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Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde.

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MessageSujet : Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde.
Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde. Icon_minitimeSam 17 Aoû - 19:05



Lys Vaylen
Lys Vaylen
Myhtique : Fenrir

Emploi : Etudiante
Confrérie : Distraught

Feuille de personnage
Age: Plus de 300 ans, 20 d'apparence environs
Niveau d'étude: Université
Petit(e) Ami(e):







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SHADED ACADEMY  -  PRÉSENTATION

Lys Vaylen


I. LE PERSONNAGE.


■ GENRE :Feminin
■ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 1700 en france
■ RACE : Mythique, Fenrir
■ GROUPE : Étudiante
■ ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro, mais ce n'est pas définitif.
■ AUTRE : (Poste demandé - Emploi/Niveau d'étude) Faculté
■ CONFRERIE : Distraught

▬ DESCRIPTION MORALE.
   

Comment décrire la demoiselle, je vais tenter de m'atteler à la tâche le plus fidèlement possible. Il n'est jamais évident de décrire quelqu'un.

Lys est une demoiselle assez solitaire, indépendante, elle sait s'occuper de sa personne sans l'aide de personne. D'ailleurs de l'aide en n'en attend plus depuis longtemps. Pour la jeune (plus tant que ça) femme, il n'y a personne en ce monde pour lui tendre une main secourable, alors si elle veut quelque chose elle fait en sorte de l'avoir sans jamais rien attendre de la part du destin ou autres conneries de ce genre.
C'est une personne qui ne se sent à l'aise que dans très peu d'endroit, en général désert. Elle ne se sent pas à sa place au milieu de ces confrères, plus vraiment humaine, sans être un monstre non plus, elle n'arrive pas à se situer dans toute cette histoire ce qui rend ces relations difficiles.
Il est inutile de parler de ces histoires de cœur qui doivent se compter sur les doigts de la main. Dans sa tête l'affection n'est pas une chose qui lui est permise. Elle se voit juste seule et invisible. Sans s'apitoyer sur son cas, disons juste que personne ne s'est jamais occupée d'elle et que l'amour qu'elle a pu recevoir, bien que présent, fut relativement minime, alors pourquoi en serait-il autrement de nos jours?
Lys a du mal avec les personnes ayant une opulence à la limite de l'obscénité, cela étant directement lié à sa vie d'avant. Les personnes qui sont riches et étalent leurs biens, arguant une autorité qu'ils ne méritent pas ont tendance à s'attirer son animosité.
Dans une même lignée c'est une personne franche et têtue qui a énormément de mal avec l'ordre et les règles. Elle ne les transgressera pas pour le plaisir de le faire, seulement elle n'en fera qu'à sa tête et si quelque chose va à l'encontre de sa volonté et bien c'est tant pis, elle ne s'en encombrera pas. Impulsive, parfois violente, elle peut devenir très mauvaise, surtout quand l'instinct de Fenrir vient polluer son esprit. Elle ne supporte pas les petits endroits, on peut dire que Lys souffre d'une certaine claustrophobie, il en va de même pour toute chose l'entravant.
La demoiselle est une grande amatrice de musique, elle n'en joue pas, mais aime beaucoup en écouter.

▬ DESCRIPTION PHYSIQUE.
 

De petite taille, elle reste bien proportionnée, on lui donne souvent bien moins que son âge (dans tous les cas le contraire aurait été étonnant). Les gens s'étonnent souvent de ces poignets et chevilles qui paraissent minuscules. Ce qui lui vaut souvent, et à tort, une image de petite fille fragile.

Sur son visage fin se dessine des lèvres pleines sur lesquels on voudrait y déposer un baiser. Un cou gracile sur lequel les jours de fatigue ou de forte émotion (ou encore en hiver, elle déteste l'hiver) l'on peux voir apparaitre une fine cicatrice caresser amoureusement sa peau d'une carotide à l'autre.
Des cheveux noirs encadrent le tout, raides ils se rebellent souvent, n'étant que rarement sur une même ligne (elle se les coupe toute seule) ils lui descendent négligemment dans le dos. Au soleil, on y trouve des reflets légèrement bleutés tout à fait fascinant. Son teint légèrement pâle et rehaussé par des yeux d'un bleu éclatant.
D'une allure négligée, la demoiselle a du mal à se mettre en valeur ou à s'occuper d'elle (physiquement parlant), bien qu'elle soit capable de rester des heures dans une baignoire à renifler les gels douches aux senteurs exotiques.

Malgré sa taille, elle est bien proportionnée, ses courbes sont désirables.
Son dos est agrémenté d'un tatouage aux inspirations polynésiennes qui lui lèche le haut des fesses, soulignant agréablement ses reins et la croupe.
Bien que peu de personnes peuvent se targuer de l'avoir vu.
Son corps est musclé juste ce qu'il faut, sans passer pour une crevette ou un hulk miniature.
Sa démarche est très souple, quelque chose de bestiale se dégage naturellement d'un l'air neutre qu'elle affiche toujours. Pour les personnes l'ayant déjà approché d'assez près, il est marrant de dénoter des canines légèrement plus pointus que la moyenne, sans pour autant se faire passe pour un vampire.


▬ HISTOIRE.

Ceci est l'histoire merveilleuse du petit chap... Quoi? Comment ça on c'est trompé d'histoire? Ha oui, autant pour moi, reprenons donc, ceci n'est donc pas une histoire merveilleuse, avec un happy end et un prince charmant en cours de route. C'est le récit d'une vie, tout simplement.

La donzelle est née dans une famille de miniers, autant dire qu'ils ne marchaient pas sur l'or. Il s'en était fallu de peu d'ailleurs pour que la gamine ne fut pas abandonnée à un coin de rue. C'était une fille vous comprenez, elle gagnait moins en travaillant, il fallait leur trouver une dot raisonnable. Bref c'était tout un problème à l'époque, les garçons étaient bien plus enviables, plus viables. Heureusement, l'instinct maternel est ce qu'il est et la mère éreintée mais encore lucide failli étriper son mari lorsqu'il aborda la question délicate.

Il n'y a pas grand-chose à dire sur sa jeunesse, pauvre, mal nourrit, sa croissance en pâtit ce qui donna une petite demoiselle. Leur maison était dans un état lamentable, glaciale l'hiver, prenant l'eau les jours de pluies. Son père? Un homme bon, mais pratiquement inexistant, la mine lui vidait son énergie, sa bonne humeur, tout. Elle ne laissait à la place qu'un être éreinté, mauvais et pessimiste.
Sa mère, plus douce, réussit à s'occuper de sa fille un temps, minime malgré tout, elle dut rapidement repartir travailler en faisant des ménages et autres taches ingrates.
Autant dire que la demoiselle s'éduqua toute seule comme tous les bambins du quartier. Il ne faisait pas bon vivre lorsqu'on avait pas d'argent, si bien que les enfants se regroupaient en bande, se menant des gueguerres de territoires, finissant fatalement en voleur à la tire pour subsister.

Là où elle eut plus de chances que les autres fut son envoi pendant quelque temps dans une église suite à un chapardage qui avait mal tourné. Encore heureux que le commerçant fut un ami de son paternel, sinon pour sûr qu'elle aurait passé un quart d'heure fort désagréable. Elle eut donc droit à une éducation sévère de la part des sœurs, les bêtises réprimandées à coup de bâtons, mais elle apprit les rudiments de la lecture. Bien sûr ce genre de services ne durant pas éternellement, bien vite la famine vint frapper la famille et la gamine recommença à arpenter les rues.

Cela dura une dizaine d'années ou la vie était une peste qui ne vous lâchait pas d'une semelle. Vers ses 13 ans, elle fut repérée par un bourgeois vicelard qui proposa une coquette somme d'argent pour disposer de la demoiselle. S'il n'y avait pas eu la pauvreté, ils auraient refusé, s'il n'y avait pas eu la famine, il n'auraient pas accepté. Mais voilà, les temps étaient durs, la vie, cette chienne de vie, une maîtresse capricieuse qui ne semblait pas vouloir faire de cadeau.

Alors ils acceptèrent.

C'était sans doute sans compter sur la docilité de Lys. Déjà bien ancrée dans un gang de petit malandrin aussi dépareillé que maigre, la gamine s'enfuit pour vivre dans les rues. La vie n'y était pas simple, mais pas plus mauvaise que chez elle où les bouteilles commençaient à s'amonceler.
A la quinzaine, elle commença à vendre ses services, la chose restait rare, mais lorsqu'on crève la dalle, il faut bien trouver un moyen de manger.
Le gang de voleurs avec ces nouveaux venus et ces morts prenait doucement de l'ampleur, assurant un certain confort au plus vieux dont Lys faisait partie. Quand je parle de confort, je parle d'un lit à peu près viable dans un bâtiment désaffecté et une nourriture un peu plus abondante.
Avec la gloire venait les emmerdes, les gueguerres de gosses devinrent de véritables combats à mort. Il n'était pas rare de retrouver un petiot égorgé dans un coin sombre caché derrière une poubelle. Bien vite les couteaux remplacèrent les bâtons et les rencontres repeignaient les murs de sangs.
Les adultes dans l'histoire? Ils laissaient faire, ils s'en foutaient, qui se souciaient de voir ces sales petits voleurs se faire étriper? Qu'ils s'entretuent, cela arrangeait tout le monde au fond, il n'avait qu'à travailler comme tout le monde.

Lys se trouva être une véritable furie lors des escarmouches, n'hésitant pas à mordre quiconque tentait de lui effiler la chair. Défendant sa vie comme elle l'avait vécu, comme un véritable démon, elle parvint à s'échapper de toutes les échauffourées. Cela durant une bonne dizaine d'année supplémentaire. Elle c'était hissée à la place de second, elle était l'une des plus vieilles avec le meneur d'un an son ainé.
Le petit gang était devenu grand, s'associant à d'autres, formant un véritable réseau de malfrats. Bien sûr ils n'étaient qu'une division mineure de la machinerie, mais ils étaient là, encore et toujours, défendant chèrement leurs peaux.
Puis, finalement, ce qui devait arriver arriva. Une transaction qui avait mal tourné dans un bar rempli des lascars affiliés à des clans ennemis. Lys et son chef étaient de la partie. L'alcool aidant, le sang avait chauffé et ce fut un véritable carnage qui eut lieu dans le bar (se trainant déjà une réputation pas très catholique). Son chef en réchappa, ainsi que quelques uns de la troupe, il en fut de même pour ces abrutis, sauf leur chef, lui se fit transpercer les poumons par Lys.

La donzelle, elle c'était bien battue, 4 ou 5 cadavres à son actif, mais voyez on n'a pas les yeux dans le dos et dans une mêlée générale la chance fait partie du lot. Cette fois-ci, il fallait croire que le lapin était partie avec ses escarpins de fourrures, une étincelle argentée plus tard et elle fut repeinte de son sang. La gorge coupé, ca ne pardonne pas. Les yeux grands ouvert, la bouche envahit du liquide visqueux, elle n'eut même pas droit à un dernier mot.
Au moins c'était une mort rapide.

Et ainsi s'achève notre histoire....
Parce que vous y avez cru vous? Je ne me serais pas donné la peine de vous conter une histoire aussi banale s'il n'y avait pas eu un peu de rebondissement dans l'affaire voyons. Nous arrivons donc à la seconde partie de notre histoire, car après la vie il y a, hé bien contre toute attente oui, la vie.
Encore.
Elle ne semblait pas vouloir la lâcher. Quitte à lui pourrir l'existence autant continuer jusqu'au bout, vous voyez.  

Il y avait ce moment de surprise intense, ce petit temps qui dure une éternité, s'étirant à l'infini avec la prise de conscience que la faucheuse n'est plus bien loin. Le froid et les ténèbres. Un froid intense, tellement vif qu'il lui brulait les os. Une obscurité totale, si épaisse que le moindre sons en était étouffé. La nuit et la glace, l'un et l'autre se mêlant dans une harmonie si parfaite qu'elle en devenait insupportable, mordant chair et muscle dans un massacre impitoyable.
Douloureux.
Puis, le plus naturellement du monde, elle rouvrit les yeux. Étalée là sur le sol poisseux. Le silence était maitre, la nuit son amante. Plus personne n'était dans les environs et les morts jonchaient le sol. Ses mains vinrent tâter son cou, une caresse imperceptible pour éviter une réponse trop abrupte. Ses doigts ne rencontrèrent que sa peau, boursouflé d'une fine griffure, mais barbouillé de sang. Elle ne doutait pas de sa mort, les souvenirs étaient trop clair, trop limpides pour qu'il s'agisse d'un mauvais rêve. Ses habits étaient couverts du liquide pourpre, encore humide, qui s'était échappé de sa blessure mortelle.

En titubant Lys s'était levée et était partie.
Elle avait marché la tête vide jusqu'à ne plus pouvoir avancer. Jusqu'à ce que la fatigue l'engloutisse pour ne pas avoir à se souvenir de ces plateaux enneigés qui lui brulaient le corps. Elle ne voulait pas de ces souvenirs, car elle savait que c'en étaient, qui n'étaient pas les siens, de cette histoire qui ne lui appartenait pas. La vie est une garce bien tenace et il fallait croire qu'elle s'était attachée un peu trop à la petite pour la laissée partir.
Le sommeil la berça tendrement pour l'emmener avec douceur dans son royaume. Et les souvenirs affluèrent.
La solitude tout d'abord, la fureur de s'être fait berner, la haine qui se renforçait d'heure en heure tandis que les chaines lui mordaient les chevilles et ceux pendant encore une éternité. Il y avait cette neige, toute cette neige, cette foutue neige qui accompagnait le vent. Il l'entendait, elle se riait de lui, de sa détention, elle le narguait en apportant le gel, baissant encore et toujours la température jusqu'à ce que ces poils deviennent durs et son museau insensible. Ses liens à ses pattes, lui qui était tout puissant, ils ne voulaient pas se défaire, s'écraser devant sa grandeur. Il en était réduit à attendre, dans la faim et le froid, attendre que le temps passe et cours pour finalement s'effriter.
La haine, la solitude.
Tous ces sentiments s'entremêlaient dans une toile effroyable donnant naissance à un paroxysme dont la fin serait terrible.

Il était elle désormais, elle était lui. Fenrir, celui qui apporta la fin du monde, le grand dévoreur dont les enfants engloutirent lune et soleil.
Je peux vous dire une chose, il est déroutant de se réveiller avec des poils. Attention quand je dis des poils, je parle de tout un pelage. La demoiselle s'était écroulée dans une ruelle à l'extrême de la ville, sur un sol boueux à la couleur douteuse. Heureusement qu'il était tôt et que personne ne passait par là. Il y aurait vu un loup. Un énorme et gigantesque loup. La surprise lui fit perdre son allure pourtant bien élégante et elle redevint elle. Lys, la souillon au visage sale et aux cheveux emmêlées, nue et couverte de sang.

S'ensuivit alors un temps d'errance. Elle avait vécu de larcins toute sa vie, elle pouvait maintenant vivre de la chasse. Évitant autant que possible de se lier aux humains, Lys prit le temps de comprendre ce qu'elle était devenu. Elle était la même sans être tout à fait pareil. Un instinct nouveau avait pris place dans sa tête, tandis qu'une voix intérieure, une sorte de consciences alternatif, lui murmurait son avis.

Petite anecdote intéressante, ses errances la menèrent notamment dans une certaine contrée. Un psychopathe avait dressé son animal à tuer rendant la bête à moitié folle. Ils ne laissaient dans leurs sillages que des cadavres affreusement mutilés. Lys fut aperçue dans les bois bordant le village, on hurla alors au diable, puis au loup garou, comprenez un animal à la taille monstrueuse, il fallait bien les enfers pour en être l'origine.
Ainsi pris naissance la rumeur de la bête du Gévaudan, le loup sanguinaire qui tuait mère et fille en dansant sur leur corps. Bien sur la demoiselle ne participa en rien au massacre, les seuls humains qui lui arrivait de tuer n'étaient que ceux qui attentaient à sa vie. Elle n'éprouvait aucune joie à donner la mort, même si globalement elle n'avait pas de remords non plus.

Je ferais l'impasse quand au reste de ces vagabondages et rencontre. Je me contenterais seulement de rajouter quant au pourquoi de sa présence dans cette école. Il n'y a rien de plus simple, une rumeur, un drôle de bruit comme quoi une école accueillait des gens comme elle. Si elle fut étonnée d'apprendre cela, la curiosité l'emmena à s'y inscrire. Lys n'avait jamais vraiment eu le loisir de côtoyer ses semblables et cela pouvait...disons être intéressant.


II. LE JOUEUR.


■ AGE : Majeur et vacciné (enfin ca non °°) depuis quelque temps :3
■ PRENOM/SURNOM : Huu, Moon, Kamélia, Nastu, souvent accompagné du Vaylen ^^
■ Comment as-tu trouvé le forum ?Kamino, le kelpie là
■ Et comment tu le trouves, maintenant ? Jolie
■ Tu t'entends bien avec Bob l'éponge ? Faites bruler cette éponge -_-
■ Quelque chose à dire ?  Je veux un gâteau °°
■ CODE [OBLIGATOIRE] : OK by Maddou'!


© Shaded Academy


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MessageSujet : Re: Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde.
Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde. Icon_minitimeMar 20 Aoû - 11:38


Vampire

Maddox N. Ballantyne
Maddox N. Ballantyne
Vampire

Confrérie : Guilty
Personnage sur l'avatar : Gokudera Hayato de KHR!

Feuille de personnage
Age: 35 ans
Niveau d'étude: Lycée
Petit(e) Ami(e):







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BONSOIR & BIENVENUE !



L'histoire est vraiment bien, on a envie de suivre cette petite et de la voir évoluer puis, Fenrir quoi.
Fils de Lokiiiiiiiiiii! /PAN/
BREF, tu es validé Louveteau!

P.S: Je laisse un droit de véto aux vrais admins au cas où, quand même, mais de mon point de vue c'est bon. n____n

Bon jeu!

P.S2 ( non non, pas la console! -u- ): N'OUBLIE PAS DE CLIQUER SUR LE PREMIER CACTUS POUR VEAUTER! o/
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MessageSujet : Re: Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde.
Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde. Icon_minitimeMar 20 Aoû - 11:54



Lys Vaylen
Lys Vaylen
Myhtique : Fenrir

Emploi : Etudiante
Confrérie : Distraught

Feuille de personnage
Age: Plus de 300 ans, 20 d'apparence environs
Niveau d'étude: Université
Petit(e) Ami(e):







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Merci beaucoup et pour les compliments et pour la validation ^^.
Ca fais plaisir de voir qu'elle est appréciée :D.

ps:Je penserais au petit cactus è-é
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MessageSujet : Re: Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde.
Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde. Icon_minitimeMar 20 Aoû - 19:19


Mythique : Disciple de La Mort

Jason Brooks
Jason Brooks
Mythique : Disciple de La Mort

Confrérie : Guilty
Personnage sur l'avatar : Raiden

Feuille de personnage
Age: 24
Niveau d'étude: Université
Petit(e) Ami(e): Kathleen B. Von Sternberg







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Bienvenue parmi nous !!!
Même si tu es de ces traitres de Distraught ! Wink
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MessageSujet : Re: Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde.
Lys Vaylen, ou le loup de la fin du monde. Icon_minitime



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