ASKOLEIN GABRIELLE CELESTA

Jusqu'où êtes vous prêt à aller pour votre Confrérie ?

« Une confrérie qui protège, qui transmet, qui apporte confiance et sérénité à ses membres; Voila une confrérie qui mérite les plus durs sacrifices »

»» THE LITTLE DOLL

■ Genre - Féminin.
■ Âge - 15 ans.
■ Date & Lieu de Naissance - 26 février 1997.
■ Race - La biche de Cyrénie.
■ Orientation Sexuelle - Hétérosexuel.
■ Poste demandé / Niveau d'étude - Lycée ▬ Seconde.
■ Confrérie choisie - La maison Full Bloom.

»» DESCRIPTIONS PHYSIQUE & MORALE

En qualité de biche de Cérynie, il n'est pas concevable d'imaginer Gabrielle flasque, voir apathique. Vive et agile, elle représente au mieux l'animal mythique que ce soit dans ses qualités, ou bien ses défauts. Âgée de 15 ans à peine, sa taille ne reflète néanmoins pas ses hivers. Mesurant à peine 1m57 pour 50 kilos, il n'est pas difficile de l'imaginer frêle et peu imposante face à ses camarades de classe. Ainsi, sa force de caractère sera pour elle le moyen de se faire respecter. Désireuse d'être première en tout, elle exige la perfection, que ce soit d'elle-même, ou bien de son équipe. Perdre est pour elle une chose particulièrement vexante quand pour d'autres, elle n'est que désagréable. Cette perfection s'accompagne d'un besoin de contrôler les faits et gestes de l'entourage concerné; ce qui peut parfois lui attirer leurs foudres. Néanmoins, dès lors que cela ne lui apporte aucun intérêt direct, Gabrielle laisse à ses amis la liberté de penser et d'agir selon leurs souhaits. Ce défaut est souvent pardonné, et son physique en est pour beaucoup de choses. Le corps d'une femme possédant les yeux d'une enfant. Voila la description la plus réaliste qu'il est possible de faire d'elle. Poitrine agréable à regarder et à toucher, cuisses fines et fesses bombées, corps svelte et peu poilu, la silhouette de la jeune femme représente à s'y méprendre à celle des êtres protecteurs des forêts, les nymphes. Ses yeux représentent sa pureté jusqu'ici inviolée. Ce qui la rend bien plus désirable. Il est en effet superficiel de rappeler qu'on est attiré parce qu'on ne peut posséder. Cependant, la pureté ne rime pas avec innocence et bonté. Gabrielle a de nombreux défauts qui certes ne remettent pas en question sa virginité de corps et de cœur, mais la présence d'un semblant de timidité associé la plupart du temps à l'être pur. Très extravertie, jamais Gabrielle ne s'est trouvée dans un état d'angoisse quelconque. Sa confiance en elle en est pour beaucoup. Se considérant belle, et toujours bien habillée, elle ne rougira pas d'une rondeur passagère ou bien même d'une légère peau d'orange durant les périodes de noël. Ce côté exubérant lui apporte la sympathie des plus craintifs fort heureux d'avoir de leur côté un être fort psychologiquement mais aussi le courroux des plus introverties et des misanthropes.

Dès lors qu'une altercation à lieu, Gabrielle n'est pas encline à se laisser impressionner par n'importe qui ou n'importe quoi. Son intrépidité est contraire au caractère d'une biche ordinaire mais pas à celle de Cérynie, qui, ayant la lourde de tâche de veiller sur les animaux et la nature, doit être dépourvue de peur. Ce qui révèle au grand jour son tempérament imprudent. Franche, elle essaie tout de même de trouver les mots afin de ne pas blesser les personnes l'entourant; surtout celles de sa confrérie. Cette attention particulière pour eux provient de son côté protecteur mais aussi de sa conscience qui est aussi mal placée que sa fierté. Un mot, un geste déplacé, et voila que la demoiselle culpabilise à s'en mordre les doigts. Pas pour tout le monde, bien évidemment ! Ses ennemis peuvent mourir par sa faute, sous ses yeux, cela ne lui fera ni chaud, ni froid. Ainsi, dans le cœur de cette biche aux lourdes responsabilités, se cachent un côté bien sombre mis en avant par son mauvais caractère et son insensibilité face aux mauvais êtres. Ainsi, il n'est pas difficile de constater que les démons ne font pas partie de son répertoire d'amis, bien au contraire. Fort expressive, il sera dur pour elle de cacher ses émotions. Attristée par les aléas de la vie, elle sera obligée de trouver un endroit calme afin de laisser couler ses larmes. Au contraire, fâchée, elle défiera ses adversaires par son regard dédaigneux et son comportement insolent. Jamais elle ne désirera en venir aux mains, les paroles suffisant à calmer ou à faire taire. En effet, n'aimant pas être touchée, que ce soit par les hommes ou par les femmes, elle rejettera toutes tentatives de tendresse physique à son égard sauf pour un répertoire bien limité. Désirant garder sa pureté irréprochable, elle n'aura jamais été plus loin qu'un simple baiser sur la joue ou une simple accolade (à part pour son père). Qui tente à aller plus loin sera victime du courroux divin. Et des hommes ont parfois tenté le pire. Son visage lisse et arrondi, les joues rosies et la peau pâle ainsi que son aspect souriant, pur, et fragile attirent en effet la plupart des gros pervers d'une cinquantaine d'années. Néanmoins, Gabrielle ne se laisse pas impressionner. Disposant d'une endurance inégalée, digne de celle de la sauvage Atalante, la jeune fille est capable de courir quelques kilomètres sans s'essouffler, qu'elle doit à sa qualité de Biche de Cérynie, et sait rapidement décourager les prédateurs. De plus, Gabrielle aime être entourée d'hommes. Non pas que les femmes soient plus faibles qu'eux ! Mais ils lui semblent bien moins mauvais, plus compréhensifs, et digne de confiance. C'est ainsi qu'elle se retrouve que rarement seule. Le besoin de la jeune fille a être protégée ne se voit pas au premier coup d’œil. Il n'est pas rare pour une fille d'être entourée d'hommes, bien moins en tout cas qu'un homme entouré de femmes. Il faut la connaitre un minimum, la comprendre un tant soit peu, et vivre en sa compagnie de manière fréquente pour le remarquer.

Ce caractère enfantin, celui de vouloir une tendresse et une protection constantes, n'est en rien surprenant quand on y réfléchit bien. Sa terrible enfance en est pour beaucoup. Très peu choyée et chouchoutée alors que sa maladie lui promettait une vie bien courte, il est plus que normal qu'elle essaie tant bien que mal de rattraper le temps perdu. De son ancienne à sa nouvelle vie, Gabrielle n'a pas changé d'un pouce physiquement, à part peut-être quelques centimètres au niveau de la taille et la poitrine. Dotée de longs cheveux bleus fins, d'un large front, d'une bouche bien dessinée, et de yeux bleus étincelants, il n'est pas difficile pour elle de se faire accorder ce souhait. Vous l'aurez remarqué, Gabrielle s'aime à en pleurer. C'est ainsi qu'elle sera rarement attristée par les réflexions des autres qu'elle jugera superflue et immature. Néanmoins, ce n'est pas son amour (bien grand) pour elle qui l'empêche d'aimer et s'attacher aux autres ! Bien chaleureuse avec ceux qui le méritent, elle considère toutes les jeunes filles comme des princesses, qu'elles soient rondes, maigres, minces, jolies ou non. Parce qu'elle est aimée, Gabrielle a une réelle joie de vivre ! Habitée par l'esprit de la biche... Ou habitant l'esprit de la biche... Ou étant l’esprit de la biche, Gabrielle a eu de nouveau le droit à des jambes qui lui permettent de courir, de marcher, de sauter encore et encore jusqu'à en dormir d'épuisement ! C'est pour ce cadeau que Gabrielle est particulièrement respectueuse envers cet être mythique qui l'a choisie pour se réincarner. C'est ainsi qu'elle ne révélera jamais sa véritable nature aux autres êtres ! Son sang est en effet bien trop savoureux pour les laisser la toucher afin qu'ils y gouttent ! Néanmoins, le secret quant à sa nature de biche de Cérynie, sera souvent mis à mal par son envie irrésistible de se mettre nue. Non ! Elle ne le fait pas n'importe où ! Dans la forêt où peu de personnes sont capables de la voir. Pas que cela la dérange. Ne considérant pas son corps comme un outil sexuel, elle n'en rougira jamais. Néanmoins, surprendre des hommes la violer du regard l'énerve bien souvent. Pour terminer la présentation de la jeune fille, il est normal de décrire la Biche de Cérynie. Lorsqu'elle se transforme, Gabrielle devient une biche plus grande que la normal pourvue de cornes dorées et de sabots d'airan (de bronze si vous préférez)

»» HISTOIRE & COMPAGNIE

«Une myopathie ? Est-ce grave docteur ?»
«Oui. Cette maladie se traduit par une dégénérescence du tissu musculaire. Elle va mourir.»

C'est par une sombre journée d'hiver que la nouvelle tomba. Leur petite fille, alors âgée de 7 ans à l'époque, connaissait déjà son avenir. Fauteuil, puis lit d'hôpital, puis la mort. Triste réalité lorsque d'autres enfants ont toute la vie devant eux. Cette nouvelle, elle n'était pas la seule à la prendre très mal. Son père, et sa mère blâmèrent à de nombreuses reprises l'injustice de ce monde sans même se soucier de l'état psychologique de leur enfant. Déjà, le médecin leur ayant annoncé la nouvelle remarqua un égoïsme particulièrement fort chez eux, et s'attendait au pire au fil des années. La petite eu rapidement les médicaments nécessaires afin de lutter contre la douleur qui se faisait de plus en plus intense. Puis, lorsque le mal devint plus soutenu, il fut décidé à l’unanimité que l'enfant devait être placée à l'hôpital. Ses parents furent soulagés par cette annonce qui bouleverserait la plupart des pères et mères. Il était vrai qu'une jeune fille devenue handicapée par un aléa de la vie pouvait être vue comme une gène, voir même un obstacle pour une carrière. Ses parents voyageaient en effet beaucoup pour leur travail. Bientôt, cet amour pour une si jolie enfant devint rapidement une haine partagée pour les deux parents. Les frais d'hospitalisation ainsi que les visites devinrent mois après mois plus durs à supporter ainsi que le besoin d'amour permanent de leur fille. Il ne fallait pas aimer un être comme ça ! Elle mourrait à petit feu ! Cette maladie prendrait des années avant d'achever son œuvre ! Accompagner un malade durant une année passait encore, mais 30 ans, c'était bien trop ! Ainsi, les parents diminuèrent peu à peu les visites jusqu'à ce qu'ils décident de ne plus venir la voir du tout. Dans le cœur de la petite Gabrielle, le sentiment d'abandon était fort, voir bien trop vigoureux pour le supporter. L'abandon, quelle chose ignoble à supporter. Néanmoins, ce sentiment lui permettait de se sentir encore bien vivante. Qui détestait vivait encore. Pour les médecins de l'hôpital, elle devint rapidement un cas à prendre au sérieux. Non pas pour son état physique, mais pour son état psychologique.

«Alors ma petite Gabrielle ? Tu attends encore la venue du facteur ?»
«Humm...»

Voila plusieurs années qu'elle n'avait pas revu ses parents. Ils envoyaient de temps en temps des lettres, voir même des présents pour son anniversaire; mais sans plus. Gabrielle s'était habituée à vivre dans la plus triste solitude. Elle n'était pas la seule malade en fin de vie à séjourner dans cet hôpital pourtant. Cependant, s'attacher et voir partir l'autre quelques temps après n'était pas au goût de la jeune femme. Elle voulait discuter avec des personnes saines qui avaient la vie devant elles. Mais aucune infirmière ou aucun médecin n'avaient le temps de faire la discussion. Sauf un. Embauché le jour même de son arrivée à l'hôpital, il se prit rapidement d'affection pour elle. N'oubliant aucun de ses anniversaires, il la gâtait, elle qui était la seule à ne plus avoir de parents. Une amitié s'installa entre eux, voir même de l'amour paternel. Ce père de substitution lui permettait de rire de temps en temps mais n'enlevait pas ce sentiment permanent d'abandon qu'elle avait en elle. Obligée de vivre en fauteuil roulant, elle dut rapidement le remplacer par un lit d'hôpital. Ses jambes et ses bras ne lui permettaient plus de se déplacer. La vie devint chaque jour de plus en plus difficile à supporter. Néanmoins, son docteur l'abandonnait chaque jour une heure dans les jardins afin qu'elle y prenne l'air et profite de la nature. Même les jours de pluie ! Qu'elle aimait cette nature en perpétuel mouvement ! Chaque jour, tout était si différent. L'odeur et la chaleur de l'air, les chants des oiseaux, et des petits animaux venus quémander la nourriture des patients en balade.

«Que j'aimerai m'endormir pour l'éternité dans ce si joli endroit... Mourir sans avoir en bouche la nourriture écœurante de cet hôpital. Mourir sans respirer l'infecte odeur de javel. Mourir et ne plus être un poids pour quiconque... Mon Dieu, si tu m'écoutes. Laisse moi te rejoindre...»

Heure du décès, 10h30 du matin.
«Comme elle me semble paisible...»
«Ça va, vous tenez le coup ? Nous savons que vous étiez attaché à elle.»
«Je vais bien. Que disent les parents en cas de décès de leur enfant ?»
«L'hôpital doit s'en occuper s'ils sont en voyage. Ce qui est le cas. Je vous la confie docteur Askolein ?»
«Oui...»

«Hum... Où suis-je ?»
«Ouvre les yeux, tu verras bien»

Avec difficulté, Gabrielle ouvrit les yeux. Devant elle dominait un ciel bleu où quelques nuages essayait tant bien que mal de se montrer. Ce ciel était différent de celui de l'hôpital. Il n'était pas caché par les multiples grattes ciels de la capitale. Il était vierge de toutes constructions humaines. Où pouvait-elle bien être ? Par réflexe, elle plia les bras afin d'en voir d'avantage. Puis posa les mains sur l'herbe fraiche afin de se mettre assise. C'était étrange. Elle ne souffrait pas. Ses mains, il y a peu immobiles, étaient à présent capables de toucher avec ténacité la terre fraiche, et même d'arracher l'herbe sans aucun effort. Regardant avec obstination son corps, elle cherchait désespérément ce qu'il y avait de changé en elle. Elle était une toute autre personne, elle le savait ! Elle savait qui elle était ! Ce qu'elle était devenue ! Mais pas la raison pour laquelle elle l'était devenue... Les larmes aux yeux, elle cherchait un appuie afin de se mettre debout. Marcher, il fallait qu'elle marche ! Là tout de suite ! Sur le champs ! Il fallait qu'elle sente le vent lui souffler au visage.

«Du calme Gabrielle, du calme ! Tu vas finir par te perdre !»
«Mais papa ! J'ai un très bon sens de l'orientation ! C'est ma nature qui veut ça» Dit la jeune fille d'un ton pressant.
«Oui, mais je n'arriverai pas à vivre si je perdais mon bébé dans cette immense foule» S'exclama-t-il avant de la prendre dans ses bras.

Voila six mois que Gabrielle et le docteur avaient emménagé en Amérique. Dotée d'une nouvelle identité, la jeune fille s'appelait à présent Gabrielle Célesta Askolein. Célesta, à la mémoire de la jeune fille du docteur, morte dans le même accident que lui. Néanmoins, elle n'eut pas la chance de devenir un ange comme son père. Le docteur ne s'était jamais pardonné cet incident. Il n'avait pas pu protéger sa fille...
Durant cette longue période, Gabrielle avait informé son père de sa nouvelle nature; à ses risques et périls. Par instinct, elle savait qu'il était dangereux de révéler la véritable nature des mythiques. Leur sang était si pur qu'il aboutissait, dès lors qu'il était bu, à des comportements dangereux. Néanmoins, son père n'y toucha pas: trop heureux de voir en Gabrielle une nouvelle chance de voir s'épanouir une famille. Papa gâteau, il l'avait inscrite dans une école réputée mais aussi sécurisée afin qu'elle n'y fasse pas trop de mauvaises rencontres ! Cependant, l'académie étant un pensionnat, il serait obligé de vivre éloigné de sa fille un bout de temps... Ce qui le poussait à la câliner, à la gâter, et à la prendre en photo à la moindre opportunité. Même si cela gênait par moment Gabrielle, elle ne s'en plaignait pas. L'amour d'un père était quelque chose de bien trop précieux; elle en savait quelque chose. La journée au centre commerciale était la dernière avant son entrée au collège. Jupes, robes, pulls, chemises, tout y passaient; sauf les pantalons qu'elle portait en horreur.

«Et que ne doit-on pas faire dans l'enceinte de l'académie ?»
«Se mettre toute nue ou se transformer...»
«C'EST BIEN MON BÉBÉ ! Tu deviens grande !»

Au collège, elle y entra à l'âge de 13 ans. Deux ans plus tard, elle quitta la partie collège pour entrer dans celle du lycée. Entourée par ses camarades et par un père qui l'aime, Gabrielle sut s'épanouir et devenir une jeune femme sûre d'elle. De sa vie passée, Gabrielle ne semble se souvenir de rien. A quoi bon se remémorer un passé douloureux lorsque le présent est agréable ? Pour ne pas attirer l'attention, Gabrielle se fit passer pour un ange. Pas très compliqué en soit. De temps en temps, elle aime se transformer la nuit en forêt afin de retrouver sa nature de biche. Sa toute première transformation fut lors de ses premiers pas, il y a de cela 3 ans... Mais de ça, mieux vaut ne pas en parler... En effet, ce n'était en rien très élégant (je vous laisse imaginer xD)

»» BEHIND THE COMPUTER

■ Prénom/Surnom - Woo.
■ Âge/Tranche d'âge - 21 ans.
■ Comment as-tu trouvé le forum ? Il y a bien longtemps par google.
■ Ce que tu penses du forum - Je l'aime bien D8
■ Dans les kinder, tu préfères la surprise ou le chocolat ? Le chocolat ♥
■ Tu t'entends bien avec Bob l'Éponge ? Tout le monde m'aide 8D
■ Code - « OK - Soph'»

© Shaded Academy

Re-Bonjour et BON retour sur le fourum ♥ /o/

Hm. Je reprends les propos d'Alexis (histoire de faire style je fais mon travail)

Citation :

Très belle fiche, et vraiment un excellent niveau d'écriture

(N'empêche que je l'avais lu aussi la fiche è__é).
Breaf. Tu es validée ♥