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Les rues ne sont plus sûres le soir

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MessageSujet : Les rues ne sont plus sûres le soir
Les rues ne sont plus sûres le soir Icon_minitimeJeu 29 Sep - 19:26



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-20h37... Il est trop tôt, Il est trop tôt...

Trop longtemps...

-Trop longtemps, mais il est trop tôt...


Une ombre se déplaçait sur les toits d'un quartier d'habitations assez mal famé, assez proche du centre ville.

Aurais tu peur ? Tellement de temps depuis...

Il ne veut pas répondre, et il continue de se déplacer sur les toits... Observant les ruelles, discret dans l'ombre de la nuit tombée.

-Pas là... Trop tôt, trop de monde, trop risqué...

Il parlait, mais assez bas pour qu'on ne l'entende pas. Son cœur se serra quand son regard plongea dans la ruelle proche... Les habitations étaient serrées, mais la jeune femme arrivait bientôt à un carrefour...

Ton plat favori...

-Tais toi !

As tu tout oublier ? As tu oublier ton petit rituel ? As tu donc tout oublier ? Qui plus est elle est certainement plus pure que les autres...

Le silence s'installe, ponctué par les bruits de pas de la femme plus bas... Ses yeux sont scotchés sur elle, il marche au même rythme, mais sans le moindre bruit...

Elle avançait sans se soucier de rien... Elle s'immobilisa juste avant le carrefour... Repéré ? impossible ! ... Non, elle reprend sa route, fausse alerte... Qu'avait-elle donc rem... On l'attrape par le bras, on la tire dans une ruelle !

N... !

On venais d'étouffer sa voix. Le démon pressa le pas. Le carrefour donnait en particulier sur un cul de sac où se démenaient six personnages... Ils lui semblaient si jeunes...
Quelques secondes seulement devaient s'être écoulée, pourtant la femme était déjà malmenée et maintenue...

-23h49... Je tombe des toits...

certains regards se portèrent sur lui... Il souriait alors qu'une voix dans son oreille l'incitait à avancer...
Il souriait ? un des jeunes avança... si jeune, bien bâtit... Il lui adressa quelques mots, sûr de lui... que disait-il ? peu importe... Le démon sourit...

-20h50... Un mort...

Un petit rire de l'humain... Son dernier. Le démon se jette dessus, arrache sa jugulaire à la main, et tire dessus, le jetant sur ses camarades qui jettent la jeune femme pour s'occuper de lui... Ils n'ont pas encore tout compris...

Une barre de métal le frappe à l'épaule... Ce n'est qu'un détail, le démon attrape sa main, puis son épaule... Il tire, un bras s'arrache, la barre tombe... Deux hommes se jettent sur lui simultanément... il attrape le crane de l'un... serre... Un bruit sourd, quelque chose qui explose... Puis... Un couteau entre les côtes. Le démon est rapide... il arrache l'un des yeux de son agresseur... Un coup de poing dans la face, un mort, les craquement l'attestent, il lâche les deux, le dernier se recroqueville... Le démon l'attrape... Son visage heurte une fois celui de la victime... Puis, le tenant par la nuque, il l'explose une fois contre le mur... puis deux, et trois... et quatre...

...Je vais.... Bien...
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MessageSujet : Re: Les rues ne sont plus sûres le soir
Les rues ne sont plus sûres le soir Icon_minitimeMer 5 Oct - 21:16


Valkyrie & Leader Utopia

Evangeline Von Sternberg
Evangeline Von Sternberg
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Personnage sur l'avatar : -Anarchy Panty-

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A travers la fenêtre, le ciel était aussi sombre que les ténèbres, mais le char vaporeux de la Reine des ombres l'illuminait et veillait sur nous. J'étais allongée sur mon lit avec mon kimono. Pourquoi en kimono me diriez-vous ? Je ne sais pas. Sans doute l'agréable douceur de la soie sur me peau, sa fraîcheur et sa légèreté. Je m'ennuyais, seul dans cette chambre. Je regardais l'heure : 20h, il faisait déjà nuit... Le bâtiment était calme, silencieux. Tellement endormit que je pouvais entendre mes faibles respirations et les légers battements de mon cœur, encore trop faibles pour subir une quelconque altercation.

Je sortis de mon lit sans m'en rendre compte, et marcha vers mon armoire. Les portes grincèrent presque quand j'ouvris les deux portes massives de bois d'ébène. Les yeux encore fatigués et ennuyés, ils parcoururent à une vitesse fulgurante son contenu et s'arrêtèrent sur quelques vêtements que mes pâles mains prirent. Un T-shirt ample, un short noir... Simples, confortables et valorisants. Je sortie de ma sombre chambre où je me sentais trop à l'étroit et marcha lentement vers la ville.

Il faisait sombre et seul la lune, quand elle ne fut pas cachée par les nuages grisâtres, guidait mes pas. Le silence m'apaisait, j'étais seul. Seul à parler avec moi-même, seul à penser sur mon existence, du pourquoi suis-je encore en vie. La solitude est un art. Un art qui rend sensible et libre dans la douce absence des regards. Ma solitude était rythmé par le doux bruit de mes chaussures. Un pas régulier, léger et lent. Mais... Une chose me perturbait... Un étrange sentiment de danger. Je passa lentement ma main sur mes vêtements : Rien. Je n'avais rien pour me défendre en cas de besoin. Juste mon corps, trop fatigué se soir, pour frapper.

Les rues ne sont plus sûres le soir 11100511230381000

A la sortie de la sombre ruelle en tombant sur le grand carrefour, je stoppa ma marche. Je ne me sentais pas en sécurité, ici. Surement juste une impression... Puis, je me retourna furtivement sentant une présence derrière moi.

- N... !

Je n’eus le temps de réagir que l'on m'agrippa par le bras et m'emmena dans un cul de sac étroit, sombre et froid. Une main pressait mes lèvres, étouffant ma voix, une autre me maintenait fermement, ne me laissant comme autre choix de les suivre au fond de cette ruelle. Il devait être au nombre de 4 ou 5, voir peut-être plus pour pouvoir me tenir ainsi. Ma tête cogna un mur, puis un autre. Quelques secondes leur suffirent pour me désorienter. J'étais à présent retenue prisonnière, plaqué contre l'un de ces édifices à la surface moite, humide et glacé. Je ne pouvais plus rien faire, mis à part subir leurs pulsions et attendre. Non, je ne pouvais plus bouger. Non, je ne pouvais plus crier. Quand, le visage quelque peu ensanglanté, un des hommes me lâcha. J'en profita pour me débattre, mais un autre me fit tomber, genoux à nu, sur le goudron. Je relevai la tête, les yeux laissant perler cette substance saline sur mes joues. Un homme les avait interpellé par sa soudaine présence. Seul un petit groupe se détacha. Moi, je restais avec deux gaillards. Ils me parlaient, mais je ne cernais pas leurs mots, ma tête me faisait trop mal. Je basculais encore dans tous les sens, me faisant attraper par le T-shirt, par les jambes et les cheveux. Je voulais crier, mais je n'y arrivais pas, j'avais mal, trop mal; j'étais fatiguée et une sorte de peur me serré la gorge.

Les rues ne sont plus sûres le soir 111005112311375072

Puis, sans que je ne m'en aperçoive, je fus jeté vulgairement sur le sol, ma tête heurtant un objet métallique. Des cries, des ricanements : Voila ce que j'entendais. Je me crus comme dans un mauvais rêve quand j'aperçus des membres de corps humains voler dans les airs. Le sang souillait le sol, des cadavres gisaient ici et là; rien ne semblait normal, anodin. Je posa une main dans une flaque rougeâtre, me relevant avec peine, tout d'abord sur les genoux, puis reprenant petit à petit les esprits, je réussis à me remettre sur mes jambes. Je regardais autour de moi cherchant, malgré ma vision brouillé par les larmes, l'auteur de ce crime, aussi sanglant et mauvais que bon et délivrant.

Je commençai à marcher, titubant, me rattrapant à ce que je pouvais. Mes jambes me faisaient mal, mon CORPS me faisait souffrir. Je ne devais pas être très charmante à voir : les habits à moitié déchirés par endroits, une peau où perle de nombreuses gouttes rougeâtres et sombres... Je ne savais même plus à qui il appartenait. Je posa une main sur ma tête, essayant de distinguer la personne. Sa silhouette me disait quelque chose, mais je voyais encore trouble. Essuyant mes yeux du revers de la main, je commença d'une voix encore tremblante :

- Qui... Qui êtes-vous ?
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MessageSujet : Re: Les rues ne sont plus sûres le soir
Les rues ne sont plus sûres le soir Icon_minitimeJeu 6 Oct - 16:21



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Son souffle est court, rapide... Il tient encore ce qu'il restait d'un corps à la main...
Il se tourne vers la voix.

- Qui... Qui êtes-vous ?

Une question si stupide... Il lâche le crâne écrasé qui en tombant au sol produit un *SPLOTCH* En entrant en contact avec une marre de sang.

Il n'y a chez lui rien d'humain. Sa peau autrefois pâle est totalement tachetée de sang...
Il fait un pas vers l'avant.

Ses yeux de glace semblent avoir fondu sous la folie. Il ne s'agit plus d'un regard implacable, mais bien terrifiant, empli d'envie et de rage, la folie meurtrière coulant sous forme liquide dans ses veines.
Il avance d'un autre pas. Il grogne légèrement.

Du sang coule le long de sa jambe. Le couteau planté dans son corps commence à se faire sentir, il le prend, aggrave sa blessure en le retirant, plante la lame dans un mur, perforant le mur tout en brisant une grande partie de la lame.
Il avance, encore quelques pas.

Il peut à présent sentir l'ange, mais il ne lui vient que l'odeur du sang, alors qu'une petite voix dans sa tête lui cri de continuer, au bord de l'extase.
Il tend la main.

Il la regarde... Il passe un coup de langue sur ses propres lèvres, sans s'en rendre compte, goûtant le sang qu'il a fait couler...

En lui, cette petite voix continue de le secouer, lui rappelant son passé, ce qu'il a fait, voulu faire, fera.

Le démon attire Evangeline contre lui d'un bras fort, sa respiration est irrégulière, il laisse échapper un petit ricanement ce qu'il y a de moins humain, la serre contre lui, la salissant du sang l'ayant souillé.

Une voix calme, froide.

Je suis là...
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MessageSujet : Re: Les rues ne sont plus sûres le soir
Les rues ne sont plus sûres le soir Icon_minitimeMar 22 Nov - 18:23


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Les rues ne sont plus sûres le soir 111116081236509867

J'étais dans la confusion la plus totale. Jamais, jamais dans ma vie tranquille je n'avais été victime de ce genre d'agression... M'arrêtant sous la fatigue, je m'appuyai contre un tas de caisses en bois. L'ombre lâcha le crâne qui tomba dans une marre sanglante, faisant un bruit des plus effrayant, dans le lourd silence qui c'était installé. Je n'osais plus rien dire, me tenant l'épaule qui me soutenait faiblement. Je tremblais encore quelque peu, sous l'effet de l'adrénaline, de la peur.

Il fit un pas en vers moi. Mes yeux commençaient à s’habituer à l’obscurité et je pus voir des yeux bleu. Un bleu encore plus clair que les miens, autrefois brillant de bonheur, se soir brillant de l'armes. Elles coulaient lentement depuis plusieurs petites minutes, se mêlant à du rouge. Le regard de mon "inconnue" était terrifiant. Un regard plein de rage, surement, mas je ne pouvais en dire d'avantage.

Je continuais de parcourir son corps du regard, voyant que sa peau était plus que tâché du sang de mes agresseurs. Je vis, avec surprise, qu'un couteau était toujours planté dans sa jambe. Cependant, il fut vite jeté contre un mur, s'y plantant en s'y brisant une bonne partie. Sa blessure s'était bien amoché et la seul idée me venant était de lui apporter des soins.

Je m'y connaissais en soins, ça oui ! Avec toutes les batailles menées avec ma chers jumelle... Des blessures de ce genre, nous en avons vu, même quelques fois des bien plus graves. Voila pourquoi je trouvais totalement stupide le fait que mes yeux s'embrumaient de larmes.

Il avança plus encore et je restai immobile. Cette homme, dont je ne voyais pas nettement les traits à cause de cette sale substance saline, me faisait froid dans le dos. Il avait beau m'avoir débarrassé de cette bande d'individus mal intentionnés, il me donnait tout de même la chair de poule. Il semblait aussi beaucoup plus dangereux qu'eux, plus fort, plus intelligent.

A ma grande surprise, il me tendit la main. Je ne savais que faire. Il semblait préoccupé, ça, je pouvais le sentir malgré mes yeux presque aveugles. Il ne semblait aussi pas humain. Je connait bien les humains, aucuns d'eux n'a une telle force. Il n'est aussi pas un ange. Ceux que je connais n'auraient jamais fait une telle chose. Les seuls options s’offrant à moi était soit qu'il était une espèce mystique, froide, et sanguinolente, soit un vampire ce qui me paraissait plausible. J'en connait certains mais plus particulièrement un, mon beau-frère. Ou bien était-il un démon. Comme ma sœur, une personne aimant faire le mal autour de soit, que nous autres les anges avons beaucoup de mal à supporter.

Là, une pensée me traversa l'esprit. Ma jumelles n'était pas le seul démon que je connaissais et appréciais ! Lunor, le directeur de l'académie. Je l'avais rencontré durant une journée pluvieuse, je m'en rappelle encore, avec Andy, le petit vampire n'appréciant ce qu'il était.

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Des mots voulaient sortir, m'en rient ne se fit entendre, mis à part cet insoutenable silence. Il me regarda, passant sa langue sur ses lèvres rougis par le sang. Ma main c'était levé d'elle même vers la sienne. Je sentis en moi la peur s'estomper, les larmes cesser et mon cœur, déjà mort une fois, se réchauffer.

Il m'attira contre lui avec une telle force que le peur reprit légèrement le dessus, saccadant ma respiration qui c'était calmé. Mes yeux restèrent ouverts, de peur de subir une nouvelle fois ce qui venait de se passer, de le revoir. Je pus entendre alors un petit ricanement, bien propre à sa personne. Il me serra contre lui, me tâchant encore un peu plus de sang.

- Je suis là...

Il avait eu une voix calme et froide, pourtant je me sentis plus en sécurité. Ma respiration commençais à se calmer et je pus enfin reprendre le contrôle de mes faits et gestes, même si mes jambes me soutenaient peu et que mon corps ayant froid souffrait de quelques contusions, pour moi banales, mais qui, cependant, se faisaient désagréablement sentir.

Je le pris à mon tour dans les bras, étant en confiance de part le fait que je savais qui il était. Fermant les yeux, j'essayais de ne pas penser au décor macabre, aux corps démembrés, gisant sur le sol souillé par leur sang, et à la peur qui m'avait soudainement envahit par la surprise de leur venu.

- Lunor... Que je suis heureuse que se soit toi...

Ma voix était redevenue ce qu'elle était : Une voix douce, comme les pétales fragiles des roses, chaleureuse, comme je le suis avec ce qu'il me reste de ma famille, calme, comme se que je me dois d'être à chaque instants, comme ma jeune vie d'il y a plus de 5 ans. Ni m voix, ni mon regard ne pouvaient garder secret mes émotions. On pouvait me lire comme on lit un livre ouvert. Je restais dans ses bras, j'étais bien, je me sentais en sécurité malgré le fait qu'il soit un vampire sanglant, dont nous autre devons craindre au plus haut point.
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MessageSujet : Re: Les rues ne sont plus sûres le soir
Les rues ne sont plus sûres le soir Icon_minitimeDim 26 Fév - 19:50



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Le démon tenait fermement Evangeline dans ses bras, il pouvait passer pour attentionné alors qu'une petite voix lui parlait à l'oreille. Il semblait presque... Ailleurs, comme perdu dans un autre monde. Il ne la regardait pas, alors que les arguments devenaient plus nombreux, plus présents, plus tentant.

Une ange fraiche et jeune, depuis quand n'as tu pas eu tel délice à te mettre sous la dent. depuis qu...

-Tais toi.
Il avait parler à voix haute, un ton sec, brusque. Son regard se porta à nouveau sur Evangeline, habité d'une lueur de folie, il lui sourit, non pas le petit sourire qu'il avait prit l'habitude d'arborer, ni celui sincère d'un ami. Celui d'un dément qui vient de trouver une preuve qu'il ne l'est, un large sourire tout en dents et prenant sur le visage une place presque irréelle.

Cela ne t'ouvre donc t-il pas l'appétit ? Tu as fini le plat principal, prends ton donc dessert, elle t'as vu, elle ne bougerait même pas pour s'échapper.

-Pas maintenant... Pas maintenant, plus tard...
Son visage redevint impassible, il gardait son regard fixé dans le sien, à présent libéré de cette étincelle de démence, provisoirement.
Visiblement quelque peu plus fort qu'il n'en a l'air, il souleva Evangeline de terre, la plaçant allongée dans ses bras, le tout avec une déconcertante facilitée, commençant à marcher vers l'académie comme si elle ne pesait rien, marchant dans une flaque de sang sans s'en apercevoir... N'ayant toujours pas décrocher son regard du sien, la fixant avec gourmandise, elle et le sang ayant trouver place sur son visage. Il murmura, silencieusement.

Pas maintenant, ne parles pas... Tais toi... Allons à l'académie... On y sera mieux...
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MessageSujet : Re: Les rues ne sont plus sûres le soir
Les rues ne sont plus sûres le soir Icon_minitimeJeu 1 Mar - 21:18


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MessageSujet : Re: Les rues ne sont plus sûres le soir
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