Quand on s'ennuie, il y a différent type de solution : la première consiste a continuer de se faire chier, quitte a perdre une journée de sa vie jsute pas flemme ou par non vouloir. C'est généralement ce que les flemmard comme Antoine ou encore les vieux, prennent. L'effort est trop dur et le trajet trop longs, ou alors chercher l'idée dont on a besoin pour essayer de se défouler est juste trop long. La deuxième option, qui me correspond le mieux je pense, c'est de ne rien faire, mais ailleurs. Tu t'emmerde au bahut, va t'emmerder ailleurs au moins tu vois le paysage. Aujourd'hui par exemple, apres etre sorti de ma "je ne sais combien exactement" d'heure de colle, je pris mon livre sur les etres mythologique, une poche de sang et quelques marques pages avant de sortir. C'est vrai apres tout, pourquoi je dois rester entre 4 murs pour lire ? Y a aucune loi qui me dit que je dois rester enfermer alors, je sors et je vous merde !

Il faisait moche aujourd'hui... Le soleil brillait fortement, le ciel bleu n'avait aucune rides, aucun nuage... Donc oui il faisait moche pour moi. Il manquait quelques nuages gris, des cordes de pluie et un brin de vent pour que ce soit parfait. Ahlalala... Si seulement je pouvais lire tranquillement sous un arbre, devant la pluie... Mais bon ce serait un autre jour où je m'emmerderai, il y en a tellement ici !! Mais c'est vrai non ? A peine une activité est fini que tu chercher a droite et gauche pour trouver autre chose... Dite pas le contraire ! Bref... Alors qu'antoine n’arrêtait pas de me murmurer que je ne devrai pas lire mais plutot chercher des filles ou des emcs avec qui "m'amuser", que trop lire me ferai simplement paraître solitaire... Il fallut que je m'arrete, et que je dise simplement un ferme ta gueule pour qu'il se taise... Et que tout le monde autour de moi se retourne aussi...

Je n'avais meme pas fais attention, a force de penser avec moi meme et antoine, mes jambes m'avaient guidés vers le centre ville... Et maintenant que je l'avais ressenti, je sentais les oderus des humains... des hybrides, des anges et de toute créatures qui se baladaient dans les environs. C'était a la fois attirant mais aussi déconcertant; toute cette nourriture a porter de dents, et la seul chose que je devais faire c'était en attirer une dans une ruelle... Touuut doux mon petit Gabriel, tout doux... Là tu dois juste lire un livre, tu as assez d'emmerde avec la justice comme ça... C'était chiant d'avoir deux personnalité, on ressent toujours ce que l'autre a envie meme si ce n'est pas l'envie exacte a laquel vous aviez envie de penser... Vous me suivez ?

Toujours étant, que je du me forcer, moi et Antoine, de sortir d'ici sans toucher qui que ce soit, que ce soit a leurs cou ou a leur c... postérieur. J'en avais mal au crane tellement j'avais du mal a me tenir droit psychologiquement parlant. Je courrai sans me rendre compte, courant comme un dératé, usant de mes forces vampiriques sans aucune réel envie de faire cela... Mais le résultats était là : j'étais devant un lac, un lac rond, à l'eau bleu nuit malgré le jours, entourer d'arbre et d'herbe verte... C'était assez étrange car, sous les feuilles de ces arbres, l'ombre qu'elles projetaient était proche de la fraîcheur de la nuit... J'eu un sourire avant de m'y installer, mettant ma poche de sang a l'ombre pour le glacé, m'adossant a un tronc et croisant mes jambes avant de commencer ma lecture

- je ne sais pas ou je suis... mais c'est bien calme en tout cas... parfait.

« La tête dans l’cul l’cul dans l’brouillard. ♫»

Trop de soleil.
En posant son bras devant son visage, pour faire entrave au soleil, qui filtrait entre ses volets, la jeune blonde poussa un long grognement, qui voulait tout dire sur son état. Dormiiiir... Encore... Un tout petit peu ? Mais... Visiblement, le soleil, ce connard, en avait décidé autrement. Après un autre grognement, pour exprimer son mécontentement, la jeune hybride envoya voler la couette plus loin, jusqu'à l’autre bout de sa chambre même. Sans attendre, le froid, ce fourbe, vint mordiller doucement la peau de la jeune fille, qui se mit rapidement à grelotter. Merde. Y faisait froid en fait. La fraicheur emporta sur la flemmardise, et réussis à faire lever Loreley, qui trainait a présent des pieds, jusqu’à sa salle de bain. Une bonne douche. Elle avait besoin d’une bonne douche. Pour se réveiller.

Une fois ses 25m quotidienne passée, a se prélasser sous l’eau chaude de sa douche, la jeune femme en sortit, une serviette nouée a sa poitrine enveloppait son corps, et une deuxième, était soigneusement placé autours de sa tignasse blonde, en turban. Comme toujours, très sexy a la sortie de sa douche, la demoiselle se posta devant son armoire, grande ouverte, et y resta, plantée, durant... 10mn. Minimum. Après ses longues minutes qui lui parurent une éternité, la jeune femme finit par jeter son dévolu sur une robe corset blanche, qui moulait son corps soigneusement, et la mettait plutôt joliment en valeur. Elle enfila des bas, et des jarretelles, sa robe s’arrêtant a la moitié de ses cuisses, et laissant donc apparaître ses fines jambes a la peau opaline, qu’elle couvrait donc en conséquence.

Sur la pointe de ses pieds, la jeune blonde s’approcha de la fenêtre, écartant légèrement ses rideaux de deux de ses doigts pour regarder à l’extérieur. Merde. Il faisait vraiment beau. Elle avait eut raison de s’habiller légèrement. Elle fit la liste, sur ses doigts, des choses qu’elle avait à faire aujourd’hui : Rien, rien, rien... et peut être rien. En haussant les épaules, la jeune femme esquissa un sourire satisfait, trottinant jusqu'à son tiroir, ou elle attrapa ses talons, pour les enfiler. Rien à faire, voulait dire... SORTIE ! Elle attrapa au vol, son porte clef, l’enfouissant dans son sac à main blanc dont elle avait pris possession, et sortit de chez elle, claquant même un peu trop violemment la porte, à son humble avis.

Après avoir parcourus plusieurs mètres, a courir comme une idiote, ses talons claquant le sol bruyamment, alors que les gens se retournait sur son passage, la jeune femme s’arrêta brusquement. Mais... Elle allait ou comme ca ? C’était bien de vouloir sortir, mais, si elle n’avait pas de destination précise... Elle faisait quoi ? Riant toute seule, au milieu de la rue, la jeune femme rougit, se reprenant rapidement, en faisant mine de rien, et préféra tout miser sur le hasard. Après tout, comme on dit, ce dernier fait bien les choses, alors peut être tombera elle, ou vivra elle quelque chose d’intéressant ?

En moins de temps qu’il faut pour le dire, la jeune femme se retrouva hors de la ville, a traverser une petite forêt, et finit par atterrir au bord d’un lac. Son regard, rose, se perdit un long moment dans l’eau du lieu, alors qu’elle s’approchait en silence de ce dernier. Elle finit par poser son derrière sur un rondin de bois, et ensuite son sac a terre. Peu après, elle se rendit enfin compte de la présence de quelqu’un d’autre. Non par sa vue, mais par son odeur. Une odeur acre, et froide. Seule une seule race avait cette odeur, désagréable à ses narines : Les vampires. Ses gènes de louve se mirent en alerte, alors qu’elle se redressait, tout comme ses oreilles miel, tournant alors son visage vers le garçon en question, croisant son regard, alors que la jeune hybride gardait le silence..

-Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire...

Le cid, c'était le livre que je dévorais en ce moment même, a la fois sanglant et romantique, tragique et comédie, c'était vraiment un livre que j’appréciais depuis ma plus tendre enfance. Je connaissais par coeur les détails de l'histoire, les répliques les plus audacieuse et les dialogues les plus dibalé... Je me reprenais souvent à me demander pourquoi j'aimais autant ce livre, et les livre tout court d'ailleurs. J'aime etre tranquille dans mon coin, ne rien demander a personne, rester tel que je suis sans contrainte. J'aime aussi ne rien fais du moment que je le fais seul. Cela expliquerai alors mes notes et mes appréciations, ça et le fais qu'antoine se donne un malinplaisir de me torturer durant les tests, voir a les passer lui même. Comment voulez vous que je me concentre avec une voix d'acier qui me murmure de tout détuire pour ensuite simplement partir en chantant accapella la danse des canards ?! C'est juste impossible...

Bref, alors que mes yeux vairons roulaient et me donnaient les réplique de mon livre, Antoin se mit a murmurer dans mon esprits... quelqu'un nous espionnait, ou plutot quelqu'un nous avait rejoins... Il ne me fallus guère de temps avant que mes yeux ne se posent sur la jeune fille qui avait fait intrusions... Bon cet endroit n'était pas le miens, mais je voyais là 2 obstacle à sa présence : tout d'abord, j'aime cette endroit pour sa fraicheur et sa solitude... La solitude c'est seul et pas a 2. Ensuite, elle est blonde, je m'excuse mais les filles et les mecs blonds je n'aime pas trop, ils sont cons et en plus la couleur de leurs cheveux me fait penser au soleil... beurk... Je préfère largement les bruns et les brune...

Durant ce petit monologue, mes narines se redressèrent un peu... Humant alors l'odeur forte qui régnait depuis peu ici, une odeur de chien mouiller et transpiration abondante... Veuillez m'excusez, il n'y a pas 2 mais 3 raisons maintenant, cette fille, cette blonde, était une Lycanthrope. Inutile de vous faire un dessin non ? Vampire, lycan... Nan ne me parlait pas de Twiligth !! Nos races ce font la guerres depuis longtemps, bien que ces derniers décennie, la rage soit devenu un simple dédain... Je fis mine de rien, après tout je n'avais aucune raison de lui faire du mal. Cela ne m’apporterai rien...

-Tu pourrai te payer une tranche de combat, de sang et de plaisir de la douleur Gabriel.. laisse moi le controle...

-Tais toi et reste sage, je ne compte pas lui faire quoi que ce soit...

Mes yeux retournèrent alors sur mes pages de mon livres, les tournant apres chaque fin de celle ci, pourtant mes yeux roulèrent de temps à autres vers la lycan. Si moi je voulais juste rester tranquillement seul, elle, qu'es ce qu'elle voulait ?