SHADED ACADEMY  -  PRÉSENTATION

Dallveig & Dimitriev


I. LE PERSONNAGE.

■ GENRE :  Masculin
■ DATE & LIEU DE NAISSANCE : 21/07/1987 (26 ans) à Tchekaline (Russie)
■ RACE :  Humain
■ GROUPE : Personnel
■ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
■ AUTRE : (Poste demandé - Emploi/Niveau d'étude) Concierge
■ CONFRERIE :  /

▬ DESCRIPTION MORALE. Si je devais décrire Dallveig en quelques mots je choisirais surement : gentil, maladroit et Troubles Obsessionnels Compulsifs. Non non, vous n’avez pas mal lu. Dallveig est atteint de TOCs. Et pas qu’un peu. Le jeune homme ne supporte pas les lieux en désordre… les vêtements mal repassés… les cheveux en bataille… les choses sales… les choses mal ordonnées… l’asymétrie…  en bref le russe n’aime que le propre, le rangé, l’ordonné. Le reste le met mal à l’aise, lui déclenche un sentiment de mal être et d’angoisse. Atteint de TOCs depuis le plus jeune âge Dallveig à cependant appris à vivre dans un monde mal agencé, ne pouvant cependant pas s’empêcher de ranger lorsqu’on lui donne l’autorisation et se tenant le plus souvent loin de lieux qu’il considère « intolérables » (vous pouvez y classer entre autres les toilettes publiques, les cabines de change d’une piscine et mon salon et l’ensemble de mon appartement après 1 semaine sans visite). Mais au-delà d’une difficulté à survivre à Paris, ses TOCs le privent surtout de tout contact physique. Terrorisé par les germes, Dallveig refuse tout simplement de toucher les gens. Le moindre effleurement entrainera une crise de panique durant laquelle le ruskof se récurera le carré de peau. Il se balade donc en permanence avec des lingettes et diverses produits désinfectants sur lui mais prend aussi plusieurs douches par jour et se lave les mains dès que possible. Mais au-delà de ses TOCs Dallveig est l’homme le plus gentil de cette planète. Il n’existe pas une once de méchanceté en cet homme… et par malheur le garçon a du mal avec le concept entier de malveillance. Il est ce que l’on peut nommer une bonne poire. Toujours prêt à aider ou à rendre service le blondinet ne conçoit pas qu’on puisse le vouloir du mal ou se servir de lui. Ainsi les personnes qui l’apprécient pour ses qualités et non pour les services qu’il rend sont rares et le jeune homme gagne à être surveillé et protégé. De même Dallveig ne se mettra jamais en colère, ne peut pas être rancunier. Il arrive parfois qu’il hausse le ton lorsqu’il estime que la situation le demande mais le remords qui le submerge ensuite le freine dans l’utilisation de sa voix forte. Dallveig est le genre de personne qui va toujours se porter volontaire pour aider les autres et tenter de remonter le moral. Il est capable d’aider un inconnu en panique ou une jeune fille en pleure dans la rue. Même s’il n’est là que pour prêter son oreille il le fera. Il a toujours une pièce sur lui –propre comme un sou neuf- pour un mendiant ou un bonbon –emballé soigneusement dans un papier puis dans un sachet en plastique pour éviter toute salissure- pour un enfant. Il est donc loin d’être timide, Dallveig est même quelqu’un de plutôt extravertie. Mais il n’en reste pas moins maladroit autant dans ses paroles que dans ses gestes. Assez peu confiant, se dépréciant souvent, Dallveig n’aime pas qu’on parle de lui. Il rougit facilement lorsqu’on le complimente et sa mauvaise maitrise de l’anglais fait de lui quelqu’un de maladroit dans ses dires. Un peu tête en l’air, souvent perdu dans ses pensés ou focalisé sur les choses qui l’entoure afin de ranger et organiser, il lui arrive bien souvent de trébucher ou de bousculer les gens et les objets qui l’entourent.

▬ DESCRIPTION PHYSIQUE. Si je vous dis que Dallveig est d’origine russe, ai-je vraiment besoin de développer son physique ? Bon d’accord mais c’est bien parce que c’est vous. Dallveig est blond. Des cheveux bien trop lavés, secs comme de la paille et si fin qu’il est impossible de les faire tenir en place. Vous pouvez me croire Dallveig les déteste ces cheveux qui partent dans tous les sens, indisciplinés au possible. Sous cette paille indocile se trouvent deux yeux bleus clairs, changeant, cachés derrière d’épais montant noir. Notre ruskof préféré est en effet myope comme une taupe. Ses lunettes ne permettent pourtant pas de cacher les diverses émotions que ses yeux reflètent en permanence. Tantôt gris, tantôt vert ils tirent le plus souvent vers des nuances de bleu. Un petit nez retroussé, des lèvres fines et… des oreilles décollées. Disgrâce infâme (Parfum d'infâme ; Inonde mon âme ; Oh ! Ça pue le drame ; Je déclenche une tempête ; Pitié, arrête ! ; Chaque fois que je ... ; Non Pumbaa, pas devant les enfants ! ; Oh ! Pardon !) que ces deux choses qui dépassent de chaque côté de son crane. C’est d’ailleurs là la seule chose qui le porte à porter ses cheveux si longs alors qu’il pourrait tout simplement les raser. Ainsi cachées derrière les fils blonds il a l’impression qu’on les voit moins. Son visage long et émaciée, imberbe, représente parfaitement le reste de son corps. Tout chez lui est fin, longiligne, presque cassant. Ses membres, son visage, son buste, ses cheveux, oui Dallveig est maigre, mince mais, et cela peut surprendre, plaisant. Sa grande taille le fait souvent sortir du lot, chose gênante pour un ce garçon qui n’aime pas se faire remarquer. Son corps n'est pas celui d'un athlète. Loin d'être tout en muscles Dallveig semble fragile, capable de s'envoler avec le vent. Grand, svelte, aux muscles fins se dessinant à peine sous sa peau, il ressemble plus à une caricature d'homme, à un bonhomme fil de fer. Parfois on le compare à une femme du fait de la finesse de ses formes et de leur étrange rondeur. Mais si regardez-moi ce fessier, rebondit, plein et attirant, ces jambes longues et galbées, ces mains fines et délicates. Sa peau blanche, sur laquelle ne semble pas se trouver un seul poil, ne présente pas ni grain de beauté, ni cicatrice, un tapis pâle sans une seule irrégularité. Elle reste cependant particulièrement sèche due à l’utilisation abusive de savons et alcools en tout genre.

▬ HISTOIRE.
Dallveig n’a jamais été un enfant comme les autres. Petit déjà Mama, sa grand-mère qui en avait bien –trop- souvent la garde remarqua chez lui un comportement des plus… étranges. Non, Dallveig ne jouait pas, il rangeait, ordonnait, classait ses babioles. Par couleur, par forme, par taille, il les disposait bien en ligne devant lui, sa mine d’enfant affichant un air concentré. Ha ça, Dallveig n’a jamais été un enfant comme les autres. Personne ne put jamais expliquer d’où lui provenaient ses TOCs, mais ils étaient bien là. Triant sa nourriture, ses vêtements et tout ce qui lui tombait sous la main, classifiant les choses, systématiquement. Si Dallveig ne montra aucune difficulté à apprendre à parler et à marcher ses premiers temps à l’école furent loin d’être roses. Non seulement ses camarades le trouvaient étrange, lui, le petit blondinet qui passait ses récréations à ranger la salle de classe, mais bien vite ses TOCs lui posèrent son premier vrai problème : il était incapable d’écrire. Non pas que le principe même lui posait souci, le petit Dallveig était un enfant vif d’esprit comme aimait à dire l’enseignante mais écrire lui prenait un temps fou. Chaque lettre se devait d’être de même hauteur que sa précédente et la réplique exacte de ses consœurs. Les a se devaient d’être identique, les b des frères jumeaux. Ainsi passaient-ils plus de temps à gommer qu’à écrire et, malheureux des traces qui se formaient peu à peu sous sa gomme, prenait-il une autre feuille pour  recommencer. Ainsi Dallveig n’apprit-il jamais à écrire, je veux dire, conventionnellement. Les feuilles de papier furent remplacées par un écran, le stylo par un clavier, l’ordinateur lui ne faisait jamais de différence.
Plus tard un nouveau problème vint à se poser, un problème de plus grande ampleur. Suivi par le psychologue scolaire de son établissement celui-ci finit par remarquer un phénomène étrange : Dallveig ne semblait pas comprendre la notion de bien et de mal. Lorsqu’on le confrontait à un exercice visant à définir si une action était « méchante » ou « gentille » celui-ci levait simplement les épaules et répondait généralement qu’il ne comprenait pas. Si l’enfant avait toujours démontré un comportement bienveillant face à ses camarades, il ne semblait pas s’offusquer d’être frappé ou bien insulté. On le diagnostiqua atteint du syndrome d'Asperger faute de trouver mieux. Ainsi Dallveig apprit-il ce qui était bien et ce qui était mal plutôt que de le sentir. L’enfant qu’il était ne comprenant pas ce qu’on attendait de lui se contenta de classer les choses sur une échelle de valeurs, comme il le faisait toujours, ne saisissant pas la nuance. Tuer quelqu’un était mal, la notion de légitime défense lui était inconnue. Voler était mal, même pour se nourrir, mentir était mal, même pour protéger. Ainsi Dallveig se plaça lui-même sur cette grande échelle : il serait bon car c’était, semblait-il, la meilleure chose à faire.
Mais les actes comme la trahison ou la manipulation n’entraient pas dans cette échelle de valeurs, personne ne pensa à le mettre en garde. De même l’idée que les gens pouvaient-être volontairement méchant lui restait assez vague. Ainsi le gentil garçon devint bien vite la bonne poire des autres enfants. Si quelqu’un lui demandait un service, il répondait d’accord et voilà tout. Du moment que cela ne lui demandait pas de transgresser les règles établies, rien ne lui posait problème. Garder un paquet ? Faire un détour pour amener quelqu’un à une fête où il n’était pas invité ? Payer le restaurant ? Pas de problème. Toujours tout sourire Dallveig s’exécutait sans jamais poser de questions. La première personne à s’offusquer du comportement des autres envers sa personne fut une jeune fille alors qu’il approchait de ses 16 ans. Ania était une jolie brunette aux yeux tellement sombre qu’ils en paraissaient presque noirs. Elle trainait souvent seule, les mains dans les poches, le bout de ses cheveux mi-long colorés d’un rouge flamboyant. On disait d’elle qu’elle était asociale, violente. Une mauvaise graine. Pourtant un jour où Dallveig se retrouvait une fois de plus le ventre vide un midi, son déjeuné entre les mains d’un autre enfant soit disant sans le sou, elle vint s’installer avec lui.
« J’ai demandé à ma mère de te faire un sandwich. Il faut que tu arrêtes de donner ta nourriture comme ça. Ce garçon n’en avait pas besoin.
- Je pense que si, sinon il ne l’aurait pas demandé.
- Il t’a menti.
- Il n’aurait pas fait ça. »
La conversation fut courte et Dallveig ne toucha pas au sandwich. Il ne l’avait pas vu être préparé, il ne pouvait pas le manger. Il ne pouvait pas toucher Ania non plus. Ni les choses qu’il n’avait pas nettoyées lui-même.

Ses TOCs avaient empiré avec l’âge lorsqu’il avait pris connaissance de ces petites bestioles que l’on nomme « germes ». Dallveig se souvient bien de la première fois qu’il prit conscience de la maladie. La télé. C’était la télé qui lui avait tout appris. Une émission pour enfants du style « c’est pas sorcier ». Il ne l’écoutait que d’une oreille distraite, rangeant les crayons de sa petite sœur par couleur –mais peut-être fallait-il les classer par taille… celui-ci était plus petit que les autres… ça ne lui plaisait pas-. Le présentateur expliquait qu’il existait, un peu partout ce que l’on nommait des germes, c’étaient eux qui nous rendait malade. Dallveig  avait stoppé  son classement, ses yeux s’écarquillant soudain, une expression de pure horreur sur le visage. Pardon ? Que venait-il de dire ? Que partout sur lui, sur ses crayons se promenaient des choses ? Des choses qui rendaient malade ?! Des choses sales de toute évidence. Et Dallveig n’avait jamais aimé la saleté. Bien sur il la tolérait parce qu’elle ne faisait pas de mal. ENFIN C’EST-CE QU’IL CROYAIT ! Les jours suivants il les passa dans la salle de bain à se laver, s’abrasant la peau à force de la frotter. Le retour chez le psy se fit en grande pompe… Voilà que maintenant il lui fallait lutter contre des micro-organismes.

Mais à l’époque d’Ania il avait déjà appris à se maitriser. Il se lavait toujours aussi souvent les mains, refusait de toucher les autres –doutant sensiblement de leur hygiène- et déniait toucher toutes choses qu’il n’avait pas nettoyées ou préparées lui-même. Les lingettes désinfectantes étaient devenues depuis longtemps ses meilleures amies… rejointes rapidement par la demoiselle aux yeux sombres. Ania veillait sur lui. Elle disait toujours qu’elle n’aimait pas qu’on se serve de lui. Ania lui parlait souvent, lui racontait sa vie, ses problèmes. Parfois elle pleurait. Tout le monde la croyait forte, indépendante, mais Dallveig comprit rapidement qu’elle était blessée, petite, fragile. Il voulait la protéger lui aussi. Peut-être fut-il amoureux d’elle, il ne saurait le dire. Il parlait peu, écoutait beaucoup, tentait de la conseiller. Lorsqu’Ania du partir pour l’université, en Amérique, il se sentit vide à l’intérieur. Pendant longtemps.

Lui ne comptait pas faire d’étude. Il n’en avait pas l’argent de toute façon. Et puis qu’aurait-il pu faire ? Je vous l’ai dit Dallveig est loin d’être stupide. Qui voudrait d’un TOCé comme lui comme employé ? Il n’était bon qu’à deux choses : classer et nettoyer. D’ailleurs il n’aimait faire que cela. Le reste lui paraissait toujours trop confus, trop désordonné. Alors voilà se qu’il se mit à faire : ranger et astiquer, pour les autres. Homme de ménage. On dit qu’il n’y a pas de sot métier, Dallveig lui effectuait un métier avec un sceau. Et du détergent. Et des chiffons. Et il était bon ! Les gens l’aimaient bien, poli, gentil, attentif, travailleur. On ne se plaignait jamais de lui.

Sa vie bascula à nouveau quand Ania lui envoya une lettre. Tout d'abord parce qu'elle lui apprit la vérité sur elle : elle était un hybride. Au fond d'elle sommeillait un raton laveur. La nouvelle fit sourire Dallveig. Quoi de mieux qu'un raton-laveur comme meilleur ami d'un TOCé ? Loin de la juger il lui en demanda plus sur ce qu'elle était. Les mystères de l'établissement lui furent donc conté. Ils entretenaient depuis longtemps une relation épistolaire –comme j’utilise de beaux mots- quand elle dit s'en lasser. Non pas qu’elle voulait ne plus le voir… au contraire, elle voulait le voir. Pour de vrai. Dans la lettre, un billet d’avion. Elle l’invitait à le rejoindre. En Amérique. Il ne fallut pas longtemps à Dallveig pour se décider. Mais lorsqu’il arriva sur place pas de trace de la jolie Ania. Qu’était-elle devenue ? La seule information qu’il avait à son sujet : l’université qu’elle fréquentait.  Le voilà donc inspecteur TOCé, concierge de son état, à la recherche de la petite Ania.


II. LE JOUEUR.

■ AGE : 24 ans
■ PRENOM/SURNOM : Helixis / William / Elfira pfou j’en ai des surnoms sur la toile
■ Comment as-tu trouvé le forum ? Par Lys Vaylen !
■ Et comment tu le trouves, maintenant ? Grave cool !
■ Tu t'entends bien avec Bob l'éponge ? Saviez vous que chaque personnage principal de bob l’éponge représente un péché capital ?
■ Quelque chose à dire ? Je ne sais pas si la place de concierge est possible pour mon Dada, de même que je ne sais pas si venant de Russie il est au courant pour les vampires et autres joyeusetés. Je suis partie du principe que oui mais si ce n'est pas le cas je changerai deux trois trucs dans l'histoire :3
■ CODE [OBLIGATOIRE] : OK by Maddou'

© Shaded Academy

BONJOUR & BIENVENUE!


Bonne chance pour ta fiche, et en espérant que tu te plairas ici. :3
*poutou du Staff.*

Bonne continuation pour terminer ceci! o/


EDIT:
Alors, ta fiche est nickel, et non il n'est pas obligé de connaître l'existence des créatures surnaturelles au sein de l'Académie, ça c'est toi qui vois.
Pour le poste de concierge ... il n'apparaît pas dans la liste des postes disponibles, donc je vais vérifier s'il est déjà pris ou si il n'avait tout simplement pas été pensé. A ce moment-là, je me renseignerais auprès de la fonda' et je te dirais ( ou validerais directement. ). n___n

EDIT 2:
Tu es validé!
Tu peux dès maintenant faire ta fiche de lien et ta demande de rp.

Bon jeu! o/

Merci merci ! J'ai fini de me battre avec le code de la fiche (oui, je suis assez douée pour ne pas réussir à copier/coller correctement un code sisi.) c'est déjà pas mal x3

EDIT : Super merci ! Je vais partir du principe qu'il était au courant, ne serait-ce que par Ania, je rajoute quelques lignes dans mon histoire pour expliquer tout cela. J'ai pris la liberté de contacter Alexis P. Williams à mon inscription pour demander pour la place de concierge mais j'ai avancé plus vite que je ne le pensais sur ma fiche

EDIT : NIAHAHAHA Merci !

Ca faisait longtemps que j'avais pas vu Dallveig !! Bienvenu : D