La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] 595583Sanstitre1ban123



 
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La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]

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MessageSujet : La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeSam 17 Avr - 18:17


Humain & Leader Distraught

Beverley Hellsein
Beverley Hellsein
Humain & Leader Distraught

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    Vingt-deux, Magali, vingt-trois, Emilie vingt-quatre, Constance…

    Compter et nommer des roses, j’étais tombé bien bas. Ces petites fleurs, aussi éphémère que leur beauté, m’exaspéraient. Ne pouvant toutefois pas me détacher de leurs emprises si envoutantes, je restais planté là à les regarder, à les énumérer. Leurs pétales de couleurs pastel rompaient l’harmonie verte du buisson sur lesquels elles étaient plaçées. Leurs épines quant à elles, seules taches d'une belle toile de perfection, attendaient patiement l'inatention de quelqu'un de stupide pour s'enfoncer sournoisement dans une chair tendre, une chair humaine. Et à ce moment là, agitant tout le corps, perturbant un organisme si fragil, le sang coulerait doucement le long de l'index de la jolie petite fille naïve qui s'est crue, l'espace d'un instant, plus forte que la nature. Elle aurait été punis, punis d'avoir aproché de si près telles merveilles. Punis de chercher à rendre réel une stupide petite chose qui semblait tout droit sorti d'un tableau de peintre reconnu. Relevant le menton, j’avalais ma salive, soupirant doucement devant d’une telle beauté. Ces jardins étaient sans aucun doute un des seuls lieux qui pouvaient trouver grâce à mes yeux. Ils étaient si beaux, si fleuris, tellement attendrissant… Cette description copieusement méliorative de ma situation me rendrait presque malade. Qu’est ce que je fessais là, au milieu de toutes ces fleurs de printemps, à batifoler comme une petite fille sage ? Allons allons, ressaisie toi, ferme les yeux, inspire, expire…

    Vingt-cinq, Elisabeth, vingt-six, Caroline, vingt-sept, Françoise…

    Et je recommençais, maladivement. Soupirant, j’orientais mon regard vers un grand cerisier planté au milieu d’une pelouse. Juste à ses pieds, un petits banc de bois se dressait vaillamment sur ses quatre pattes, insensible à chaque brise de vents. Et pourtant il y en avait du vent, fesant frémir chaques buissons, balayant les arbres, fesant danser leurs feuilles sur une mélodie douce du chant des premiers criquets de la saison. Je humais l’air, l’odeur de mon shampoing me remontait jusqu’aux narines. Mes cheveux, virevoltant dans tout les sens commençaient à m’agacer. Repoussant ces derniers de mon visage d’un coup de main agile, je me mis à marcher, longeant le chemin de graviers. Les petits cailloux crissèrent sous mes pas, je souriais. Un sourire idiot, un sourire sans aucune valeur, dévoilant mes dents blanches et mes canines allongées. Enfin, les dévoiler aurait été un terme approprié si seulement il y avait eu quelqu’un pour les voir. Néanmoins, et aussi habituel que ça soit, j’étais seule. Il faut dire, il était tard, il fessait nuit. Qui, du peu de gens que j'avais le plaisir de conaître, aurait osé m'accompagné dans cette balade nocture ? A peine éclairé par de petites lampes cachées dans les buissons, je frémissais. Posant mes prunelles sur l’immensité noire qui s’étendait au dessus de moi, j’admirais le scintillement de toutes les petites étoiles qui osaient se dévoiler à mes yeux d’humaines. Je ricanais, dépitée de constater que pour la énième fois que mes pensées étaient dénuées de sens. ‘Mes yeux d’humaine’… A qui mentais-je si ce n’est à moi même ?

    La lune, belle et grand astre de la nuit perçait le ciel. Eclairant mes pas du mieux qu’elle le pouvait en reflétant la lumière du soleil, je ne manquais pas de me cogner un peu partout, trébuchant sur la moindre pierre un peu trop pointu. Lâchant au passage, quelques jurons qui n’étaient pas vraiment digne d’une femme de mon âge. Aie. Cette fois ci, j'avais vraiment eu mal, je soupirais. Mes jambes tremblaient, je ne leur en voulais pas, j’avais froid, j’étais fatiguée. Elles cédèrent sous mon faible poids, je ne m'en rendis compte qu'un fois au sol. Ecrasée par terre comme une lamentable larve, je fermais les yeux un instant. Ne pas pleurer, ne pas penser à tout ce que tu as perdue, ne pas pleurer, ne pas pleurer… Fermant les poings, rouvrant les paupières, je chantonnais pour distraire mon esprits de toutes pensées. Ma voix, s’élevant doucement dans l’obscurité chatouillait mes oreilles. Me concentrant sur ma respiration, je me ressaisissais lentement, continuant la mélodie que j’avais entamé, pointant avec mon index toutes les petites taches de la voute céleste.

    Une, Anastasia, deux, Catherine, trois, Noémie…

    Laissant une larme rouler sur ma joue, ma voix tremblait. Joe Dassin, parfaitement interprété il y a quelques minutes de ça, était a présent saccadé par quelques sanglots quasiment inaudibles. Joe Dassin… Ma mère m’aurait tué de gâcher ainsi de si belles chansons. Mais ça, ça aurait été il y a un an, il y a un siècle, une éternité. J’étais loin de tout ça, loin de tout ce que je possédais, loin de ce dont je ne pourrais plus jamais reprendre. Pathétique, j’étais pathétique, et ça, personne ne pouvait dire le contraire. Qu’est ce que je fessais ici concrètement ? A une heure du matin, quelques minutes et plusieurs secondes, allongée dans les jardins de mon école. Etais-je devenue associable à ce point là ? Incapable d’apprécier un seul moment passé en la compagnie de quelqu’un d’autre que ma personne, mon reflet ? Je m’en voulais, arrachant chaque brins d’herbe qui avait le malheur de se trouver en dessous de mes doigts, pleurant encore un peu, tout le malheur que je n’arrivais pas à exprimer.

    Elle me sous-estime, cette saleté de petite garce, cette saleté de petite nuit. Elle peut croire tout ce qu'elle veut, je serais plus forte qu'elle, je ne sombrerais pas dans ce qui m'a perdu il n'y a pas si longtemps. Je vais bien, je vais bien, je vais bien. Pourquoi me le redire ainsi ? Je n'en sais rien, après tout, à qui j'essayais de faire croire des choses depuis tout à l'heure ? A qui est ce que tout ce que je voulais croire était destinée ? Qui dans ce bas monde, pourrait bien entendre la voix de mon esprit qui persistait a siffler toutes les deux minutes pour me faire replonger dans cette état amorphe de démence. Complètement folle ? Je ne sais pas, je ne suis pas médecin et ne le serais jamais. Analyser des gens alors que je n'arrive même pas à me comprendre moi même ? Qui serait assez hypocrite pour le faire ? Non non, pas moi, du moins pas encore. Ajouter un défaut à ma liste déjà longue ne serrait pas si dur, les mauvaises habitudes se prennent vite, à défaut de se perdre dificilement. Ah ah, j'ai dépassée les bornes, j'ai brûlée les limites de la raison. Je la laissais faire, je la laissais me guider. Finalement cette voix ne me déplaisait plus tant que ça. Ce n'est peut être pas si mal, de porter une camisole. Le regard des autres ? Comme si j'en avais quelque chose à faire. Allons allons, ressaisie toi, ferme les yeux, inspire, expire… ♥️



Dernière édition par Sophie Winslet le Mer 5 Mai - 17:50, édité 3 fois
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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeLun 19 Avr - 15:21


Valkyrie & Leader Utopia

Evangeline Von Sternberg
Evangeline Von Sternberg
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La nuit tombée, la lune montée et chassée le soleil derrière les collines voisines. J'ouvris la fenêtre de ma chambre et un courant d'air se fit sentir. Respirant l'air frais qui fouetté mon visage et fessait voler mes cheveux blond derrière moi, je sauta en chute libre du haut du bâtiment, et ouvris mes ailes au dernier moment et remonta dans le ciel. Je profita de se moment de liberté dans les airs, sous le vent qui se fessait de plus en plus fort en hauteur. Je me sentais revivre. Dans les airs je n'étais plus la même. Plus réactive que jamais. Sur le sol je suis maladroite, mais une fois dans le ciel, on me comparerait à une gymnaste. Gracieuse et habile.
Je survolai toute l'académie. Les alentours étaient désert ainsi que l'intérieure du pensionnat. Je me dirigea alors vers la ville. Je commença à rêver, avant d'être attirais vers une des nombreuses ruelles sombres. Plusieurs personnes se battaient. Je piqua alors vers eux. Une jeune fille, très mignonne, rousse aux yeux verts, se fessait agresser par deux hommes. Je me posta derrière eux et leurs fit comprendre de laissa la jeune demoiselle tranquille.

Quelques heures de vole plus tard, je retourna vers la maison Utopia, mais fit une halte vers les jardins. Je me posa vers la quatrième partie, celle où de milliers de magnifiques fleurs avaient été plantées.

Je marcha d'un pas lent. Je regardais la lune, ronde, qui éclairait toute cette partie du pensionnat. Je manqua de tomber à plusieurs reprises. Les camélia d'une magnifique pâleur étaient rosés et surtout ces magnifiques roses au teint éclatant. Des rouges, couleur de l'amour de la passion du respect et du courage; des pétales veloutés et si fragiles...Des roses, signifiant la joie, le bonheur la gentillesse, la grâce et la tendresse. Des roses corail, reflétant le désir et l'enthousiasme. Des blanches annonçant un amour pur et raffiné, l'innocence et le secret. De magnifiques rose jaunes comme le soleil qui était disparut, rappelant l'amitié et la joie, mais aussi l'orgueil et la froideur, la perte d'amour et l'infidélité...ma première pensée à la vue de ces roses jaunes fut pour ma sœur...Mon soleil, celui que j'avais perdue dans l'accident de voiture...Elle démone et mon ange...Mon soleil c'était transformer en une lune sombre, celle des ces nuits horriblement douloureuse...Je détourna mon regard et vis une et une seul rose doré, symbole d'élégance et de cruauté...Ma jumelle était maintenant une de ces roses couleur or. Enfin je vis des roses noir...enfin...Rouge sombre, car les fleurs dites noirs ne sont enfaites que d'une couleur foncé. Bref elles étaient signe d'amour fou et de passion fatal. Kathleen était ma rose noir. Pour finir dans ma marche lente sous la lune, des roses mauves...Ce que je ressent et exactement sa...Tristesse, chagrin et nostalgie à la personne aimée...

Mes yeux bleu laissèrent coulés une solution salé, quelques larmes sur mes joues de petit ange. Je respira calmement pour ne pas fondre en larme. Quand, tout un coup, j'entendis une autres respiration que la mienne. Je me retourna et vis une jeune fille d'une beauté sans pareil. Des magnifiques cheveux blond ondulés et une paire d'yeux bleu magnifique. Je me mit à sourire. J'étais en face d'une jeune fille blonde aux yeux bleu, J'ÉTAIS une jeune fille blonde aux yeux bleu...

Puis je finit par lui dire d'une voix calme et douce.

"Bonsoir"

Je la salua d'un hochement de tête et arriva à me calmer un instant.
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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeDim 25 Avr - 2:16


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Beverley Hellsein
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    Les paupières closes, je divaguais. Je le savais bien, je ne pouvais pas m’en empêcher. C’était si facile, si simple de ne pas se battre, de ne pas lutter contre tout ce qui m’envahissait à chaque fois que mon attention se relâchait ne serrais ce qu’une petite seconde. L’esprit torturé par de nombreux songes idiots, j’essayais de me concentrer sur ma respiration pour me calmer un peu. J’allais bien, oui oui, j’allais bien. Desserrant les poings, détendant mes muscles, je rattrapais finement la raison qui venait de me quitter.

    Je me redressais doucement, un peu nauséeuse. Prenant appuie sur le sol, les muscles encore engourdis, je me relevais et recommençais à marcher mécaniquement vers ce qui me paraissait être l’entrée des dortoirs du pensionnat. Tournant la tête à droite puis à gauche, je soupirais, encore une fois, constatant que j’étais bien loin de de ma chambre. Fixant devant moi, je tendais l’oreille, j’écoutais mes pas. Enfin, je les entendais plutôt : Le calme absolu qui se dégageait de cette partie de l’académie ne me laissait pas vraiment le choix. Plus ou moins réguliers, plus ou moins droits, ils me portaient lentement vers les grands bâtiments gris du lyçée. Le bruit qu’ils produisaient m’intriguait un peu, de plus en plus. D’abord, seulement émis au moment ou mon talon se posait sur le sol, je n’y prêtais pas grande attention. En second lieux, ils se dédoublaient, ils se multipliaient, et ce, même lorsque mon pied ne touchait pas les graviers du chemin. Fermant les yeux, accélérant un peu, je ne voulais pas y croire, je ne voulais pas admettre ce qui semblait pourtant tellement évident. Seule, j’étais seule un point c’est tout. Ricanant, stupidement fière de moi, je rouvrais les yeux et envisageais de reprendre un rythme de marche normal.
    Seulement voilà, à peine après avoir soulever mes paupières, je me retrouvais planté devant une personne dont j’étais incapable de reconnaître les traits. Le sourire dessiné par mon léger rire s’effaça immédiatement, je fronçais les sourcils et plissais un peu les yeux pour mieux la distinguer.

    Je vous l’accorde, et j’aurais bien du mal à le nier, j’ai émis le rêve, ou plutôt le désir d’approcher mes lèvres de son cou, de humer son sang, d’en boire quelques gouttes. Mais c’était tellement simple aussi ! Je n’avais même pas eu à lever le petit doigt, même pas eu à jouer de mes charmes, même pas eu à le rechercher, voilà qu’une belle jeune femme se dressait devant moi, nullement intimidé. Qui, ou du moins quel genre de monstre aurais-je été si je n’avais pas eu à contenir l’imagination d’un festin servit sur un plateau d’argent ? Ah ah, "monstre", ça fais bien longtemps que je ne m'étais pas surnommé d’une telle façon. Pourtant c’est ce que j’étais, ce que je suis et ce que je resterais, et ce pour l’éternité. Coincé entre la vie et la mort, je n’étais plus humaine mais je n’étais plus digne non plus d’être classifié comme tous les autres trépassés. Mon organisme, sous une forme certes bien particulière, continuait de fonctionner, tant bien que mal, répondant à toutes mes exigences. Comment appelleriez-vous cette catégorie ? Cette feuille de papier glissée entre deux boites de rangement, ce grain de sable dans une machine ? Des erreurs, des défauts, des imperfections, des malformations. Ne le démentez pas, j’ai bien eu le temps de m’y faire, à tout ces sobriquets. Dieu, oui dieu, mon bon monsieur assis sur son trône au milieu de ceux qu’il aime, qu’à tu fais de moi ? Qu’à tu fais de nous ? Je t’en prie, je t’en conjure donne seulement une réponse, une justification à notre présence sur cette terre ? Allons allons, ressaisie toi arrête de divaguer, inspire, expire…

    L’examinant sans vraiment contenir une certaine gêne que n’importe qui aurait ressentie, je restais stupéfaite. Ce n’était pas vraiment une personne quelconque, c’était une jeune femme qui me ressemblait un peu. Me méfiant, je scrutais les petits yeux bleus qui perçaient l’obscurité, je scrutais ces belles perles azures qui me dévisageais. Essayant tant bien que mal de la détailler, je me rendis bien vite compte qu’avec la pénombre je ne pouvais pas savoir grand-chose de plus sur sa personne mis à part ces quelques mots : Elle était blonde, fine et plus petite que moi. Description bien légère me direz vous mais je ne pouvais pas percevoir plus, ou plutôt, je n'avais pas le courage et la patience de faire des efforts pour percevoir plus. Sa voix, s’élevant doucement dans les airs dans un léger bonjour me fit frémir. Le son mélodieux qui venait de s’échapper de sa gorge me redescendis sur terre aussi vite que les notes eurent heurtés mes tympans. Revenant dans une réalité que je cherchais à fuir, je soupirais rapidement. Il fallait que je me conduise normalement. Je ne pouvais pas continuer d’avoir des attitudes de dégénéré, je ne pouvais pas continuer d’agir sans réfléchir, du moins pas en présence de quelqu’un d’autre. Marquant une petite pause avant de lui donner une réponse, j’hésitais encore quant à la consistance de cette dernière.

    - Si je peux me permettre, mademoiselle, "Bonjour" me semble déjà plus approprié que "Bonsoir" vu l’heure matinale qui se dessine sur ma montre…


    Je sais que je n’étais pas si gentille que ça, je sais que je n’aurais pas du répondre de cette voix sèche. C’était plus fort que moi, je ne pouvais pas faire autrement. Rien ne pouvait défendre mon comportement, aucunes excuses, aucunes justifications. Esquivant un petit sourire, j’atténuais le ton de ma réponse et l’encourageais à poursuivre la conversation.

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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeMer 12 Mai - 12:21


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Evangeline Von Sternberg
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- Si je peux me permettre, mademoiselle, "Bonjour" me semble déjà plus approprié que "Bonsoir" vu l’heure matinale qui se dessine sur ma montre…


La jeune fille, dont je ne connaissais ni le nom, ni la race, m'avait répondue d'une voix sèche. Je ne lui en voulus pas pour autant, elle devait avoir ces raisons...Mais elle me fit un petit sourire que je lui renvoya.

-Excusez-moi. Le temps passe si vite.

Pourquoi mettais-je pardonnée? Suis-je si gentille? Aussi naïve? Ma soeur, elle aurait été moins indulgente je pense. Mais je ni peux rien. Je suis trop gentille et sa me vaudra des ennuies...

-Je me présente, Evangeline. Evangeline Von Sternberg. Et vous mademoiselle?

Une présentation simple et efficace. Je n'allais pas laisser cette jolie personne dans l'ignorance tout de même. Elle se présenta à son tour. Son prénom était Sophie. C'était un beau prénom. Vraiment cette Sophie avait beaucoup d'assurance. Sans doute était-elle là depuis bien longtemps, ou bien était-elle de l'administration? Puis je la regarda un peu plus attentivement, et me vient à l'esprit son sourire. Des dents blanches, et extrêmement pointue à mon goût. Serait-elle un...vampire? Cette idée me donna des frissons. Je voulais tout de même en être sur. Être face à un telle prédateur étais dangereux. Non pas pour elle vous l'aurez compris, mais pour moi. Un petit ange, innocent et naïf, pouvait être pour un vampire une personne de sang exquis comme repoussant. En espérant pour moi avoir un sang à son goût dégoutant.

-Ne seriez-vous pas un...vampire?

Je fit mine de ne as être effrayer. En fin de compte je ne l'étais pas autant que sa. J'étais un ange non? Les anges ont des ailes? Et leurs ailes leurs servent à voler? Alors je pouvais être sortie d'affaires rapidement en m'envolant. Cette réaction parait lâche, certes, mais elle me sauvera la vie si cela tourne mal...

[HRP: Désoler pour mon court passage et la longue attente, mais les cours et les nombreux contrôles ne me laissaient pas trop de temps.]
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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeMer 12 Mai - 18:02


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    Attendrie face à de tels excuses que je ne me serais même pas pris la peine de formuler dans la situation inverse, je regrettais rapidement le ton de ma précédente réplique. Il est vrai qu’à prime abord, je ne devais pas avoir l’air très sociable. La raison ? Je ne l’étais pas tout simplement. Depuis toute petite, depuis ma plus tendre enfance j’ai du mal à allez vers les autres. Je les aime bien certes, ‘les autres’ mais je ne les supporte pas. Je n’en pouvais plus de tout ce bouillon d’hypocrisie plus ou moins bien dissimulé. C'était même presque risible si on y repensait bien et qu'on se penchait un peu sur la psychologie humaine. Alors bien sûr, comme toute bonne petite je jouais, je jouais avec mes camarades. J’arrivais même à en rire parfois, à m’amuser ; mais dans le fond, oui, tout au fond de moi il y avait toujours cette petite chose qui me demandait sans retenu ‘Mais bon dieu Sophie, qu’est ce que tu fais là ?’. Infâme organe qui régit votre vie et vos relations avec les autres. Infâme organe qui vous fait souffrir sans que personne ne l’égal dans ce domaine. Oh oui, infâme petit cœur...
    Evangeline, j’avais déjà entendu son nom quelque part. J’avais déjà eu vent de sa personne. Facile me direz vous, j’ai accès aux dossiers de chacun des élèves de l’école sous demande justifiée. Enfin, justifiée… Je ne comptais plus vraiment le nombre de fois où trouver une quelconque raison m’avait demandé d’ajouter quelque chose sur la liste que j’emporterais devant St Pierre une fois décédée -Oui enfin, plus que ce que je ne suis déjà en tout cas, de morte-. Mentir, j’aimais ça par-dessus tout et ce n’étais pas vraiment le manque d’expérience qui me perdait. J’en étais presque devenue excellente en ce qui concernait ce domaine là. Enfin bon passons. La jeune fille en face de moi était donc une petite ange, jumelle d’une petite démone. Présentées respectivement dans la maison Utopia et Full Bloom, les deux jeune femmes avaient été acceptées dans l’académie à peine quelques semaine de ça.

    Rapidement détournée de mes pensée par une question plus que surprenante venant de mon interlocutrice, je fronçais les sourcils et tournait toute mon attention vers cette jeune personne. Un vampire ? Hum, c’était donc inscrit en rouge clignotant sur mon front pour qu’elle le découvre si vite ? Théoriquement, ou plutôt habituellement, j’arrivais à préserver ce genre de secret quelques temps, mais là, elle m’avait mis à jour –Si on peut dire ça comme ca vu la noirceur ambiante-. Sa remarque d’ailleurs, puisqu’on en parle, me fit sourire. Craignait-elle quoi que ce soit en me parlant ? Non, si ça avait été le cas, il aurait longtemps qu’elle aurait pris ses ailes a son cou et qu’elle serait rentrée dans son dortoir. Avait-elle la prétention de pouvoir rivaliser avec un être de la nuit comme moi ? J’en doutais également. Bonne actrice, le sentiment d’aisance et de confiance qu'elle affichait étaient plutôt bien imité je lui accorde. Renseignée, elle devait surement savoir que son sang aurait pus m’attirer comme me repousser. Ceci dit et cruellement parlant, ce genre d’informations ne me serait transmis que lorsque la première goutte de son sang viendrait chatouiller mon palais. Et je peux vous dire que ce n’était ni le désir, ni la curiosité qui me retenais de planter mes crocs dans son petit cou de peau blanche. Je restais, malgré tout le sang que je pouvais convoitée, tenu de la respecter et de respecter le fait qu’elle ne désirait pas forcément être mordue. Détournant mon regard vers le vide, je soupirais doucement avant d’ajouter –Sur un ton plus soft que le précédent et quelque peu joueur- quelques mots en guise de réponse à sa question :

    -Et si c’était le cas, mademoiselle, auriez vous peur pour votre vie en restant en face de moi ?

    Je souriais, je replaçais mes prunelles vers son visage à la fin de mon interrogation. J’avais beau ne pas voir grand-chose du fait qu’il fasse nuit, je n’en restais pas moins extrêmement amusé quant à la tournure de la situation. Voir les traits de sa douce plastique se tordre d’anxiété, découvrir une once de peur, une légèreté d’hésitation aurait été tellement plaisant, je ne pouvais décemment pas rater ça ! De même, je me taisais pour laisser place à un silence lourd, un silence qui perçait la nuit. Ecouter sa voix pour en décelé ne serait ce qu’un tout petit tremblement m’aurait été aussi agréable que de croquer dans son cou. Après tout, je suis bel et bien un vampire, et ce pour le reste de l’éternité ; Pourquoi n’aurais je pas le droit d’intimider les autres ? Pourquoi est ce que je ne pouvais pas rester digne de toutes les légendes qui parcouraient les livres et les cauchemars depuis la nuit des temps ? Non non, cette réputation si durement acquise ne pouvait pas s’envoler tout simplement sous de belles paroles et sous des gestes délicats. La laissant réfléchir un peu à sa réponse, je lui relançais joyeusement, sûre de moi :


    -Et puis, il me semble du moins, qu’en vous baladant au beau milieu du parc d’un pensionnat infesté de créatures toutes aussi peu fréquentable les unes que les autres, à des heures pareilles, vous ne pouviez quand même pas penser tomber sur de simple humain ?

    Confirmant sa thèse, lui apportant seulement pour moitié la réponse de sa question, j’affirmais ma non-humanité à ses yeux, je me dévoilais au risque de la laisser s'envolez. Lentement et d’une voix mielleuse, je ricanais, laissant totalement voir mes canines allongées.


    -Et maintenant que vous savez, Mademoiselle Von Sternberg, allez vous me planter là et coupez net cet entrevu ou seriez vous prête à accepter de partager un peu de votre éternité à la mienne ?


[HRP : Oh ca va t'inquiet' pas je comprend, tu as le brevet non cette année en plus si je me trompe pas >w< Et aussi, je voulais te dire, je suis désolée mais Sophie Winslet est un peu spéciael hein dans sa façon de penser et tout, le prend pas mal, rien de personnel x)]
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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeJeu 1 Juil - 7:52


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-Et si c’était le cas, mademoiselle, auriez vous peur pour votre vie en restant en face de moi ?

Elle me sourit et posa ses yeux sur moi. Je laissa les miens admirer ses yeux rouges. J'avais eu ma réponse, elle était belle et bien un vampire. C'est une espèce que j'admirais étant enfant. J'avais une tonne de livres sur eux. Je me demander même si j'allais en rencontrer un dans ma vie. Je lui répondis alors d'un "Non." tout en souriant. Bizarrement je n'avais pas si que ça peur...Puis elle reprit d'un ton joyeux.


-Et puis, il me semble du moins, qu’en vous baladant au beau milieu du parc d’un pensionnat infesté de créatures toutes aussi peu fréquentable les unes que les autres, à des heures pareilles, vous ne pouviez quand même pas penser tomber sur de simple humain ?

Cette fois si elle s'était dévoiler. Elle avait bien raison sur le fait que je ne rencontrerais pas un humain à cette heure là. C'est sur puisque moi même je ne suis mortelle...Cette pensée me fit sourire. Puis une sorte de courant d'air froid fit voler nos cheveux blonds et lentement et d’une voix aussi douce que le miel, elle ricana, laissant voir à mes yeux azur ses canines allongées et d'une magnifique blancheur. Soudain des frissons me parcoururent le dos. Je ne sais pas encore si c'est le fait d'être devant un prédateur, ou bien le vent glacial.

-Et maintenant que vous savez, Mademoiselle Von Sternberg, allez vous me planter là et coupez net cet entrevu ou seriez vous prête à accepter de partager un peu de votre éternité à la mienne ?

Ma réponse fut très vite réfléchie. et je lui répondis d'un calme qui aurait fait stresser ma soeur au point de la faire tremblait comme le jour d'un éxam'.

-Je ne compte pas le moins du monde m'en allais.

J
e m'arrêta guettant sa réaction. Je ne pense pas que mon ton l'ai fait trembler. Pas elle, pas un prédateur de son espèce. Le vent s'arrêta et je me sentis beaucoup mieux. Mais une phrase me déranger. Que voulait-elle dire par "Seriez vous prête à accepter de partager un peu de votre éternité à la mienne?"... Je regarda les étoiles, puis redéposa mon regard sur elle. Je pris un ton tout aussi calme que le précédent avec un soupçons de curiosité.

-Qu'entendez-vous par "prête à accepter de partager un peu de votre éternité à la mienne" ?

[Un grand désoler pour l'attente et ce peut de lignes...>< Comme dit la pub "Il fait trop chaud pour travailler" xD ]
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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet] Icon_minitimeMer 7 Juil - 18:03


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[Sophie Winslet]

    Alors comme ça elle restait encore un peu à mes côtés. Était-elle folle ? Mon envie et mon désir pour son sang ne faisaient qu’accroitre au fil du temps et je ne pensais pas vraiment l’avoir dissimulé ni le faire actuellement ; j’aurais même plutôt estimé l’inverse si on considérait mon comportement en commençant mon petit jeu stupide d’intimidation. Jeu qui, en temps normal n’aurait pas eu lieu d’être si j’avais correctement et complètement respecté cette jeune fille -non pas que je ne lui accordais aucun respect hein ? Comme je l’ais déjà dis, si ça avait été le cas, il y a longtemps que son sang aurait chatouillé et parcouru goulument mon palais assoiffé-. Enfin, elle était là, restait là et c’était l’essentiel. L’écoutant parler de sa jolie voix et enchainer les réponses aussi vite que le vent enchainait les coups en traitre, je préparais soigneusement la mienne dans ce qu’il me restait d’esprit et de tête avant d’ouvrir la bouche. Ne l’oublions pas : j’avais une image à tenir.

    Je restais septique face à ce qu’elle venait de dire, effaçant la moindre petite trace d’émotion et de réaction sur mon visage. Mon éternité n’était plus incertitude pour elle étant donné qu’elle venait d’avoir l’affirmation de ma vraie nature. Sa question me déroutait, je ne comprenais pas. Soupçonnait-elle simplement le sens caché –Et aussi bien caché que des œufs de pâques dans un jardin à la française, c'est-à-dire mal- de ma précédente réplique ? Permettez-moi d’en douter. Aussi nais soit les anges, aussi peu assuré et informé du mal "humain", elle n'analysait donc pas vraiment ce que je lui servais sur un plateau d'argent comme je l'aurais voulu. Après tout, lui proposer ce genre de chose aurait été tout simplement idiot si je n’avais pas été au courant de son statut et de son immortalité. Aussi, je choisissais dans le panel de ton qui était à la disposition de mes cordes vocales un ton sec, distant et détaché pour répondre à la demoiselle.

    -Ne vous méprenez pas, je n’ais aucuns désirs de faire quelques chose d’anormal de votre personne.

    Mensonge, j’avais envie de la mordre, j’avais bien plus de désir que celui d’un maniaque qu’une pièce soit propre en glissant mon regard le long de son cou (Comparaison des plus idiotes ceci dit en passant). De plus, la considérez de la sorte était très malpoli, si ma mère voyait ça, enfin entendait ça, elle serait très déçue. Cette fois j’avais fait un joli paquet groupé pour St Pierre, (Enfin avec tout ce que j’ai fais, j’suis même pas sûre que je sois obligé de passer par la case jugement. Je n’ai pas le même départ que tout le monde, j’suis coincée en prison et j’ai plus, j’ai perdue les dés pour m’en échapper) : deux -pêchés- pour le prix d’un comme ils disaient au supermarché, il va être content ! Elle n’était pas un objet, encore moins mon jouet il fallait que j’arrête et vite ce divertissement si agréable que je continuais en sachant que j’agissais comme une moins que rien. J’ajoutais sur le même ton.

    -Parler, juste discuter, simplement prendre le temps de voir ce que vous pouvez m’apporter.

    Encore un autre mensonge. Vous croyez qu’ils font des cartes fidélité en enfer ? Deux mensonges = un mensonge effacé c’est ça ? Un blanc s’installa entre nous deux juste après mon dernier mot. Je ne regrettais néanmoins en rien ce que je venais d’avancer. Je n’aimais pas l’hypocrisie et pourtant j’en étais la reine. Toute expérience était bonne à prendre, toute information pouvait servir, tout ce qui pouvait sortir de ses légères lèvres m’intéressais, aussi futile et vague soit il. Levant les yeux vers le ciel pour avoir une idée de l’heure, guettant le moindre éclaircissement qui marquerait la fin de cet rencontre, je soupirais et replaçait mon visage à son niveau.

    -Je ne me suis pas présentée, je vous prie d’accepter mes plus sincères excuses.

    "Sincères"… Là je pense qu’il me faudrait le pack de 50 à la journée s’il vous plaît, et je paye par année d’enfer si c’est possible, j’suis créditeur sur les années de plaisir.

    -Sophie Winslet, leader de la maison Distraught.

    Enfin une petite touche de vérité qui me brulait presque la langue après toutes ces absurdités débitées avec insistances. Je souriais de nouveau, désirant presque savoir une certaine joie comment elle allait réagir face à ce que je lui avais dit.


[HRP : T'en fais pas n_n Je comprends ^^]
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MessageSujet : Re: La nuit, cette saleté de petite garce... [Evangeline Von Sternberg - Sophie Winslet]
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