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Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français

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MessageSujet : Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français
Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français Icon_minitimeLun 6 Fév - 15:34



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FICHE DE PRESENTATION
Jusqu'où êtes-vous prêt à aller pour votre confrérie ?

« Jusqu’au fond des choses, quitte à m’enfoncer pieds écorchés et mains nues dans la lie méphitique de la bêtise et de l’ignorance. »

« Leonar N. Pejic »
▬ IT'S ALL IN YOUR MINDS.


Un esprit acéré et vif, dans un corps doux et sensuel. Une épée forgée du métal le plus dur, le tranchant effilé comme un rasoir, soigneusement rangée dans un fourreau de velours. On pourrait continuer la métaphore longtemps, mais vous avez déjà compris. Sous ses airs ingénus, innocents, naïfs presque, Leonar est doté d’une intelligence aiguë, renforcée par ses nombreuses lectures. Il est érudit, et ne cesse au fur et à mesure des années de repousser les murs de son ignorance. Si certains peuvent être qualifiés de ‘rat de bibliothèque’, Leonar en est le roi. Combien de fois a-t-il passé plusieurs jours de suite entre deux rayons de livres, ne reposant son ouvrage que pour les besoins les plus nécessaires ?

Evidemment, une telle curiosité et de telles connaissances ne pouvaient mener qu’à une brillante carrière universitaire. Leonar aurait pu choisir l’histoire, ou les sciences pures, mais il s’acharna à s’évader dans de nombreux romans, transporté par les myriades de style d’écriture que l’on pouvait déployer pour exprimer la même chose. Chaque être humain était différent, et chacun exprimait ses émotions, racontait sa vie, narrait une histoire de façon différente. Et à chaque fois, Leonar se régalait, véritable bibliovore qu’il était devenu. Certes, tous les romans n’étaient pas faits du même bois, et n’avaient pas tous le même genre de public cible, mais la largesse d’esprit de Leonar lui permettait de passer outre les préjugés. Il pouvait dévorer un grand classique de la littérature française du XIXe siècle, enchaîner avec un thriller scandinave contemporain, et finir sa soirée en entamant l’énième tome de cette célèbre série de bitlit.

Cette vie enfermée dans les livres a rendu Leonar un tantinet solitaire, il faut bien le reconnaître. Mais ça ne veut pas dire qu’il n’apprécie pas la compagnie humaine, ou qu’il n’en ait pas besoin. Au contraire… Leonar est un ami affectueux, loyal et avisé, lorsqu’on le connaît assez bien. Evidemment, il ne donne pas sa confiance à n’importe qui, mais sa sympathie va à tout le monde. Il est toujours prêt à donner une seconde chance à ceux qui en ont besoin. En un mot, Leonar est bon. Mais comme vous l’aurez sûrement deviné, son esprit vif l’empêche de tomber dans la stupidité naïve, trait que lui prête souvent, du fait de son apparence fine et quelque peu maladive. Ce serait une erreur de penser que l’on peut le duper aussi aisément. One does not simply…

Malgré son sérieux, n’allait pas non plus croire que Leonar est totalement dépourvu d’humour. Il en a, à revendre même ! Mais il s’agit toujours d’un humour un peu pince-sans-rire, quelque peu précieux. Leonar donne souvent l’impression de venir d’une autre époque - ce qui n’était pas totalement faux, mais qui n’est pas l’époque à laquelle on pense réellement. Il y a quelque chose de noble et de profondément respectueux dans la manière d’être et de parler de Leonar. Il fait donc un parfait professeur de français, quand bien même il véhicule des stéréotypes qui ne sont même pas de son origine et de sa culture première. Peut-être devait-il blâmer cette féminité en lui… Alors même qu’il paraît, au premier abord, être un homme des plus équilibrés de ce côté-là. Depuis quand la sensibilité, la compassion, et l’amour inconditionnel devaient être l’apanage du féminin ?


▬ IT LOOKS JUST LIKE YOU'D WANT TO.


Ah, le physique. Une chose à la fois primordiale, et peu intéressante pour Leonar. Comment expliquer ce paradoxe ? C’était simple : autant il aimait être présentable, propre, sans aucune imperfection physique, autant il se fichait de l’apparence des gens, ou de ce que la sienne pouvait évoquer chez eux. Du moins, de ce que ça pouvait évoquer de négatif.

Dire que Leonar était efféminé était à la fois vrai et faux, et surtout, affreusement réducteur. Il n’était pas ‘effeminé’, il était ‘féminin’. Un subtil et parfait mélange de féminin et de masculin chez lui, bien que les cerveaux binaires n’y vissent sûrement qu’un métrosexuel qui se fut pris pour une poupée. Au sens le plus strict du terme, et pour faire plaisir à ceux qui aiment cocher des cases dans les sondages, Leonar est bien un homme. Entendez par là qu’il possède effectivement un pénis et des testicules, le tout en parfait état de marche, et qu’il ait des pectoraux - très discrets - mais aucune glande mammaire cachée sous ses tétons. Il y a peut-être une explication génétique à cela, bien que ce ne soit pas toujours le cas. Leonar l’ignore, mais il est une chimère hématopoïétique : alors qu’il n’était qu’un embryon dans le ventre de sa mère, il a fusionné avec ce qui devait devenir sa sœur jumelle, et possède désormais deux groupes sanguins, et deux ADN différents. Serait-il né de nos jours qu’il y aurait eu moyen de le détecter, mais dans les années 30… Et maintenant qu’il sait qu’il est un peu plus qu’un simple humain, il rechigne à laisser les médecins le tripoter trop longuement. En fait, il n’en voit quasiment jamais. Et puis, ce n’est pas comme s’il vivait mal le fait d’être à la fois homme et femme !

Mais assez de ces questions futiles à propos des sexes et des genres ! Leonar est avant tout un être humain - à défaut d’avoir un meilleur terme - plutôt grand, toute en longueur. Pas de cette longue étirée, ‘du beurre sur une tartine trop grande’ pour reprendre une expression bien connue. Non, il s’agissait de cette longueur bien proportionnée, élancée vers les hauteurs comme si la force gravitationnelle ne comptait pas. Face à Leonar, sa stature aérienne, ses membres déliés, ses mains fines et légères et sa longue chevelure ondulée d’un blond platine naturel, on pouvait croire que Newton s’était trompé dans ses calculs. Et pourtant, il n’était pas une apparition, pas plus qu’une créature légendaire. Enfin, ça, c’était avant sa mort.

Il n’a pas pris beaucoup de sa créature mythique, Sandalphon, ou plutôt, il n’en avait pas besoin. C’était comme si le Sandalphon était fait pour lui, et non l’inverse… Sous forme mythique, ses yeux bleu-gris deviennent d’un bleu pur, glacial, agressif, magnifique, et ses cheveux flottent autour de lui comme un halo argenté. Il lui arrive aussi, dans cette forme, de flotter à quelques centimètres du sol, mais jamais pour bien longtemps. Mais la chose la plus frappante, c’est que sous cette forme, la plupart du temps du moins, le torse de Leonar se pare de formes sublimes et généreuses, sans pour autant afficher un pubis glabre. Leonar peut alors se parer des attributs des deux sexes… Et dans certains cas, cette apparition de Sandalphon est tout à fait asexué : ni poitrine, ni chose pendouillante entre les jambes. De quoi, dans les deux cas, choquer les bien-pensants. De toute façon, Leonar n’invoque jamais cette forme, simplement parce qu’il n’en a pas besoin non plus. Son apparence humaine rend déjà assez justice à Sandalphon, il faut bien l’avouer…

Et Leonar lui rend parfois hommage, quand il peut se le permettre. Sa garde-robe semble abriter les vêtements de deux personnes différentes : les costumes, les chemises côtoient les jupes et les robes. Même remarque parmi ses nombreuses paires de chaussures : ses mocassins se fondaient presque naturellement ses escarpins. La nature avait plutôt bien fait les choses sur ce point. Leonar avait beau être grand, ses pieds n’avaient pas vraiment suivi. Il faisait un petit 41, ce qui n’est pas tellement gênant quand on aime à flâner dans les rayons pour femmes.

De même, sa voix ne lui compliquait pas tellement les choses. Oh, il avait bien une voix d’homme lorsqu’il donnait cours, une voix douce et grave, mais lorsqu’il riait, on se rendait compte qu’il pouvait aller très haut dans les aigus. En réalité, lorsqu’il avait décidé d’être elle et non lui, rares étaient ceux qui pouvaient deviner qu’il y avait de la testostérone derrière. Leonar avait également eu la chance d’être imberbe, quand bien même il se rasait tous les jours.

DERRIERE L'ECRAN

■ Prénom : Cissa
■ Age : 23 ans
■ Comment as-tu connu le forum ? Erreur heureuse en cliquant sur un lien.
■ Quelque chose à dire ? Love and peeeaaace !
■ Quand un pamplemousse te sourit, tu fais quoi ? Hey ! Hey ! Pomelo ! Hey ! Pomelo ! Hey Hey !
■ Dans les kinder, tu préfères la surprise ou le chocolat ? Eat ALL the chocolate !
■ Tu t'entends bien avec Bob l'Éponge ? Oui je m’entends bien, ça résonne.
■ Code [OBLIGATOIRE] : OK - Soph'


THE LITTLE DOLL

■ Genre : Question piège… Les deux.
■ Date & Lieu de Naissance : 20 octobre 1930, Severin, à la frontière entre la Roumanie et la Serbie.
■ Race : Mythique [Sandalphon]
■ Orientation Sexuelle : Il aime les hommes, à défaut de pouvoir être réellement considéré comme ‘homosexuel’.
■ Niveau d'étude : Doctorat en Littérature Française & Linguistique, Master de didactiques de langues étrangères (ou équivalents)
■ Confrérie choisie : Il est proche des Full Bloom

▬ THE LOST DECADES.


Leonar est né à Severin, entre la Roumanie et la Serbie actuelles, le matin du 20 octobre 1930, de parents serbes. Le contexte politique européen à ce moment ne semble pas atteindre le petit village où il réside avec ses parents, de simples paysans, jusqu’à ses douze ans. Jusqu’à la mort de ces derniers, emportés par une bête grippe. Mais ils étaient pauvres, et n’avaient pas de quoi se soigner. De plus, compte tenu de la guerre qui avait éclaté non loin de là et qui embrasait toute l’Europe, qui se serait préoccupé de la grippe d’un paysan ? Et qui aurait pensé à recueillir un garçon de douze ans, analphabète et fragile ?

Il quitta son village avec d’autres réfugiés, et allèrent vers l’Ouest. Piètre parodie d’un classique chinois qu’il prendra plaisir, des années plus tard, à dévorer. Pourtant, comme le singe pèlerin, il finit par trouver des compagnons, le fils d’un intellectuel, un professeur qui avait enseigné à Belgrade. Ils ne tardèrent pas à devenir sa nouvelle famille, alors qu’ils continuaient à faire route vers la France. On y disait que la résistance s’y organisait, malgré le régime de collaboration mis en place. Cela valait toujours mieux que le sentiment douloureux de voir son pays se morceler, se diviser pour ne laisser derrière lui plus qu’une ombre de ce qu’il était. Il était trop jeune pour comprendre réellement ça, mais pas assez pour ne pas pleurer sur son village perdu.

Le voyage fut long et périlleux, mais après la Croatie et l’Italie, ils arrivèrent en France. Ses compagnons continuèrent le voyage jusqu’aux Etats-Unis, on-ne-sait-trop-comment. Leonar choisi de rester en France, sans trop savoir pourquoi. Il fut recueilli dans un monastère qui cachait des enfants juifs, et y vécut jusqu’à la fin de la guerre. C’est là qu’il rencontra son plus grand amour… la littérature. On lui appris à lire, et il s’avéra être très doué pour reconnaître le style et analyser un texte. Personne ne lisait mieux entre les lignes que lui. Il fit bientôt la fierté du moine qui s’occupait de la bibliothèque, où il pouvait passer des jours entiers.

Ca ne l’empêchait pas d’aider aux travaux : dévoué, travailleur, Leonar n’était jamais le dernier arrivé quand il s’agissait des corvées ou des tâches pénibles. Et pourtant, il affichait toujours ce même sourire doux, profondément gentil et serviable. A à peine treize ans, il était déjà sublime, et c’est un miracle qu’il n’y ait eu aucun pervers pour venir souiller la pureté qui semblait rayonner autour de lui. La guerre passa sans que le monastère fut détruit, Dieu soit loué. Devenu croyant, sans être un pratiquant acharné, Leonar décida qu’à quinze ans, il était capable d’entrer au lycée, à Paris. En réalité, il n’y arriva qu’à seize ans, après une année à travailler comme plongeur dans un bouge de Montmartre. Mais cette partie de sa vie n’est pas inintéressante…

Paris. Un monstre qui palpitait de joie sous l’annonce de sa libération, et qui pourtant, portait encore les cicatrices de la guerre. Leonar finit immanquablement dans les quartiers mal famés, où sa beauté aurait été une faiblesse plutôt qu’une arme. Mais il avait le hurlement perçant, et par chance un passant vint l’aider ce jour-là avant que l’indicible ne se produise. Sans aucune arrière-pensée, Christophe l’hébergea, et lui trouva un travail dans une gargote sur la butte. L’homme était jeune, à peine vingt-cinq ans, et voulait devenir écrivain. Emerveillé, Leonar se rendit bien vite compte que malgré les quelques éclairs de génie de Christophe, ça ne suffirait jamais. La vérité était là, cruelle, mais le jeune homme avait un style trop lourd pour des intrigues trop creuses. Leonar essaya de le lui faire comprendre, d’en parler, mais celui qu’il considérait déjà comme son grand-frère ne semblait pas vouloir écouter. Affligé, Leonar abandonna le combat, sans pour autant continuer à encourager l’homme qui l’hébergeait.

Christophe n’avait pas d’emploi, du coup, ou du moins c’était ce que Leonar pensait. Son bienfaiteur sortait souvent, et ne revenait jamais avec le même ‘ami’. Le serbe avait beau avoir à peine seize ans - bientôt dix-sept - il n’était pas dupe. D’autant plus qu’il se savait depuis longtemps un peu… en dehors des lignes tracées par les normes. Le carcan de la société ne lui offrait pas vraiment de place, alors il caressa l’idée de s’en faire une lui-même. Il économisa pour s’acheter de menus ‘cadeaux’, qu’il entreposait religieusement dans sa chambre. Des mois passèrent avant qu’il n’ose y toucher… et ce jour-là fut évidemment celui où Christophe le surprit.

Le choc pouvait se lire sur la moindre parcelle de son visage, figé comme une empreinte de pas dans le sable, et aussi vite disparu. Une vague de compassion avait déferlé sur Christophe, qui s’était avancé pour prendre Leonar dans ses bras. Aucune larme ne coula, et les sourires ne furent pas gênés bien longtemps. Néanmoins, le jeune garçon resta muet. Il ne devait pas en mener large, empêtré dans une robe manifestement pas à sa taille, et les cheveux ébouriffés. Attendri, Christophe le regarda, comme admiratif, et les premiers mots qui sortirent de sa bouche ensuite furent : « Je vais te maquiller. »

Leonar n’oublia jamais ces mots, qui furent sûrement les plus chaleureux qu’on lui donna jamais. Heureux d’habiter avec quelqu’un duquel il n’était pas obligé de se cacher, il redoubla d’efforts dans ses études, pressé de pouvoir rendre à Christophe tout ce qu’il lui avait offert. Il faisait un élève brillant, et devint un étudiant talentueux. Grâce à ses excellents résultats, il put intégrer une grande université parisienne, où il étudia la littérature, restée sa passion depuis qu’il avait commencé à lire.

Il habitait toujours chez Christophe à cette époque-là, mais il n’était plus son bienfaiteur. Il était devenu son amant, le plus doux et compréhensif qui soit. On pourrait presque lui pardonner d’être un vrai panier percé, et trop gros buveur… Ce que Leonar vécut dans ces années, poudré et les lèvres ornées d’un rouge Dior insolent, rien ne pourrait jamais le remplacer. Car avec l’hiver 1952 vint la tuberculose. Christophe mourut en premier, et Leonar qui n’avait pas voulu l’abandonner, suivit quelques mois plus tard. C’était en 1954. Leonar avait 24 ans.

Dans le néant de la mort, il entendit alors une voix. Il n’aurait su dire si elle appartenait à un homme ou à une femme… mais ça ne lui importait pas. Il ne comprenait pas non plus ce qu’elle lui disait, mais il aimait la mélodie de ses paroles. Puis il rouvrit les yeux. Il était toujours là, dans ce lit, à l’endroit précis où lui et Christophe… Christophe ! Leonar sauta en bas du lit, et alla voir si comme lui, son amant s’était relevé… Puis il se souvint qu’on l’avait enterré il y a déjà sept mois : s’il avait du renaître, il l’aurait fait depuis longtemps. Leonar ne se posa même pas la question du pourquoi ou du comment, il s’effondra simplement de chagrin en se rendant compte qu’il allait devoir continuer à vivre sans celui qui était devenu sa raison d’être.

Alors qu’il pleurait, prostré sur le sol, il ne se rendit pas tout de suite compte qu’il était en train de flotter au-dessus du plancher, ni que ses cheveux, devenus très longs, bougeaient de façon étrange. Il s’en rendit compte seulement lorsque sa poitrine buta contre ses coudes. Sa poitrine ? Leonar se redressa et jeta un œil à son propre corps : que lui arrivait-il ? Il l’entendit alors, dans le fond de son cœur, son nouveau nom, son autre lui… Sandalphon. Puis il redevint Leonar, celui qu’il avait toujours connu.

La mort dans l’âme - et c’est le cas de le dire - il reprit ses études, et devint un éminent professeur de littérature et un linguiste éclairé. Mais cela ne lui apportait pas certaines réponses, malheureusement. Il ne pouvait en savoir plus sur Sandalphon qu’il n’y en avait dans les livres, et n’osait pas l’invoquer de peur de devenir encore une fois la cible privilégiée de ceux qui ont le cœur emplit de ténèbres. Récemment, il apprit l’existence d’une Académie recueillant les êtres surnaturels comme lui, et postula, sans trop de conviction. Il espérait surtout trouver une réponse à ses questions, en même temps que de continuer à parfaire ses connaissances en matière de langues et de littérature. Il ignore encore ce qui l’attend derrière ces murs…

© Shaded Academy




Dernière édition par Leonar N. Pejic le Lun 6 Fév - 18:30, édité 1 fois
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MessageSujet : Re: Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français
Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français Icon_minitimeLun 6 Fév - 18:08


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Beverley Hellsein
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Re Bonsoir & Re Bienvenue ♥
La présentation est très bien o/. Je m'informerais sur le Sandalphon et je le rajouterai à la liste.
Tu es validé ! Tout est OK. J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous n__n. Si tu as encore des questions/soucis, n'hésite pas :D.

Ah heu juste.
• En tant que professeur, tu n'as pas réellement de confrérie. C'est juste à titre indicatif pour eux.. Tu es plus "proche" des Full Bloom, tu seras accepté dans leur bâtiments 8D. Mais tu n'es pas officiellement un membre.
• Aussi, tu as mit 1920 dans le truc, et 1930 dans ton histoire x) Change un des deux ♥
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MessageSujet : Re: Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français
Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français Icon_minitimeLun 6 Fév - 18:31



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Voilà c'est fait !

Pour la date en fait, j'ai du changer en cours de route... Et pour la confrérie j'avais pas suivi un truc je crois XD Merci pour la validation o/
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MessageSujet : Re: Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français
Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français Icon_minitimeLun 6 Fév - 19:48


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Eh bien les profs et membre du personnels n'ont pas de Confrérie n__n.
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MessageSujet : Re: Leonar Nikolaj Pejic - Professeur de Français
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