chemise cravate pour essayer de se faire passer pour une élève qui bosse. Bien que ce ne soit absolument pas le cas. Elle porte un short noir qui est plutôt provocant puisqu’il est très taille basse. Sa queue de lionne sortant à l’improviste, elle en avait assez de recoudre ses shorts. Elle en a donc refait un assez bas pour que sa queue puisse sortir sans déchirer de vêtement.

DERRIERE L'ECRAN ■ Prénom : Cal’ ■ Age : 18 et des brouettes ■ Comment as-tu connu le forum ? Par une amie. ■ Quelque chose à dire ? Le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui. Jean de La Bruyère ■ Quand un pamplemousse te sourit, tu fais quoi ? Je sors le sucre et je me jette dessus =P ■ Dans les kinder, tu préfères la surprise ou le chocolat ? Chocolat, moi? Gourmande... Absolument pas ^^ ■ Tu t'entends bien avec Bob l'Éponge ? Même plus que bien, je connais toute sa vie. ■ Code [OBLIGATOIRE] : Abracabidouille, c’est le nouveau truc des magiciens. THE LITTLE DOLL ■ Genre : Femme ■ Date & Lieu de Naissance : le 3 août à Londres ■ Race : Hybride lionne ■ Orientation Sexuelle : Homme ! ■ Niveau d'étude : Terminale ■ Confrérie choisie : Guilty

▬ THE LOST DECADES.

«La vérité, toute la vérité, rien que la vérité»
Tel ont été mes mots lorsque l’inspecteur m’a interrogé. Bien sûr cette phrase n’était que mensonge. J’aurais voulu pouvoir dire seulement les mots justes, ce qu’il s’est réellement passé mais il ne m’aurait pas cru. Je sentais son regard inquisiteur sur moi, j’ai sentis cette chose, si détestable, grandir en moi. J’ai prié pour que ça ne se reproduise pas, surtout devant un agent de police...

Mais commençons par le début.
-Apéro !!!
Voilà, le mot qui résume mes soirées de lycéenne. Je passe la plupart de temps à sécher les cours surtout depuis mes «problèmes». C’est comme cela que l’appelle ma mère.

La première fois c’est arrivé en boite de nuit, je venais d’arriver, seule pour une fois, je voulais absolument y aller. Un homme plus que charmant m’a proposé un verre évidement j’ai accepté. Le seul petit hic, c’est que je n’ai pas fait attention à ce verre, il avait mis quelque chose dedans. Sans le savoir j’ai donc avalé d’une traite le verre. L’homme était tout sourire et n’a pas été étonné de me voir partir en courant vers les toilettes. Le repas du soir avait fini dans la cuvette. Je me suis accrochée au bord du lavabo, me suis rafraichis et il est arrivé.
-Ce sont les toilettes des dames ici.
-Oh mais je ne suis pas venu ici pour ça, je suis venu pour toi. J’aimerais que tu me donne ton argent, tes bijoux, tout ce que tu as de valeur.
Ma vue se troubla peut être sous l’effet du cocktail que j’avais bu. Mes pensées se bousculaient, cet homme qui venait de me payer un verre me rackettait à présent. Il n’était pas le premier à vouloir me faire ça mais il fut le premier à sortir un couteau pour m’intimider. Le racket n’était pas tellement étonnant, je venais toujours ici et je dépensais toujours beaucoup d’argent puisqu’on peux dire que j’en ai pas mal à dépenser.
Mon coeur s’affola, il battait si vite que ça me faisait mal. Il alluma une cigarette et de son autre main fit tourné distraitement le couteau entre ses doigts. J’avais appris des moyens d’auto défense mais j’étais troublée, la peur me fit tout oubliée. Il s’approcha de moi. Mes membres tremblaient. ,. Je reculais jusqu’au mur et il continua d’avancer, il me prit par la gorge. Je suffoquais, mes yeux s’emplirent de larmes. Je mis ma main sur la sienne pour l’empêcher de resserrer son étreinte mais il enfonça sur le dos de ma main sa cigarette encore rougeoyante. Il la jeta ensuite par terre tandis que je retirais ma main et poussais un cri qui me fit perdre le peu d’oxygène qui me restait dans les poumons.

Soudainement je n’eus plus peur, je ressentis un accès de colère interrompre toutes mes pensées. Il n’y avait plus qu’une rage folle contre cet homme Je lui pris fermement les poignets, si fort qu’il me lâcha. Il recula de quelques pas en me montrant son couteau.
-Si tu ne veux pas que ça dégénère donne moi ton fric !
Au lieu d’accepter, je me j’avançais vers lui, la rage devait déformer mes traits. Tous mes membres me faisaient souffrir, pas d’une douleur cuisante à hurler, non, plutôt une douleur constante. Cette douleur était partout, pas seulement mes muscles mais aussi mes os. Je sentis l'apesanteur prendre le dessus sur moi et me forcer à me mettre à quatre pattes. Je me jetais sur lui en hurlant. Sous ma force, sa tête bascula contre le mur et il tomba évanoui. Je voulu me relever, sans y parvenir.
Et c’est à ce moment que j’ai vu mon reflet dans le miroir. Mon souffle en a été coupé. J’ai d’abord cru que cet animal était derrière moi sauf que je n’y voyais pas mon reflet. Ce n’est seulement lorsque j’ai bougé et qu’il a fait les mêmes gestes que moi que j’ai compris. Ne voulant pas m’y résoudre, j’ai foncé dans le miroir, le cassant en mille morceau. Mais lorsque j’ai posé mes yeux sur mes bras, la réalité était toujours là. Des pattes avaient remplacé mes bras, des pattes de lionne. Je me suis défoulé sur tout ce que je pouvais atteindre, tous les meubles. Il n’en restais rien. Sous la musique battante, personne n’a entendu.

On ne m’a retrouvé que quelques heures après lorsqu’une personne est rentré au toilette. Et voilà ce qu’elle a vu dans cette pièce. Une jeune fille nue qui avait perdu connaissance.
Et voilà pourquoi je me suis retrouvé au commissariat. Il en ont déduis que c’était l’homme qui m’avait enlevé mes vêtements mais qu’il n’avait pas pu aller plus loin mais qu’il m’avait tout de même volé tout mon argent. J’ai essayé de leur expliquer que ce n’était pas ça, mais que pouvais-je leur dire? La vérité.... Non... Je les ai donc laissé s’imaginer que c’était bien une agression au lieu d’un racket. Je n’allais pas leur dire que c’était la transformation qui avait déchiqueté tous mes vêtements, je leur ai dit que je ne me souvenais de rien.
Le lendemain, j’ai tout d’abord pensé que ça n’avait été qu’un rêve. Mais lorsque sous la colère, l’apesanteur a de nouveau pris le dessus sur mon corps, j’ai compris que c’était réel. Cette soirée là, j’ai mis ma chambre en lambeau. Je n’ai rien expliqué à ma mère et tout ce qu’elle a voulu c’est que je quitte la maison.
Je ne l’ai pas quitté, du moins pas juste après. Et c’est à ce moment que pour ma mère mes problèmes sont apparus. Dès que nous nous prenions la tête, je courrais me réfugier dans ma chambre tandis qu’une longue queue déchirais ma chair et grandissais hors de moi. À chaque émotion trop forte cette satanée queue sortait dans le bas de mon dos. À chaque fois, la douleur de cette transformation devenais de moins en moins forte ou peut être m’y habituais je.
Ma mère n’a pas supporté longtemps tout ceci et elle m’a jeté dehors.
J’ai erré dans les rues la journée qui a suivit. Une vieille dame sortit de nulle part s’est jetée sur moi lorsqu’elle m’a vu. Ma queue est sortit si vite que je n’ai pas eu le temps de la cacher. Par chance, il faisait nuit. Cette vieille femme au regard perdu et à la peau ridée m’a murmuré.
-Shaded Academy.
Elle m’a ensuite lâché puis m’a regardé d’un air questionneur. Comme si elle ne se souvenait pas de la scène qui venait de se produire.
J’ai fais quelques recherches sur cet établissement et étant en Angleterre. J’ai pris le premier avion pour y aller, sans faire attention au prix bien sûr. Ma mère c’est toujours évertuée à me mettre de l’argent sur un compte. C’est pour cela que j’avais toujours dépensé sans compter. Et je suis partie pour cette Academy avec seulement un sac à dos, contenant quelques bières, des habits de rechange et une liasse de billet.

© Shaded Academy

Bonsoir /o/.

La Présentation est super ♥ Tu es validée n__n.
J'espère que tu te plairas parmi nous :D
Si tu as des questions, n'hésite pas °°.

Super :D
Merci beaucoup !!