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FICHE DE PRESENTATION

Jusqu'où êtes-vous prêt à aller pour votre confrérie ?

« Qui sait ? De toute façon, les Dieux n'auront pas besoin d'aller bien loin... »

« APHRODI » ▬ IT'S ALL IN YOUR MINDS. C'est simple, Aphrodi est incommensurablement et inexorablement supérieur à vous. Vous pouvez regarder sur tous les angles, vous ne trouverez rien dans son caractère qui puisse traduire le doute quant à l'égalité voire l'infériorité par rapport à des êtres aussi faibles que vous. Approchez-le, vous ne récolterez qu'un regard hautain ou des gestes signes de sa puissance bien supérieure à la votre. Vous l'aurez compris, vous êtes différents des gens comme lui. Vous êtes des humains, des démons, des vampires ou des monstres, bourrés de défauts en tout genre. Vous avez peur de la mort ou peur de la défaite, vous craignez les êtres plus puissants que vous. Ce n'est pas le cas d'Aphrodi. C'est quelqu'un de parfait, qui n'a en horreur ni la mort ni la défaite, pas plus que les gens plus puissants. Tout simplement parce que, dans le destin inéluctable auquel tout être doit faire face selon lui, cela n'existe pas en son cas. Aphrodi est un Dieu qui n'a d'égal que le seigneur qui règne sur les cieux, et nul ne saurait le convaincre du contraire. Sachez-le, cet être divin et ô combien supérieur à votre pitoyable et pittoresque entité ne daignera jamais vous donner une explication à l'existence de dieux comme lui. Par ailleurs, il prend un malin plaisir à ridiculiser les êtres qu'il qualifie d'inférieurs - passant cette envie sous l'image d'un besoin, celui de montrer aux gens leur vraie place. Et voilà tous les secrets de ta folie sont révélées, Angel. C'est ça, ton vrai nom, petit être idiot qui a sombré dans la folie et la mégalomanie. Tu te prends pour un dieu, tu te crois supérieur à tous, et pour cause, tu les traites comme des gens stupides et ignorants. Pour une raison bien simple, tu es tout bonnement insouciant, Angel. Tu as toujours été plus haut que tous, tu n'as jamais connu la défaite, la seconde place ou le fait de rater quelque chose. Tu as toujours été parfait, premier, admiré, et ça t'a fait basculer dans cette sorte de questionnement intérieur : qui étais-tu en réalité ? Tu as trouvé la réponse en sombrant peu à peu dans ce caractère idiot et incompréhensible. Tu es un ange, mais tu te penses dieu. ▬ IT LOOKS JUST LIKE YOU'D WANT TO. Aphrodi est un petit diable. Et pas seulement parce que, comme Satan jadis, il se désigne comme un dieu supérieur aux autres - n'étant pourtant qu'un ange incapable de voler plus haut qu'il ne le pouvait déjà. Soyons clairs, c'est un véritable mégaloman, et bien qu'il n'y prête pas attention et ne s'en vante jamais, il se sait beau. Ou pense l'être. Pour commencer, parlons de ses cheveux : de longs cheveux châtains clairs, derrière lesquels on descelle très certainement une ancienne couleur blonde, qui s'est sans doute détériorée avec le temps. Au niveau de son visage, on distingue des trains fins, presque féminins, et principalement deux grands yeux marrons. Un regard hautain, méprisant, un regard de dieu. Pas de boutons ou de lunettes, rien de plus à signaler au niveau du visage du jeune homme. Il arrive qu'on le confonde avec une fille en voyant ses longs cheveux qui tombent jusqu'en bas de son dos sans même être attachés, mais en voyant sa silhouette bien masculine, on comprend bien vite l'affaire. Il est vrai que le jeune homme peut être confondu avec une fille, non seulement par son physique mais par son surnom - qu'on lui a attribué, très certainement du à sa nature d'ange, qu'il persiste à nier en faveur de celle d'un dieu soit dit en passant, et sa beauté. Pour ce qui est des attributs de sa race, à savoir les ailes d'ange... oui, il les a. Enfin, pas toujours. Quand il s'énerve, ça sort tout seul, il perd le contrôle. Pour ce qui est du reste de son corps, commençons par sa taille : il doit avoisiner le mètre soixante-dix, et porte une tenue peu habituelle. En effet, pour pousser le jeu du dieu plus loin, il met en permanence une tunique grecque blanche, qui tire dans les gris sur les bords. Un bout de toge coupe le devant de la tunique en biais, lui donnant un air noble à la façon des empereurs de l'époque romaine. Il possède également une sorte de jupe, bien que ses allures carrées lui donnent davantage l'air d'un short adapté à un jour de carnaval. Pour conclure, on pourrait parler de ses chaussures qui sont loin d'être adaptées au combat mais plutôt à la course, dira-t-on : des sandales marrons, semblable à celle de l'époque.

DERRIERE L'ECRAN ■ Prénom : Dieu. ■ Age : 15 ans. ■ Comment as-tu connu le forum ? Je suis onmiprésent. ■ Quelque chose à dire ? Non, rien. ■ Quand un pamplemousse te sourit, tu fais quoi ? J'le bouffe. ■ Dans les kinder, tu préfères la surprise ou le chocolat ? Les deux. ■ Tu t'entends bien avec Bob l'Éponge ? Rowé. ■ Code : OK - Soph' THE LITTLE DOLL ■ Genre : Masculin ■ Date & Lieu de Naissance : Inconnus. ■ Race : Ange. ■ Orientation Sexuelle : Inconnue. ■ Niveau d'étude : 3ème, collège. ■ Confrérie choisie : Distraught House.

▬ THE LOST DECADES.

Tu es tellement drôle, Angel. Ta logique semble tellement idiote que les gens s'amusent à te rire au nez. Et pourtant, ton histoire est triste, vraiment. Et dire qu'avant, quand tu étais un tant soit peu normal, tout le monde désirait être comme toi. En réalité, ton succès et ta réussite étaient tellement grands que les gens t'idolâtraient et t'admiraient. Tu étais une vraie star, Angel, et tout cela simplement parce que tu étais le meilleur. A l'époque, tu n'étais vraiment pas conscient que cette réussite était loin d'être quelque chose qu'il faut négliger, et ta vie imprudente t'a causé bien des soucis au point de devoir te changer complètement. Dans un sens, ce n'est pas véritablement quelque chose de mauvais, puisque un Dieu est né de cette vie misérable et horrible. Tu n'es qu'une victime, Angel. Une victime que la vie a décidé de pourrir. Pourtant, tout avait parfaitement bien commencé pour toi. Tu te rapprochais dangereusement de l'image d'un Dieu, et l'on a voulu t'enlever le privilège que tu parviennes à ce statut... mais débutons au tout début. Tu es né dans un petit village, dans l'arrière-pays, qui n'avait grand nombre d'habitants, à vrai dire. Il n'y avait même pas d'école, c'est pourquoi tes parents refusaient de t'y envoyer avant l'âge obligatoire. Ils décidèrent qu'il valait mieux qu'ils t'élèvent toi-même, mais tu savais bien que ce n'était pour ne pas avoir à faire tout ce trajet jusque là-bas. Mais tu te tus, en bon garçon.

Jusque là, sagement, tu appris ce qu'on t'avait enseigné jusque là par coeur, et ce sans rien dire. Si l'on t'approchait, tu te contentais de répondre tranquillement d'une voix morne et vide de sens, comme l'on récite les paroles d'un livre sans en penser quoi que ce soit : « Je ne parle pas aux inconnus. » En effet, tu étais tout simplement le garçon modèle, avec ta coupe au bol et les jolis costumes et tes gentils parents t'avaient acheté. Du haut de ta petite taille qui n'excédait même pas le mètre, à l'époque, tu énervais déjà des gens. Ne serait-ce que ton visage de bébé, ton regard innocent ou tes mots superficiels que tu ne faisais que réciter. On allait jusqu'à se demander si tu connaissais le sens de tes mots, puisque tu n'avais cesse de répéter ce qu'on te disait sans même y réfléchir. Et puis au final, tu as fini par atteindre l'âge pour arriver à l'école. Tes parents semblaient agacé que cet évènement soit arrivé, puisque ça les a obligés à déménager - même si en apparence, c'était parce qu'ils étaient obligé de te confier à quelqu'un. Tu restais silencieux, tu n'avais même d'avis là-dessus. Tu te contentais de faire ce qu'on te disait, pour faire plaisir à tes parents. Et cette fois-là, même si tu étais un peu perdu dans cette grande ville, tu avais pris une résolution : être toujours premier. Tu avais décidé d'être en tête de classe dans toutes les matières, quelles qu'elle soient, dans le but d'être l'élève modèle. Dans le but de devenir parfait.

Finalement, tu y es arrivé. Non pas à devenir parfait, mais à être premier partout. Tu bossais et tu faisais des efforts, le tout pour simplement faire plaisir à tes parents. Aveuglément, tu apprenais par coeur tes leçons sans même en comprendre le sens ou la forme. Tu n'étais qu'un idiot, au final, et tu ne le comprenais pas. Tu étais tellement imbécile que tu ne voyais pas tous ces regards posés sur toi, ni les changements qu'ils subissaient au cours du temps. Au début, tu étais quelqu'un de gentil, d'admiré et d'aimé de tes camarades. La raison est simple, c'est qu'à cet âge-là, personne ne te faisait rien, tous étaient bien trop innocents. Durant toutes ces années, tu demeurais le premier d'entre tous, jusqu'à ton entrée au collège. Tu demeurais tranquille pendant toutes ces années-là, insouciant, ne t'apercevant même pas des regards de haine et de reproches qui étaient perpétuellement posés sur toi. Même les professeurs, à la fin de chaque année, commençaient à faire preuve d'une pointe d'animosité dans leurs actes à ton égard, tellement tu les rendais malade de jalousie - à cause de telles connaissances. Et au final, ce qui devait arriver arriva, et tu ne le vis même pas arriver. Dans ton année de 5ème, tu fus attaqué par cinq personnes. Tu ne les connaissais pas ou uniquement de vue, c'étaient des gens de ta classe, pourtant. Ils t'ont tabassé, ne te laissant aucune chance, te laissant à terre pour mort.

« A l'aide... »

Tu aurais bien aimé qu'on t'aide, Angel. En réalité, tu savais que personne ne viendrait, mais tu t'accrochais désespérément à cet espoir, comme si tu avais vraiment une chance. Comme une personne normale aurait pu le faire. Mais toi, petit génie aveugle, tu étais seul au monde, et tu le seras toujours. Vivant aveuglé dans ton désir de première place, soudoyé par des parents assoiffés d'argent, tu avais perdu de vie qui tu étais. Tu avais perdu de vue les valeurs... non, tu n'avais jamais connu les valeurs de la vie. Amitié, amour, tout cela... ces mots sonnaient comme une mélodie nouvelle et, malheureusement, désagréable, à tes oreilles. Tu refusais de partager ce qu'ils partageaient. Tu refusais de connaître ce qu'ils connaissaient. Tu refusais de ressentir ce qu'ils ressentaient. Ces gens-là ne pourraient jamais vivre avec toi, tu l'avais deviné. En les voyant marcher devant toi sans prêter attention à ton corps meurtri, tu l'avais compris. On eût dit un troupeau d'éléphant qui passait devant le cadavre d'une gazelle, le piétinant comme de l'herbe. Tu étais seul, en piteux état. Comment avais-tu pu te retrouver là ? Comment avais-tu pu, toi le garçon si parfait, être dans cet état ? Non, ça n'allait plus se dérouler comme cela. Tu te faisais soigner, étant dans un état grave. C'était la dernière fois que tu entrais en contact avec un humain dans un intérêt autre que tes sombres desseins. Car en ce sombre jour, Angel est mort.



Tu es finalement né, jeune Dieu. Tu es maintenant Aphrodi, une entité divine au dessus des humains, et tu l'as prouvé maintes fois. Après ta sortie de l'hôpital, tu as décidé de changer. Les maths t'avaient-elles sauvé ? Le français t'avait-il sauvé ? Les équations, les rédactions ou les poésies, t'avaient-elles sauvé ? Tes cours de sport ayant affûté tes réflexes t'avaient permis de tenir l'étendue de deux secondes contre ces personnes, mais ça n'était pas plus que ça. Au final, tu as décidé de changer. C'en était fini des bonnes manières et de ta faiblesse. Tu étais maintenant un délinquant, tu t'amusais à frapper et torturer les humains que tu jugeais inférieur. Nul ne résistait à ton jugement. Tes cheveux ont perdu leur coupe, jadis symbole de ta docilité, pour devenir longs - c'était une renaissance. Ils dansaient librement au vent, c'était l'allégorie de ta liberté nouvelle. Personne n'osait te défier, mais tu devais t'en douter : ça ne durerait pas. Non, tu étais un Dieu, tu te pensais éternel. Alors, ce jour-là, tu ne t'y attendais pas, à ces personnes, qui semblaient plus vieilles que toi, te menaçant tout en tenant des armes. Derrière eux, tu pouvais voir ceux qui avaient jadis été tes sujets. C'était leur vengeance. Ils osaient se rebeller ! Hélas, tu n'avais rien pu faire, tu avais été une nouvelle fois tabassé. Tu étais dans un état pire que la dernière fois, tu étais encore plus faible qu'auparavant. Le Dieu avait été déchu par des humains.

C'est alors que tu compris que rien n'avait changé. Tu avais entendu des voix, des hurlements, du sang, vu des visages et du blanc. Tu avais compris que tu allais mourir, et que tu ne pourrais rien y faire. Et ta dernière vision fut celle de ton père, posant sur toi un regard méprisant, avant de te tourner le dos et de partir.

Quand on y repense... personne n'a dit que les dieux étaient éternels. Peut-être en étais-tu réellement un, qui sait ? Peut-être avais-tu tout simplement mal traité tes sujets, mal gouverné ton royaume ou mal interprétés certains messages de la vie. Peut-être que la mort n'était qu'une passe, pour toi. Enfin, ça, tu le compris bien assez tôt. Tu avais vu ta conscience s'éveiller de nouveau et ton corps froid faisait de nouveau partit de tes sensations. Tu tentais de le bouger de nouveau, mais ce n'était pas sans difficultés. Et alors, tu réussis à te mouvoir de nouveau, et découvrit de nouveau en toi l'âme du divinité. Ces grandes et majestueux ailes blanches n'étaient autre qu'un cadeau de la vie, une récompense à une divinité aussi puissante que toi. Cela ne signifiait pas qu'une entité plus puissante régnait plus haut que toi, pouvant t'octroyer d'un présent, mais que la vie-même avait reconnu en toi la véritable force d'un Dieu. Alors finalement, tu es né de nouveau. Tu te trouvais dans cette étrange académie, bourrée de personnes bizarres et inconnues. Était-ce donc une nouvelle reconnaissance, de nouveaux sujets ? Tu ne pouvais le savoir que d'une seule façon, Dieu. En vivant.

© Shaded Academy

Bonsoir & Bienvenue !

Bon courage pour la suite de ta fiche n___n. Si tu as des questions/des sushis n'hésite pas à nous contacter ! (On peut aussi t'aider à trouver/faire un vava si tu veux - On est multitâche | surtout tâches dans l'histoire d'ailleurs *PAN* | )

Attention... J'annonce que... *Roulement de tambours*
C'EST ENFIN FINI !
Je sais, ça fait plus de deux mois... Pardon ;A;
J'ai fais un perso' assez spécial... mégalomanie bonjour.

Comme j'ai perdu toute l'histoire que j'avais faite, j'en ai refaite une, bien qu'elle soit plutôt nulle d'après moi...

Waouh °°. Eh ben...
Tu as un style d'écriture assez particulier, tout à fait plaisant et compréhensible.. C'est vraiment super. Je vois mal ce que je pourrais trouver à redire là dessus !
Tu es validé ♥. J'espère que tu t'amuseras bien ici n__n. N'hésite pas si tu as des sushis o/.
Mhm.. Par contre, il te faut une confrérie. Même si tu n'es pas "attaché" particulièrement à celle ci et que tu vis indépendamment d'elle, il t'en faut une. Tu es donc finalement pré-validé. Dis moi celle que tu souhaites et tout sera parfait °°.

C'est fait \o
Merci pour ta validation. =)