Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? 595583Sanstitre1ban123



 
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Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?

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MessageSujet : Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?
Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? Icon_minitimeMar 14 Fév - 2:48



Anonymous
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FICHE DE PRESENTATION
Jusqu'où êtes-vous prêt à aller pour votre confrérie ?

« Je me réveille à moitié étendu dans le cubicule qu’est ma chambre à l’université. J’y aime l’odeur de l’acrylique. C’est aussi crade que n’importe quel studio artistique, mais je pense que j’aime ça. Je pense qu’ici c’est chez moi et je vais protéger ce chez moi. »

« Clarence Lincoln »
▬ IT'S ALL IN YOUR MINDS.

Est-ce qu’éclectique est le bon mot pour décrire le jeune visionnaire idéaliste qu’est Clarence? Il est le philosophe le plus profondément tordu du campus, un mélange classique de hippie pacifiste et de stricte raideur quant à ses valeurs. Il est l’image des deux côtés d’une médaille brillante, remplie de promesses. Clarence est un garçon intelligent, bien élevé, poli dans la mesure où il a des amis avec qui ne pas l’être. Des valeurs telles que la famille (qui comprend aussi l’amitié), le respect, le pacifisme et les études sont profondément ancrées dans le rouquin activiste. Aussi bien dire que regardant ces sujets, il est pire qu’une tête de mule mécontente. Il est du genre à laisser sa place à un vieillard dans l’autobus, à ouvrir la porte à une femme, aussi féministe qu’elle soit. C’est la politesse d’un gentlemen, ce n’est pas même par gentillesse. Il est celui qui vous sortira une blague raciste ou sexiste pour rigoler, sans grand sérieux, c’est sans crainte, pour oser qu’il les lance. Il est difficile à mettre sur les nerfs parce que pour lui, il y a une division complexe entre le sérieux et ce qui ne l’est pas, alors qu’il aura l’air de tout prendre à la légère. Si vous l’embarquez dans une conversation où on aborde philosophie ou politique, vous risquez de vous perdre dans ses questions, dans sa curiosité et surtout, dans ses affirmations.

Pouvant être décrit pas son objectivité qui atteindra souvent avec froideur ses amis, Clarence n’en demeura pas moins difficile à cerner, passant d’une humeur à l’autre, d’une musique à l’autre, d’une peinture à l’autre, d’une rigolade à l’autre. Sa pensée est un perpétuel mouvement qu’on ne peut tenter de comprendre qu’après avoir vu sa peinture, la passion avec laquelle il peint.

Qui oserait croire que ce gamin est l’un des peintres les plus populaires du pays? Qu’il est exposé un peu partout, qu’une galerie porte son nom? N’allons pas mentir, Clarence est né avec des moyens, des atouts qui se sont développés avec le temps, incluant une cuillère en or dans la bouche. Son intérêt est d’étudier toute sa vie. Pourquoi? Parce qu’il peut et qu’il en a les moyens car papa et maman payent et approuvent. Déchiré entre philosophie et peinture, il entre dans la catégorie des artistes engagés de l’époque. Il ne peut vivre sans l’un ou l’autre. À croire, selon ses quelques amours, qu’il ne peut rien aimer d’autre. Ses paroles aussi réfléchies qu’elles soient sortent souvent trop vite, il s’empêtre alors, souvent trop fier pour s’excuser quand l’insulte est lancée. Il n’est pas du genre à mentir, c’est à la fois un de ses défauts et une de ses qualités.

Pour lui, il est difficile de comprendre la différence entre amour et amitié, c’est souvent ce qui brise ses relations amoureuses. Sans quoi, il ne faut pas oublier qu’il est une complète et incurable catastrophe culinaire. Un véritable danger public sauf avec les plats congelés, et surtout le popcorn. Il est un vrai maladroit, même lorsqu’il s’agit de se verser du jus d’orange. Un incapable notoire lorsqu’il s’agit de prendre soin lui quand on ne parle pas de propreté. À son grand malheur, lui qui aime autant socialiser qu’être solitaire, sait qu’il ne peut pas vivre sans encadrement. Il s’agit en effet d’un léger problème mental qu’il n’aime pas écrier haut et fort qui explique son incapacité à dissocier romance d’amitié et sa froide objectivité qui ne l’empêche pas d’avoir des émotions fortes, de rire ou d’être sarcastique. Cependant, son vrai bonheur vient de ses amis qui comprennent au moins aussi peu de sa personne sans questionner. Il se sacrifierait sans hésitation pour un proche et il a énormément d’amour à donner.

Ses crises sont excessivement rares mais violentes, accompagnées de hurlements et de larmes, c'est avec le peu de contrôle de soit qu'il lui reste qu'il sait s'isoler, se cacher du regard et de l'oreille des autres. En général elles sont causées par des bruits à la fois agressants et répétitifs. Les stroboscopes ne sont d'aucun danger contrairement à une suite de lumières et d'ombres moins rapide mais forte visée sur ses yeux qui peut le rendre agressif. Cependant, même désorienté, il est du genre à sa boucher les oreilles ou à plaquer une main sur ses yeux pour éviter le pire. Il n'en aura pas connu une seule des deux dernières années.

En passant, il n’aime pas le Jack Daniel. Ça goûte le plastique fondu. Il préfère le Sour Puss, mais tout est une question d’image.



▬ IT LOOKS JUST LIKE YOU'D WANT TO.

Vous découvrez Clarence au fond de l’aile artistique de l’université de Shaded. Vous avez d’abord été attiré par de la musique qui joue trop fort mais qu’on laisse jouer. Elle est étrange, vous ne la connaissez pas nécessairement, mais le rythme omniprésent vous attire sur place. Vous ouvrez la porte et vous découvrez dès lors un rouquin d’à peu près 1m75, cheveux soyeux, fixés dans un momentum par la vie qui ne leur laissera jamais prendre autre coupe ou position. Les dits cheveux descendent sur sa nuque blanche, ses épaules, celles d’un sportif modéré, sont mues d’un mouvement plus ou moins agencé à la musique qui vous fait sombrer dans les années trente ou qui vous fait avancer cinquante ans dans le futur. Il n’est pas occupé à danser, mais plutôt à peindre, votre regard tombe sur l’œuvre remarquable pour certains halls d’exposions.

Attiré, soit par l’œuvre où la créature curieuse qui la peint, vous avancez. Il se rend compte de votre présence, votre regard tombe immédiatement sur sa joue tachée de couleur, puis sur ses yeux bruns rougeoyants. Un sourire aux dents blanches serrées sur un pinceau mouillé de peinture étire ses lèvres fines, elles aussi un brin colorées comme ses joues. Ses mains n’ont pas que des airs d’agilité, du mouvement avec laquelle il dépose son mélangeur, vous les savez déjà dextres et fortes, même si elles sont déjà usées par les produits chimiques. Vous vous demandez s’il est l’incarnation d’une tache de peinture. Ce n’est pas le cas. Il ne peut pas vous répondre, pas encore, c’est pourquoi il enlève les pinceaux qu’il a dans la bouche pour dire ‘Bonjour! ’ de sa voix claire, un brin rauque pour la rendre aussi attrayante que chaleureuse, une voix accrocheuse qui saurait guider les foules à la révolte. Il vous demande ce que vous faîtes là, si vous cherchez quelque chose à faire dans le club d’art. Il vous tend sa main tachée, la regarde un instant puis la ramène, mouvement fluide, il tape du pied, mais vous savez que ce n’est pas de l’impatience, il est plutôt occupé à se fondre à la musique qui est devenue une explosion de sonorités.

Après avoir échangé quelques mots avec lui, vous êtes frappé par le logo de pizzeria de son tablier noir aux ganses aussi effilochées que son jeans trop large sur ses hanches. Car oui il a des hanches. La ceinture ne semble être qu’une corde de tissus qui serre le vêtement, son leste t-shirt blanc est caché sous une chemise carottée qui a dû appartenir à son grand-père. La chemise en question sent encore un peu le tabac, comme une odeur qui n’avait plus su la quitter depuis le temps où elle s’y était installée. Le parfum de la nicotine se mélange avec perfection à celui de la peinture acrylique ou à l’huile, tout dépendant du médium de la journée, et s’agence surtout à un fond d’Armani qui effleure tout juste assez votre nez pour être agréable. Il a l’air d’une loque. D’une belle loque couverte de peinture.

Il se retourne après un très bref et inaudible au revoir, rien à voir avec ses salutations. Il s’est replongé dans sa musique, dans ses réflexions et dans son art. C’est avec surprise que vous le retrouvez à votre cours du soir, majeur de philosophie. Un large chandail de lainage que vous le découvrez qu’après avoir étudié son foulard, est un débardeur sur un chemise blanche immaculée, ouverte sur sa gorge où vous devinez la naissance d’un tatouage tribal. Ses chaussures cirées brillent, ses pantalons ont à la fois la marque et le style. Du sur mesure. Il n’a plus l’air de la tache de peinture que vous avez découverte plus tôt.

Il peut survivre pendant un mois en ne se nourrissant que de popcorn et en ne buvant que du Jack Daniel, même s’il préfère l’eau (parce que ça coûte moins cher). Oui, il est possible de le voir arriver saoul à l’université.

DERRIERE L'ECRAN

■ Prénom : Mon amour? 8D
■ Age : 21 ans
■ Comment as-tu connu le forum ? Un ami
■ Quelque chose à dire ? Je suis dyslexique, j’utilise bonpatron et word, mais ça a des limites. Et optimisez aussi pour chrome <3!
■ Quand un pamplemousse te sourit, tu fais quoi ? On dit qu'après ne pas avoir mangé depuis à peu près trois jours, on a des hallucinations.
■ Dans les kinder, tu préfères la surprise ou le chocolat ? Faire un pliage avec le guide de construction >_> ce qui me fait penser que j’en ai un dans le congelo.
■ Tu t'entends bien avec Bob l'Éponge ? Il fait briller mes bottes.
■ Code [OBLIGATOIRE] : OK - Soph'


THE LITTLE DOLL

■ Genre : Homme
■ Date & Lieu de Naissance : Vancouver 4 mars 1988
■ Race : Humain, à sa mort (à venir) il deviendrait un Mythique, le Lion
■ Orientation Sexuelle : Pansexuel, tant que l’amour est là.
■ Niveau d'étude : Universitaire – Mineur d’art plastiques, Sciences Politiques (Philosophie)
■ Confrérie choisie : Utopia House

▬ THE LOST DECADES.


Racontant sa vie en souvenir, Clarence penserait à la main tremblante de son père lorsque sa mère l’avait divorcé et la vieille radio Motorola de son grand-père qui crachait du classique chuintant alors que l’homme, du fond de son atelier, travaillait du bois qui emplissait la pièce de son odeur épicée et résineuse. Il aborderait la force du soleil au travers des fenêtres brunies par la poussière de bois stagnait dans l’air et vous réchauffait les poumons de bonheur jusqu’à ce que vous éternuiez. Raconter son passé au bruit des souliers cirés sur le marbre d’une entrée ou sous la blondeur des canola de leur jardin n’aurait jamais pu être mieux aisé.

Clarence était aussi roux que son père qui lui était aussi roux que son propre père l’avait été avant que ses cheveux deviennent d’un blanc argenté immaculé. Camilia Vermer, elle, était blonde, ses doigts étaient doux comme le satin, mais Clarence ne saurait plus vous parler de la couleur de ses yeux ou de l’amour de son sourire. Les seuls dont il se rappelle étant ceux d’Helen qui était arrivée dans sa vie comme une pomme tombait d’un arbre pour s’écraser sur votre tête et vous dire « la gravité a gagné ». Une femme aimable, ce qu’il fallait pour son père même si en un sens, il avait toujours su que cette spécialiste de l’enfance n’avait d’yeux que pour lui, un apparemment jeune autiste lourd de cinq ans.

Il s’agissait d’un premier diagnostic qui serait plus tard remis en questions avec d’interminables tests.

Sans être du genre à en parler, si vous cherchez vraiment, il vous raconterait néant au tour de lui et se son incapacité à contrôler les crises violentes qui l’empêchaient de communiquer. Pour lui, tout sauf la musique et voir son grand-père avec un pinceau entre les doigts était dénué de sens.

Jusqu’à ce qu’Helen arrive.

Après son grand père, il y avait eu Helen qui faisait du sens. Après Helen, il y avait eu son père. Après son père, il y avait eu Jason, le jardinier. Ensuite Jessica qui s’occupait de l’entretient de la maison. Après Jessica, il y avait eu Anna, Carol, Jacob, Lawrence, Maxime, Jonathan, Louis, Felicia, jusqu’à ce que ça n’arrête plus. Ce fut quand il apprit à comprendre le sens des gens qu’il apprit à parler, il devait avoir cinq ans. En l’espace de quelques jours, ce retard qui le promettait à la vie d’handicapé mental venait d’être réduit à rien. Brian Lincoln découvrit son fils sous un nouveau jour, réalisa l’intelligence de son regard, le charisme émanent de sa petite personne.

Ce qu’il préférait, ce n’était autre que la texture des feuilles épaisses de qualité sous ses doigts même si du bout de sa mine, il avait d’abord eu un grand mal à simplement comprendre le contexte de salir les pages d’un cahier avec de si belles lignes. La crise avait été monumentale. L’enfance de Clarence fut pourtant ponctuée de difficultés semblables, que ce soit l’apprentissage de la lecture et des mathématiques. Il comprit vite que le savoir que les autres comprenaient sur place, lui prenait plus de temps et plus d’efforts à l’appréhender et l’apprivoiser. L’histoire le fit débloquer dans ces deux milieux. Puis plus tard, la philosophie et la politique gagnèrent le lot sur l’histoire.

L’image de son grand-père couché dans un lit de soie, prêt à jamais à être enfermé dans la boîte vernie resta à jamais gravée à son esprit. Il avait enjambé le cercueil pour déposer son petit nez contre son veston qui sentait la sciure de bois et le tabac. Il avait douze ans et pour la première fois il pleurait. Son adolescence débuta cette journée-là où son grand-père lui laissa son atelier et tout son avoir. Le tissu était rugueux sur ses doigts, les chemises carottées épuisées par la vie sentaient le tabac, même après plusieurs lavages.

L’édifice était grand devant lui, à peine austère. L’odeur de la forêt, le lourd écusson de métal d’un grillage au placé et le soleil qui vous faisait cligner des yeux lui plaisaient. Il était en retard, mais c’était le prix d’une arrivée normale à son école. Ses professeurs qui donnaient leur cours le matin savaient qu’à 50% de temps, Clarence allait être en retard. Ce matin-là, son uniforme était pareil à celui de la veille et il tirait une belle brunette chez laquelle il avait passé la nuit. Jesabel avait été pour lui l’une de ses nombreuses conquêtes hommes, femmes, trans, trav, etc : Une relation qui ne s’étendit pas sur plus d’un mois. À dix-sept ans Clarence, un garçon allumé qui savait déjà ce qu’il voulait faire dans la vie, avait compris qu’il n’aimait pas les gens comme les autres, voir qu’il ne savait que difficilement se lier au côté relatif. Il ne semblait apte à rien du côté de la romance sans que ce soit un pur automatisme même si le verset « amitié » de sa bible, lui était très développé. Il était différent des autres qui eux savaient être complètement autonomes. C’était aussi simple qu’une question de savoir attacher les boutons de sa chemise seul sans les mélanger, d’être apte à s’habiller seul. À l’époque, il souffrait du mal, de la conscience totale de ce blocage intense qui l’empêchait de s’occuper de lui-même sans qu’il soit encadré.

L’incarnation de la stérilité des lieux l’avait marqué, c’était une impression d’inconfort de ‘Vous avez de bactéries? Plus maintenant’. L’odeur était celle du désinfectant sous sa forme la plus rassurante. Lui qui était habitué au Children était impressionné par la blancheur maculée de l’hôpital central, le pavillon des adultes était une première pour lui. Il ne se souvenait pas de sa première visite au médecin. Peut-être était-ce ce barbu qui l’avait visité alors qu’il n’était qu’une minuscule créature rousse? Son second diagnostique fut celui de l’asperger avec retard mental. Un diagnostic qui le vouait à être suivi par un spécialiste toute sa vie même si par chance, ses compétences sociales n’avaient en rien été affectées, il n’écoperait jamais de se retrouver en institution.

Il avait toujours aimé l’odeur de l’acrylique mélangée à celle du tabac qui lui collait à la peau et c’est parfumé de la sorte, vêtu de l’un des complets de son grand-père qui lui allait à merveille, qu’il se rendit à sa première exposition. Il empilait depuis longtemps les concours d’arts desquels il prenait la tête sans vergogne. Il était jeune, l’âge de l’engagement avers sa société, son engagement était celui de l’art. La politique, l’éthique et la philosophie étaient le point tournant de ses œuvres auxquelles on décerna une aile dans la grande « Vancouver Art Gallery ». Il aurait pu se lancer dans l’art dès lors, vivre de son pinceau si ce n’était pas de sa soif de connaissance. On lui chercha une université à Vancouver pour n’y trouver aucun curriculum de son goût. Son père et Helen, sa belle-mère, cherchèrent à l’international, découvrirent une académie universitaire où on pouvait jouxter sciences politique aux arts. Ça ne prit aucun temps qu’un spécialiste était engagé sur les lieux pour encadrer de son mieux le jeune Clarence qui allait maintenant vivre « l’autonomie » dans la Utopia House de la Shaded Academy. Commencèrent pour lui une passion qu’il apprit à communiquer avec son éternel charisme.

Le rouge des banderoles du syndicat étudiant de l’université surprit Clarence qui y lut « Assemblée Générale». Il s’agissait encore d’une première journée où il ignorait que deux ans plus tard, il siégerait à la tête du dit syndicat étudiant, qu’il deviendrait l’une des têtes pensantes de l’activisme étudiant, de la syndicalisation de ceux-ci. Convenant avec ses parents, après ses deux premières années d’études, qu’il resterait dans le milieu universitaire jusqu’à ce qu’il s’en fatigue, il fut donné au jeune artiste tous les moyens pour rester vivre sur place et s’y épanouir.

Accompagné du goût sucré des restes de son gâteau de son anniversaire, ça ne serait qu’à ses vingt ans qu’il parviendrait à s’habiller seul, à savoir quoi faire sous le jet d’une douche. L’utilisation du micro-onde, pour les mets surgelés et le popcorn qui composeraient son alimentation et son corps à 95% à ce moment de sa vie, lui vint comme une seconde nature. Viser les poubelles aussi. Les vider un peu moins. Sa troisième nature fut le Sour Puss, mais prétendre au Jack Daniel était toujours plus viril.

Aujourd’hui, vous le trouverez dans les locaux d’art, vêtu d’une chemise carottée tachée d’acrylique, le tout percé de l’agréable parfum d’Armani Code. Son préféré. Toujours prêt à aider un étudiant ou même un prof dans les problèmes il connaît plus la charte des droits étudiants que le dos de sa main et saura s’en faire le défenseur comme le destructeur.

La suite de l’histoire sera ajoutée à la fiche le moment venu
© Shaded Academy

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MessageSujet : Re: Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?
Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? Icon_minitimeMar 14 Fév - 9:06


Humain & Leader Distraught

Beverley Hellsein
Beverley Hellsein
Humain & Leader Distraught

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Feuille de personnage
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Niveau d'étude: Université
Petit(e) Ami(e):







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Bonjour à toi n__n !

Bon... J'ai lu toute ta fiche, je sais pas si c'était le bon moment.. J'ai pas vraiment compris "La suite de l’histoire sera ajoutée à la fiche le moment venu".

Tu vas continuer à écrire l'histoire ou tu vas faire un RP pour que Clarence devienne le Lion ? Dans le deuxième cas, je te validerai en tant qu'humain pour le moment et mettrai le Lion en réservation n___n. Tu auras juste à me prévenir (si je n'ai pas le temps de lire ledit RP) pour que je change ton rang au moment voulu !

Dans tout les cas, la fiche est super ! Très complète et très bien écrite. C'est agréable à lire. ♥ Éclaire moi juste sur ça et tu seras validé :3 !


Dernière édition par Sophie A. de Merteuil le Mar 14 Fév - 12:41, édité 1 fois
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MessageSujet : Re: Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?
Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? Icon_minitimeMar 14 Fév - 12:39



Anonymous
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Salut!

Le fait est que je vais rajouter sa manière de mourir à l’histoire lorsque j’y serai rendu. Cette histoire est la sienne jusqu’à maintenant, au jour le jour. Il n’est pas encore devenu le Lion. Je n’ai pas l’intention de le tuer dans l’immédiat, mais quand ça va arriver, je vais rajouter les circonstance, la transformation et tout à son histoire après les avoir faits en RP.

Sans quoi merci beaucoup! Ça m’a pris un temps fou mais j’ai adoré faire sa fiche.

De fait! Ravi de te rencontrer!
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MessageSujet : Re: Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?
Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? Icon_minitimeMar 14 Fév - 12:43


Humain & Leader Distraught

Beverley Hellsein
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Confrérie : LEADER DISTRAUGHT
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Niveau d'étude: Université
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D'accord D'accord °w°
Je te réserve donc le Lion.

Validé donc, monsieur ♥ Si tu as un sushi n'hésite pas à nous contacter n__n.
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MessageSujet : Re: Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?
Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? Icon_minitimeJeu 16 Fév - 13:40


Valkyrie & Leader Utopia

Evangeline Von Sternberg
Evangeline Von Sternberg
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Age: 19 ans
Niveau d'étude: Université
Petit(e) Ami(e):







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Hohoho ! Non, ce n'est point le père Noël qui passe par là... Bien que... Ravis de voir que tu as choisis notre confrérie =D Ta fiche est juste... J'adore ! Si tu as le moindre soucis, n'hésite pas ! Ca,on s'en doute...

Alors Bienvenue parmi les fous, et amuse toi ! Et si tu as faim, demande moi 8D
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MessageSujet : Re: Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?
Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique? Icon_minitime



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Clarence Lincoln, interne du syndic' étudiant, art en politique?

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