You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] 595583Sanstitre1ban123



 
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You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]

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MessageSujet : You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeSam 15 Juin - 22:31


Hybride : Minotaure

Quentin Johnson
Quentin Johnson
Hybride : Minotaure

Emploi : Cancre
Confrérie : Guilty & Sorrow
Personnage sur l'avatar : Yondaime, Hinamura, Soichirou (Kamisama no Memo-chou)







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Huit jours. Huit longues journées aux nuits interminables s'étaient écoulées depuis ce jour. Quentin ne fut pas resté longtemps au poste de police,  son bras était visiblement plus long que celui des autres lieutenants et capitaines qui y était présent. Le jeune homme était un mal nécessaire, ils avaient besoin de lui, de ce qu'il savait faire, de ce qu'il pouvait faire. Mais il ne le faisait plus parce qu'il le pouvait, mais parce qu'il le devait. Au fil de sa jeunesse, Quentin n'armait plus les petits dealers, il refourguait des cargaisons égaré, perdu, inexistante, à tous les futurs dictateurs, les républiques en perdition, et tout ce à qui les mots avait perdu leur pouvoir.
 
Quentin s'était finalement réfugier dans ce château, il n'y dormait pas, mais passait le claire de son temps en son sein, autant pour s'occuper de ses affaires, que pour l'aménager ou autre. Soi-disant hanté, cette vieille bâtisse était merveilleuse. Son architecture attirait Quentin en tout point.
 
Un groupe d'acheteur potentiel avait fait le déplacement jusqu’à là où il l'avait indiqué, de toute manière, ils n'avaient pas d'autre choix que de se plié à ses règles. Il les avait accueillis au niveau du jardin, un immense jardin, dont la nature avait repris le dessus. Le terrain parfait, plus personne ne venait ici, et les coups de feu n'avait pas l'air de gêner qui que ce soit. Il avait reçus la visite d'un groupe de 4 et les avait gentiment initiés à l'utilisation de ses produits. Tout n'était pas en train de se passer comme prévue, les acheteurs avaient commencé quelque chose de très mauvais pour les affaires. Pour ses affaires. A couvert derrière un muret, Quentin essuyait des coups de feu depuis une dizaine de minute.
 
Il avait réussi à éliminer un de ses opposants, mais essuyait des tirs de suppression depuis une dizaine de minute. Le muret qui lui servait de protection commençait à s'effriter sérieusement, et l'un de ses adversaire entamait de le flanquait.
 
 
En position accroupi, Quentin tira sur le nœud de sa cravate afin de libérer son cou, il se sentait oppresser. Son chargeur à moitié vide ne l'aidait pas. Il sentait sa colère gronder, la situation échappait à son contrôle et il n'aimait pas ça. Il s'attarda néanmoins sur sa position, repensant à la foi dernière. Alys.
 
Serrant son poing, il s'était imaginé de nouveau à profiter d'elle, lui imposer une étreinte, jusqu'a ce que ces maudites forces de l'ordre ne les eut séparé. Le fourgon fut plutôt confortable, malgré l'air mauvais des policiers qui l'eurent interpelé. Etrangement, à ses yeux, se faire libérer fut plus facile qu'il ne l'avait pensé.
 
Bizarrement, Quentin essayait plus de s'imaginer la jeune fille, que de sauver sa propre peau. Il était persuadé qu'il s'en sortirait, il s'en était toujours sorti, même des situations les plus dangereuse. La pâleur de sa peau, ses doigts fin, ses tentatives de corruption, de manipulation, la manière dont indirectement, elle le calmait.
Il se baissa soudainement, manquant de tomber alors qu'il retournait à la réalité, avant de penser à elle, il devait penser à lui. Son costume s’était froissé, ses chaussures salit, ils l’avaient vraiment mis en colère. Il releva legèrement la tête au dessus du muret, analysant la situation, la position de l'ennemi. Ils étaient bête, aucune position stratégique, rien. Ils allaient même finir a cour de munition à force de tirer n'importe où, et le bruit perpétuel allait finir par attirer quelqu'un...
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeJeu 20 Juin - 12:26



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Alys soupira lascivement et se retourna dans le lit en s'étirant. La couette glissa sur son corps et découvrit sa poitrine dénudée. Elle tourna la tête vers l'autre côté du matelas et aperçut un jeune homme endormi, charmant. Un sourire étira ses lèvres puis elle se leva doucement, prenant garde de ne pas le réveiller. Sur la pointe des pieds, elle récupéra ses vêtements dispersés un peu partout dans la chambre et se faufila hors de la pièce à la recherche d'une salle de bain. Elle n'amenait jamais ses amants chez elle (elle se voyait mal en ramener un différent tous les soirs à l'académie) et se débrouillait donc pour toujours finir la nuit chez eux. Ou chez elles, d'ailleurs.

Elle prit une douche rapide, se rhabilla en pestant (elle détestait mettre deux fois la même chose), attacha ses cheveux mouillés en deux tresses de chaque côté et partit sans un mot. Elle ne revoyait jamais deux fois ses coups d'un soir, sauf cas exceptionnel s'ils étaient vraiment bons. Et celui-ci avait beau réussi à lui faire passer un agréable moment, ce n'était pas assez pour qu'elle daigne le garder dans son répertoire. Surtout qu'il avait osé lui poser des questions sur les trois petits couteaux qu'elle gardait constamment accrochés autour de la cuisse et elle abhorrait les curieux. Mignons ou pas.

Elle rentra d'un pas pressé à l'académie et se précipita dans sa chambre pour se changer. Malgré la douche, elle avait encore l'impression d'être sale et elle ne supportait pas cette sensation. C'était très désagréable. Elle se vêtit donc d'une jupe noire et assez ample qui lui arrivait un peu au dessus des genoux et d'un débardeur blanc qui mettait en valeur son décolleté, par dessus lequel elle ajusta une veste en cuir noire. Et puisqu'il faisait beau, elle alla même jusqu'à chausser des sandales compensées noires qui la grandissait d'une bonne dizaine de centimètres.

Elle ne savait pas trop où elle voulait aller, aussi laissa-t-elle ses pas la guider. Elle laissait son esprit vagabonder et celui-ci décida qu'il était temps de revenir à Quentin. Cela devait faire une semaine, peut-être plus, qu'elle l'avait rencontré et elle se demandait quand elle le reverrait. Il l'avait intrigué avec ses airs mystérieux, ses mallettes fermées hermétiquement et sa maîtrise des armes à feu. Et en parlant d'armes à feu ...

Une détonation retentit plus loin, suivie de plusieurs autres.

Les passants ne semblèrent pas réagir, ce qui indiquait que les bruits étaient assez loin pour qu'elle seule les entende. Elle fronça les sourcils, persuadée que tout cela avait un rapport avec Quentin. Décidément, à peine sorti de prison (elle nota d'ailleurs dans un coin de sa tête qu'il fallait qu'elle lui demande comment il s'en était sorti), il fallait qu'il soit impliqué de nouveau dans une rixe peu amicale. Elle soupira et partit en direction des bruits, d'un pas hâtif. 


♠ ♠ ♠

Sous le couvert des arbres, assez éloignée des opposants pour qu'ils ne l’aperçoivent pas, elle observait la situation. Le jeun homme qu'elle cherchait était à l'abri derrière un muret qui ne tiendrait pas longtemps et trois hommes, pistolet au poing, tiraient dans tous les sens sans se concerter, sans tactique aucune. Elle sourit. Bande d'inconscients. Et comme elle n'avait vraiment pas envie que l'on lui enlève son jouet une nouvelle fois, elle décida d'agir. Elle se faufila discrètement à travers les mauvaises herbes, avec une agilité déconcertante malgré ses talons hauts, et arriva à quelques mètres derrière l'un des tireurs. Il tenait son arme maladroitement, compensant son manque de savoir faire par une détermination à toute épreuve. Ceux qui en voulaient à la vie de Quentin avaient envoyé une bande d'enfants inexpérimentés. C'en était affligeant.

Trois couteaux, trois cibles. Trois mouvements.

Trois morts.

Elle ne ratait jamais son coup et ils bougeaient à peine. L'idée même que leur proie puisse recevoir de l'aide ne les avait même pas effleurés. C'était d'ailleurs un peu lâche de les avoir attaqués par derrière mais Alys ne ressentait aucun remords. C'était pour la bonne cause. Elle sortir de sa cachette en prenant tout son temps, sourire aux lèvres, et récupéra ses lames. Elle les essuya sur l'herbe, et les rangea soigneusement dans leur fourreau. Puis elle se dirigea vers le seul survivant. Elle lui adressa un sourire resplendissant, un peu charmeur.

« Quentin, ravie de te voir. » Puis, provocante : « Navrée de t'avoir pris tes cibles, mais tu semblais un peu en difficulté. »
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeJeu 20 Juin - 14:11


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Quentin Johnson
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Emploi : Cancre
Confrérie : Guilty & Sorrow
Personnage sur l'avatar : Yondaime, Hinamura, Soichirou (Kamisama no Memo-chou)







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Le bruit avait cesser, et après s'être a nouveau perdu dans ses pensées, Quentin eu du mal a le remarquer. L’arme à son poing, le jeune se fit extraire de son ambiance, pourquoi diable était-elle ici ? C’était la deuxième fois qu’elle le traquait, qu’elle s'immisçait dans sa vie, et sans prévenir. Malgré l’attirance qu’il avait pour elle, l’attraction dont la jeune fille pouvait faire preuve ne l'empêcher pas d’être lucide. Il savait très bien que leur relation n’avait pas de sens, qu’elle n’était pas viable. Un homme comme lui ne pouvait s’amouracher d’une jeune fille, ou de qui ou quoi que ce soit d’autre de vivant. Depuis quelques temps, le marché était devenu instable, véreux et vicieux. Aucune erreur n’était permise, le prix à payer était toujours le prix fort, celui qui laisse des séquelles.

Il avait un genou au sol, la tête relevé. Il fixait la jeune fille dans les yeux, toujours pensif, il était avec elle seulement physiquement, le cerveau en ébullition, il ne cessait de se poser toujours plus de question.

Quentin commença a se relever, époussetant ses vêtements tandis qu’il rangeait alors son arme dans son dos après avoir remis la sécurité, voulant éviter de se tirer dessus bêtement. Il ajusta sa cravate et tenta de s’arranger du mieux qu’il pouvait désormais qu’il lui faisait face.

Le jeune homme ne put s'empêcher de détourner la tête, regardant si les menaces n’était effectivement plus là. Alys était pour le moment secondaire, non pas qu’il se moquait d’elle, juste qu’il préférait rester en vie, il n’estimait pas encore supérieur la valeur de la vie de la jeune fille par rapport à la sienne. Remarquant l’absence de ses adversaires, Quentin pouvait alors prêter attention à la beauté plantureuse, qui malgré son accoutrement, ne perdait pas tout son charme.

Il ne put s'empêcher de sourire, il était réellement content de la voire, même si il aurait préféré que cela soit dans d’autre circonstance, autour d’une table ou dans un endroit plus intime. Même si techniquement le fait qu’ils soient seul conservait leur intimité. Il s’avança et tenta de lui embrasser la joue, prenant finalement la parole :

“Je suis ravie de te voir moi aussi. Et si tu avais pris le temps d’admirer le spectacle, tu aurais vue qu'après t’avoir sortie de mes pensées, je n’en n’aurait fais qu’une bouché. Mais je trouve touchant que tu veuille me protéger, bien que j’aurais préférer que ce soit à propos d’autres choses. C’est moi qui suis sensé vous protéger de vilain garçon qui s’approche trop près de vous. Soit dit-en passant, que faites vous ici ? Je pensais qu'après ce qu’il s’était passé, vous ne revoudriez voir ma personne."





Quentin s’humecta les lèvres, sceptique. Elle savait tuer, mais pourquoi ne lui faisait-elle pas de mal ? Il était mauvais, par sa faute, une quantité innombrables de civiles et autres innocents étaient mort, tué directement ou indirectement par sa personne. Il baissa légèrement la tête, prenant le temps de la contempler comme il le devait, elle était resplendissante, et n’était visiblement pas du genre a cacher ses formes, vue ce qu’il avait sous les yeux à cet instant. Il secoua faiblement sa tête, chassant quelques idées mal placé de son esprit tandis qu’il replongeait son regard dans le sien.




Il connaissait son environnement, les deux grandes statue chevaleresque dans son dos, bien qu’a une dizaine de mètre, les haies et différents muret, l’herbe coupé court, et la magnifique table en pierre sur la terrasse surplombant le jardin ou ils étaient. Cet même table en pierre qui était jonché d’armes à feu en tout genre, de paperasse, d’argent sale, et sa mallette, du-moins, une de ses mallettes. Avait-elle un don pour débarquer a chaque fois que ce genre de... ‘matériel’ était présent, ou faisait-elle exprès?
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeJeu 20 Juin - 18:51



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L'espace d'un instant, Alys regretta d'avoir mis ces sandales si hautes mais à sa décharge, elle n'avait pas imaginé, ne serait-ce qu'une seule seconde, qu'elle se retrouverait dans cet ancien jardin abandonné, où le sol inégal l'obligeait à prêter un peu plus d'attention que d'habitude à sa façon de marcher, sans pour autant qu'elle ne le laisse paraître dans sa manière d'avancer. Elle semblait toujours aussi gracile et elle ne trébucha pas une seule fois tandis qu'elle s'avançait vers Quentin. Celui-ci n'avait même pas dû remarquer ce détail, tant il semblait perdu dans ses pensées. Quand bien même il la fixait droit dans les yeux, elle eut l'impression qu'il n'était pas tout à fait avec elle, même quand il se releva enfin pour lui faire face.

Elle le laissa faire sans bouger lorsqu'il s'approcha pour déposer un baiser sur sa joue et se contenta de le fixer, impassible, alors qu'il fanfaronnait, passant du tutoiement au vouvoiement sans transition, comme s'il ne savait toujours pas lequel choisir. Elle sourit d'une façon insolente.

« Oh, donc j'étais dans tes pensées pendant que tu échangeais des balles amicales avec ces ... hommes ? C'est flatteur. Très flatteur. » Elle sourit, réellement touchée, sans vouloir lui montrer. « Je ne cherchais d'ailleurs pas spécialement à te protéger. Je déteste que l'on touche à ce qui m'appartient. Et tu es mon jouet. » Possessive. « Et je n'étais que de passage plus loin, lorsque j'ai entendu les coups de feu. Mon intuition m'a dit que tu étais encore impliqué dans une histoire d'armes alors je suis venue voir. Je ne suis pas déçue. »

Elle jeta un regard éloquent à ce qui les entourait, sans manquer la table ensevelie sous des paperasses sûrement importantes et un lot important de ce qui venait de causer le trouble auquel elle avait mis fin, à peine quelques minutes plus tôt. Son regard revint se fixer sur celui du jeune homme.

« Intéressant. »

Elle hésita à déployer ses ailes pour aller se poser directement à côté de ladite table mais elle préféra y aller par des moyens plus ... conventionnels. Quentin n'était pas encore prêt à accepter sa vraie nature et elle n'était même pas sûre d'avoir envie de lui révéler, de toute façon. Cela ne le regardait pas. Elle ne savait pas si elle pouvait lui faire confiance même s'il lui avait sauvé la mise la dernière fois. Elle passa à côté de lui, le frôlant délibérément de l'épaule, et se dirigea vers la terrasse, se déhanchant volontairement de manière hypnotique, certaine qu'il allait la suivre. Ses jambes fines et galbés paraissaient d'autant plus interminables avec ses talons et elle savait jouer de ses atouts, comme toute femme qui se respecte.

« Au fait, comment t'es-tu sorti de prison aussi rapidement ? » Elle sourit, pas dupe. « Enfin, je suppose qu'avec toutes ces armes, tu dois bien avoir quelques connaissances dans les réseaux policiers de la ville. »

Elle monta lentement les marches qui menaient à la terrasse et arriva finalement devant la table. Elle attrapa une des armes au hasard, un petit pistolet, et la pointa négligemment sur Quentin, se doutant qu'elle n'était pas chargée, un sourire aux lèvres. Appuyée contre la table, nonchalante, elle le regarda se diriger vers elle. Puis elle s'avança à pas lents et posa le canon à l'emplacement du cœur du jeune homme. Elle leva les yeux vers lui (malgré ses talons, il restait plus grand qu'elle et cela la frustrait beaucoup).

« Que ferais-tu, si l'arme était chargée ? Si je décidais de tirer ? » Elle rit doucement. « Quelle serait ta dernière volonté avant de mourir ? »
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeVen 21 Juin - 7:42


Hybride : Minotaure

Quentin Johnson
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L'arrogance dont elle faisait avait un effet tumultueux, c’était presque si elle se faisait des éloges ! Il n’avait presque pas besoin de la flatter, elle le faisait toute seule !
Il ne l’aida pas à l’outrepasser, bien que l’idée de s’imposer devant elle effleura son esprit, il n’en fit rien. Quentin était, de par sa nature, fasciner par toute les choses, toutes les créatures. Même si ce qu’il n’aimait pas, il l’exécuter, Quentin donnait au moins une chance à tout le monde, du moins, quant il en avait l’occasion.


Se tournant pour emboîter le pas, il profita néanmoins de la vue qu’elle tendait à lui offrir. Bien que n’arrivant à discerner si elle accentuait ses agissement pour l’agiter de plus belle, Quentin n’en restait pas moins touché, charmé. Malgré l'énergie dont il faisait preuve pour se défaire de son attraction, plus il avait l’impression de couper de liens, plus il en trouvait. Consterner. Tout ses efforts mis à mal. Et elle se mis à parler à nouveau. Étrangement, et ce n’était sûrement qu’une impression, même si il le subissait, mais la voix de son interlocutrice paraissait plus douce, bien que plus intéresser. Comme si ses mots n’étaient la que pour flatter son ego.
Attendant qu’elle ai gravit le plus de marche possible, Quentin ne perdait pas le fil de la réalité, après tout, si elle trébucher en avant, il n’aurait pas pu rêver mieux, du-moins, pour ce qui est de monter des escaliers. Et encore, en fait si, il y avait mieux, mais ça n’arriverait pas.
Le jeune homme soupira, montant à son tour les marches malgré le soupir de tristesse qu’il avait laissé s'échapper. Il n’étais pas réellement triste, ou du-moins, était-ce plus de la tristesse, ou le fait qu’il savait déjà que ce qu’il imaginer n’arriverait pas ?


Posant le pied sur la terrasse, Quentin resta sceptique, comment diable avait-elle put remarquer cette table ? qui était situé au dessus d’eux ? Quelque chose était étrange chez elle, quelque chose ne tournait pas rond. Quentin ne montrait pas l’état dans lequel il était, elle n’avait nul besoin de savoir comment il était. Il ne divaguait pas, mais elle le mettait en colère, pas de la mauvaise manière effectivement, mais la frustration grandissante qu’il commençait à éprouver n’était pas bonne non plus. Et pourquoi diable la manière dont il était sortie de prison était importante? D’ailleurs il n’y avait jamais mis les pieds.
S’avançant jusqu'à elle, Quentin se justifiait comme il le pouvait :


“En quoi Diable est-ce important ? Qui sait, j’ai peut-être vendu mon corps. Que cela peut-il bien te faire? Et qu’ai-je à y gagner? Crois tu vraiment que je vais tout déballer à une presque inconnue, peut-être un jour, mais pas aujourd’hui ma demoiselle.”


Quentin se figea alors qu’elle pointait une arme vers lui, même néglige ment, les gâchettes étaient du genre sensible, et malgré son non intérêt visible pour ce qu’elle avait prit, elle n’avait prit n’importe quel arme. Il tendit doucement les bras vers elle, en avant, comme pour se protéger, l’amadouer, gagner du temps pour lui faire entendre raison. Le désert Eagle avait une puissance d'arrêt plutôt phénoménale.


La laissant s’approcher, Quentin paraissait nerveux, inquiet pour lui-même a dire vrai. Le canon posé contre lui, il frémit, des frissons le traversant jusqu'à l’échine. Son coeur battait la chamade, il se savait d’une puissance monstre, mais il n’était malheureusement pas à l’épreuve des balles. Il baissa doucement une main, puis d’un geste vif lui attrapa le poignet. Il tordit légèrement celui-ci vers l’extérieur, l’obligeant à pointer l’arme vers le paysage à la droite de la jeune fille tandis que son autre main était venu prendre possession du cou de la jeune fille. Il serrait sa gorge entre ses doigts, d’une main de fer, il ne lâcherait pas prise, bien qu’il ne forçait pas assez pour la blesser. Quentin était tout chose, chambouler, les multiples sensations et émotions qu’il avait subit l’avait légèrement fais transpirer. Il avait a son tour les yeux plongé dans les siens, ce qui lui sauva sûrement la vie, si il ne l’avait pas capté de son regard, elle aurait sûrement tiré sur la surprise. Ou peut-être l’avait-elle fait et il ne s’en était pas rendu compte. L’adrénaline est une drogue dur.


“Je ne suis pas ton jouet, je suis trop possessif pour être un jouet. Ma dernière volonté est trop longue pour que sur le point de mourir on me l’accorde.”


Quentin avait changeait de ton, il n’était plus calme, il était en colère désormais, de nouveau. elle l’avait menacé d’attenter à sa vie, et il n’aimait pas ça. Pas du tout. Il comptait bien lui faire payer, à moins qu’elle se rachète...
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeVen 21 Juin - 11:11



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Alys sentait le regard perçant sur son dos pendant qu'elle montait les marches, qu'elle gravissait peu à peu le chemin qui la menait vers son but, cette table jonchée de preuves, d'armes et d'argent. Elle n'était pas réellement intéressée par ce qui s'y trouvait, à vrai dire, mais elle avait trouvé là un nouvel amusement, un divertissement un peu plus original, qui lui permettait de jouer avec le jeune homme à ses dépends. C'était peut-être un peu cruel, un peu sadique, mais elle ne pouvait s'empêcher de se complaire dans le malaise des autres, dans l'anxiété qu'ils ressentaient voire dans la douleur qui envahissait leur corps. Elle aimait regarder ses proies haletantes, implorer sa piété sous son regard dur, bégayer, terrifiées devant cette petite silhouette qui ne payait pas de mine et qui était pourtant bien plus dangereuse qu'on ne pouvait le penser. Elle était mauvaise, en un mot, atrocement impitoyable, monstrueuse.

Elle ne connaissait pas le nom de l'arme dont elle se saisit, cela faisait longtemps qu'elle ne s'y intéressait plus malgré les avancées étonnantes qu'avaient pu faire la science et la technologie, mais Quentin, lui, sembla parfaitement la reconnaître. Son sourire s'accentua devant ce mouvement d'arrêt tandis qu'il plaçait ses bras devant lui, comme un geste de défense. L'arme était peut-être chargée, en fin de compte, elle n'avait même pas regardé. Ses lèvres s'étirèrent encore, laissant voir ses dents blanches, ses canines un peu trop pointues.

« Oui, en quoi est-ce important ? Je ne sais pas. Je pose des questions, tu n'y réponds pas, je m'en moque. Tu n'as effectivement rien à y gagner, à part peut-être le plaisir d'avoir assouvi ma curiosité. La satisfaction de répondre aux désirs d'une femme. »

Elle rit en s'avançant vers lui, canon pointé droit devant elle, sur le cœur. Son doigt jouait dangereusement avec la gâchette, avec le feu, avec sa vie. Elle aimait sentir l'inquiétude croissante exhaler de tous les pores de sa cible, elle s'en repaissait, créature avide de sang. Son regard dur était fixé dans celui de Quentin, elle l'examinait, le jugeait.

Le testait.

Il réagit, attrapa vivement sa main pour la repousser sur l'extérieur tandis que sa main droite enserrait son cou fragile. Elle sourit, insolente, sans montrer le moindre signe de peur ou de douleur, le moindre signe de surprise. Elle s'y attendait, elle le provoquait depuis le début, il avait plongé dans son piège. Son sourire se fit carnassier. Dangereux. Elle jeta l'arme plus loin, sans aucune précaution, elle n'en avait plus besoin. Ses deux mains étaient libres et elle aurait aisément pu attraper ses couteaux pour l'achever sur le champ. C'est ce qu'elle aurait fait avec une personne lambda, avec un triste inconnu, mais elle avait envie de jouer et elle savait que Quentin pouvait se montrer à la hauteur de ses attentes. Elle passa doucement sa main sur sa joue légèrement piquante, presque tendre.

« Tu crois, mais tu n'es qu'un pantin dont les ficelles sont entre mes doigts, tu n'es qu'une marionnette désarticulée qui danse sur la paume de ma main par ma volonté, tu m'obéis et tu ne le sais même pas, convaincu de ta propre volonté. C'est ... mignon. »

Puis sans prévenir, elle agrippa à deux mains l'avant bras qui la tenait, prit appui dessus et envoya ses deux pieds droit dans le ventre du jeune homme, avec violence. Et quand bien même elle ne doutait aucunement de ses capacités de résistance, elle avait mis assez de force pour tuer une personne normale en lui disloquant les côtes ou autres réjouissances aussi morbides. Elle retomba agilement sur le sol, amortissant le choc dans ses genoux, finalement satisfaite de son envie de mettre des talons. Il n'y avait pas à dire, cela faisait toujours plus mal que des chaussures plates. Elle regarda Quentin vaciller, plié en deux, puis il tomba sur le sol, pantelant.

« On ne me touche pas sans ma permission, très cher, tu devrais le savoir. » Elle s'approcha à pas lents de lui, retira sa veste dans le même temps et la lança un peu plus loin pour ne pas être gênée. « Mais je suis impressionnée, tu es résistant. Tu devrais être mort, j'avais dosé ma force à cette fin. » Ses iris virèrent brutalement au rouge vermeil, au rouge sang. « Je suis un peu énervée, maintenant. » Elle sourit tristement, faussement. Un petit sourire déçu lui échappa. « Je n'aime pas trop que l'on attente à ma vie. » C'était elle qui avait commencé mais peu importait, elle avait toujours raison. « Je te pensais assez intelligent pour ne pas me provoquer, tu voudrais terminer comme les trois imbéciles, là-bas ? » Elle désigna d'un geste vague les cadavres des tireurs. « Il y a d'autres moyens de se suicider, je m'attendais à mieux de ta part, vraiment. » Elle nota qu'il reprenait peu à peu son souffle et la regardait. « Alors tu vas payer. »

Deux ailes immenses, blanche, rouges et écailleuses, sortirent alors brutalement de son dos, imposantes. Cela faisait longtemps qu'Alys maîtrisait la transformation partielle et elle avait toujours trouvé cela pratique puisque c'était plus rapide et que cela impressionnait quand même l'ennemi. Elle observa attentivement les réactions du jeune homme. Son regard était glacial malgré le rouge de ses yeux. Elle s'avança jusque lui avant qu'il n'ait le temps de se relever et se pencha vers lui.

« Cela m'attriste de devoir tuer, tu étais amusant. » Elle se laissa tomber sur lui pour le clouer au sol, une jambe de chaque côté, et elle le poussa en arrière pour qu'il s'allonge. Elle le dominait de toute sa hauteur. « Mais je crois que je ne peux te pardonner. » Elle passa un doigt le long de sa mâchoire en le regardant, savourant le contact de sa peau. « Un dernier mot, puisque tu ne veux pas me révéler ta dernière volonté ? »
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeVen 21 Juin - 19:50


Hybride : Minotaure

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Quentin était décidément en colère, vraiment, mais étrangement, il restait maître de soi-même. Il s’était parfois assimiler a un Hulk, du moins, un qui existe, car lui, faisait partie de la réalité, il n’était pas fiction. Il sentait son corps faiblir, il était loin d’être vaincu, les dégâts que son corps était plutôt minime. La douleur à ses inspirations était présente, quelque chose clochait dans sa cage thoracique, son sternum était intact, mais l’affaissement sur son flanc gauche prouvait qu’il avait deux voire trois côtes brisé. Chaque inspiration le pinçait, et il savait pourquoi. Il devait désormais faire d’autant plus attention, avant qu’un des os qui flottait désormais ne lui poinçonne le cœur ou une artère.  
Elle l’allongea et Quentin ne montrait aucune résistance, analysait chacune de ces exactions, de ses gestes, elle allait le lui payer. Il se redressa sur un coude, toussant difficilement alors qu’il tachait de sang la jupe de la jeune fille. Il sourit doucement, affaiblit, mais pas abattue. Il lui prit la cheville de son autre main, l’autre posé sur son torse et le coude au sol. Il remonta lentement sa main le long de sa jambe, ajoutant un doux
 
« Me tuer ? Parce que j’ai osé poser une main sur toi ? Je ne savais pas que la sentence d’un baiser était la mort, sinon je l’aurais fait plus tôt, je me demande comment vous ôtez la vie, si vous violez vos victime. »


Quentin se tourna vers une des fines jambes de sa prédatrice, lui mordillant le mollet, impossible de cacher son excitation, même ses vêtement ne le lui permettait pas. Il ferma les yeux, posant finalement la tête contre celui-ci, malgré la main de la jeune fille contre sa gorge, il s’en moquait à dire vrai. Elle ne tuerait pas son jouet pour si peu. C’était illogique à ses yeux, au contraire, on punit ce qui se détourne du droit chemin pour qu’ils se forcent à y rester, la tentation première d’aller tester, titiller, est naturel, il aurait donc fallut trouver quelqu’un contre-nature ? Était-elle éprise par les homosexuelle ? (i’m not homophobe, i’m playing my character, dont be scared)
Il titubait, endoloris, levant les yeux jusqu’à elle, il avait plus la tête cacher sous sa jupe qu’autre chose, prenant le temps d’analyser son sous-vêtement (si elle en a un ! haha !). Le jeune homme tenait la jambe de la jeune fille, lui aussi, aimait le contact de sa peau, il se sentait bien malgré la douleur, la position d’infériorité dans lequel il était ne le gênait aucunement, il savait qu’il n’était immortel, ou invincible. Il n’avait même pas prêté attention à ses ailes, il s’en moquait éperdument, elles ne l’effrayaient ou ne le fascinaient aucunement, elle lui passait au-dessus. Il posa finalement la tête contre sa jambe, plutôt sa cuisse, légèrement au-dessus du genou. Fermant les yeux, Quentin se laisser aller, n’ayant quasiment rien écouté de tout le blabla qu’elle avait pu prononcer, il se complaisait à rester là, contre cette fille à la peau douce, accueillante. Il baissa légèrement la tête pour lui embrasser le poignet, murmurant alors en ignorant ses menaces et ses demandes de dernières volontés



« C’est marrant quand même, tu aurais pu me tordre le bras, le plié, le cassé, me faire un coup bas, ou je ne sais quel prise de ciseau ou autre, vue tes… tes talents… d’acrobatie. »


Parler de manière prononcé l’avait d’autant plus endoloris, il devait se ménager, elle devait, surtout. Mais si elle voulait vraiment sa mort, alors qu’il se défendrait, ou lui laisserait quelque chose qu’elle n’oublierait pas, après tout, elle avait laissé tomber l’arme pas si loin que ça.
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeSam 22 Juin - 20:56



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Elle avait beau avoir deux ailes dans le dos, Alys restait une fille. Une vraie. Par conséquent, elle avait horreur que l'on touche à ses vêtements et encore plus qu'on les lui salisse. Or Quentin venait de cracher du sang sur sa jupe. Elle grinça des dents devant ce sacrilège et son doigt sur sa mâchoire se fit moins doux, plus griffe que caresse. Heureusement pour lui que le tissu était noir, cela ne se verrait pas trop. Elle fut tirée de ses réflexions vestimentaires lorsqu'une main se posa près de sa cheville, en un contact doux et chaud. Enfin, tiède vu la chaleur naturelle de son propre corps. Elle rit devant les interrogations du jeune homme.

« Et pourquoi pas ? J'ai tué pour beaucoup, tu sais. J'ai tué pour un simple regard de travers, pour un petit mot désabusé dont le ton ne me plaisait pas, j'ai tué sans raison valable, j'ai tué par caprice. Alors un baiser, oui, c'est une des raisons pour laquelle je pourrais t'achever. » Elle se pencha vers lui, posant une main légère sur son épaule, du côté du bras d'appui. « Et puis ... me crois-tu assez sauvage pour violer les hommes ? Ce sont eux qui m'implore, ce sont eux qui souhaitent m'avoir dans leur lit, ce sont eux qui soupirent sous mes griffures et ce sont eux, enfin, qui sourient d'avoir trouvé la mort sous mes mains. » Elle se mordit la lèvre inférieur, pensive. « Même si, généralement, je ne tue pas les gens avec qui je couche. »

Il joua avec son mollet et elle le laissa faire. Dans l'état où il était, il ne pouvait de toute façon plus agir contre elle. Elle ne l'avait pas ménagé et si elle laissait repartir vivant à la fin de leur entrevue, nul doute qu'il mettrait longtemps à se rétablir. Elle aimait garder ses proies sous son emprise totale, quitte à les abîmer un peu, et elle était sûr que les dégâts sur son jouet n'étaient pas définitifs ou irréparables. Ce n'était jamais que deux ou trois côtes.

Elle sentit qu'il n'écoutait pas tout ce qu'elle disait, la tête posée sur sa cuisse, les yeux fermés. La position ne devait pas être spécialement confortable pour lui mais Alys n'avait pas vraiment l'intention de s'en préocccuper plus que cela. Après tout, c'était elle qui l'avait endommagé. Elle baissa les yeux sur son poignet, remarquant une goutte de sang. Celui de Quentin, assurément. Elle sourit et porta sa main à ses lèvres, léchant le liquide vermeille avec délectation.

« Oui, j'aurais pu. Mais je n'aime pas voir mes jouets abîmés de l'extérieur. Je préfère les blessures plus insidieuses, celles qui viennent de l'intérieur, celles que l'on croit bénignes mais qui finissent pas nous tuer. »

Elle le repoussa et l'allongea de nouveau complètement sur le sol, avant de se pencher totalement au dessus de lui, les deux mains posées de chaque côté de sa tête pour se retenir. Un mince filet de sang coulait le long de sa joue, résidu de ce qu'il avait craché plus tôt. Elle s'approcha lentement, un sourire provocant et aguicheur sur le visage, tandis que ses yeux rouges le fixaient. Dans le même mouvement, elle « rangea » ses ailes qui disparurent aussi vite qu'elle étaient arrivées. Puis partant de la mâchoire, près de son oreille, elle lui lécha très lentement la joue jusqu'à arriver à la commissure de ses lèvres. Elle s'arrêta et murmura tout près de sa bouche, la frôlant volontairement avec la sienne sans s'approcher.

« Finalement, je crois que je vais prendre mon temps avant de t'achever. Je ne suis pas nécrophile et j'ai vraiment envie de m'amuser. »

Elle rit. Cruelle.
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeDim 23 Juin - 11:56


Hybride : Minotaure

Quentin Johnson
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Personnage sur l'avatar : Yondaime, Hinamura, Soichirou (Kamisama no Memo-chou)







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Allongé, Quentin ne put s’empêcher de sourire, elle venait de l’avouer, elle ne tuait pas ses conquêtes, bien qu’il n’en était pas encore une. Il se lécha doucement les lèvres sous l’excitation, elle le faisait languir, et il comprenait très bien cela. Il ferma un instant les yeux, posant ses mains sur les cuisses de la jeune fille, les caressant faiblement alors qu’il tentait une nouvelle fois de se redresser. La douleur ne le tiraillait pas plus que cela, il était bien trop captivé par la jeune fille pour se soucier de lui-même, mais l’idée qui germait dans son esprit, se faisait de plus en plus oppressante.
 
Quentin profitait de la situation du mieux qu’il pouvait,  embrassant son cou une fois redresser, sa peau douce ne cessait de l’attirer, et non seulement peau, mais aussi le reste. Son débardeur cachait mal ses attributs, et il s’en délectait furtivement, y déposant un regard aussi fugace qu’il le pouvait. Il enleva sa main gauche de sur sa cuisse, en une lente caresse. Il inspira longuement, complotant visiblement quelque chose, dans le dos de la jeune fille.
 
Tout se passa très vite, la main sur sa cuisse attrapa un de ses couteau pendant qu’il lui mordait le cou en la tirant sur le côté de son bras. Il tentait de ne pas lui laisser le temps de ressentir ce qui lui montrait qu’elle se faisait dérober une arme. En même temps, Quentin bascula avec elle, inversant alors la position qu’ils avaient, pour se retrouver au-dessus de la jeune fille. Il était collé à elle le visage plongé dans son cou, lui embrassant, le mordillant alors que relevant le bras, il venait poser la lame contre le cou pâle de son gourou. Il avait néanmoins prit le temps de border les jambes de la jeune fille des siennes, c’était désormais lui qui dominait la jeune fille de son corps. De son autre bras, le gauche, il posa son avant-bras contre le bras droit de la jeune fille, forçant pour lui bloquer, la permettant seulement d’utiliser son bras gauche, tentant de mettre à l’abri ses côtes brisé. Il remonta sa langue le long de son menton, venant lui voler un baiser, envieux. Il appuya un peu plus la lame contre son cou. Mouvant légèrement le bassin, il sourit, la narguant en la caressant de sa virilité. Il déglutit avec difficulté, il était encore faible, et savait bien qu’elle retournerait aisément la situation à son avantage. Il la regarda dans les yeux, rompant le baiser pour articuler d’une voix amusé, maligne, mais néanmoins faible :
 

« Insidieuse… Que seul toi et moi sauront l’existence ? Dont tu pourras t’amuser à passer la main dessus juste pour t’avouer fièrement « c’est moi qui ai fait ça ». » Il soupira doucement, agréablement, reprenant son argumentation « Et maintenant, que cela fait-il donc de ne pas avoir pleine possession de la situation ? De sentir la lame froide de ta propre arme, retourner contre toi. Moi non plus je n’aime pas la nécrophilie, et j’espère que ta personne s’amuse autant que la mienne, car moi je m’en délecte. Chance tu as, je ne suis pas rancunier. Et abimé une peau comme la tienne me fendrait le cœur, presque comme tu l’eus fait. »
 
Il souffla doucement, la douleur omniprésente le tiraillait de temps à autre, se réveillant et s’endormant par à-coup. Il sourit une fois de plus, l’embrassant sans la perdre de vue, pressant la lame un peu plus à chaque fois qu’elle tentait quelque chose, comme pour lui annoncer la couleur, lui faire comprendre qu’il n’était pas dupe. Joueur, il finit par retirer la lame, la plantant à sa droite, près du bras libre de la jeune fille, pour lui prendre le visage en coupe, de ses deux mains, relâchant aussi son bras en murmurant alors :



« Ma dernière volonté, serais que l’on m’offre plus de temps avec toi. Mais je désire plus, bien plus.»
Il finit sa phrase en l’embrassant pour la troisième fois, aimant visiblement le gout de ses lèvres.
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeMer 26 Juin - 12:02



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Alys ne savait pas trop comment réagir, un peu déstabilisée par la situation, même si elle n'en laissait rien paraître. Elle avait bien conscience que le jeune homme n'était pas un faible mais la manière dont il avait d'ignorer la douleur était assez impressionnante, elle devait l'avouer. Elle n'aimait pas beaucoup ça, d'ailleurs, préférant que sa victime se plie de douleur sous ses doigts, crie, hurle et supplie. Son côté sadique et cruel n'était pas satisfait par l'indifférence de Quentin et cela la mettait en rogne. Pas beaucoup, non, juste assez pour qu'elle ait envie de lui faire encore plus de mal.

Elle soupira discrètement alors qu'il peinait à se redresser et l'embrassait dans le cou, ses mains toujours posées sur ses cuisses. Elle ne savait pas trop ce qu'il allait faire ensuite mais s'il lui réservait quelques surprises, elle n'allait pas s'en plaindre. Elle ne bougea pas d'un pouce pour l'aider, le laissant combattre la douleur le plus virilement possible. Seul un sourire un peu mesquin étira ses lèvres, signe du petit plaisir qu'elle prenait à le voir souffrir.

Puis elle se sentit tirée sur le côté, soudainement.

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, elle se retrouva sur le dos, Quentin au dessus d'elle et une lame sur le cou. Sa lame. Il avait placé sa tête au creux de sa clavicule et il lui mordillait la peau comme si c'était la dernière chose qu'il allait faire de sa vie. Et Alys avait effectivement bien l'intention de lui faire payer son insolence. Elle allait ouvrir la bouche pour sortir une remarque acerbe mais il l'embrassa, sans lui demander la permission.

« Profite donc d'être au dessus pour faire le malin, cela ne durera pas. » Elle lui sourit avec malice. « Et que ce soit mon arme ou la tienne, je m'en contrefiche. Tue moi, si tu t'en sens le courage. »

Mais il ne fit que l'embrasser de nouveau, appuyant un peu plus le petit couteau sur sa peau pâle. Alys ne bougea pas une seconde, dans l'attente d'un moment plus propice pour retourner la situation. Elle pouvait toujours se transformer sur le champ, lui faire comprendre radicalement qu'il n'avait aucune chance, mais elle préférait jouer plus subtilement, cachant bien son jeu comme un as du poker. Qu'il se croit le plus fort, cela ne la dérangeait guère, même si depuis le début, elle avait l'impression que ce n'était qu'une bataille puérile entre deux enfants, décidés à montrer à l'autre qui était le plus fort. Et Alys détestait perdre, là était le problème.

Plaçant ses deux mains autour de son visage, il la fixa droit dans les yeux et elle ne broncha pas. Qu'avait-il prévu encore ? Du temps avec elle ? Il ne la connaissait même pas ... Elle soupira.

Et il l'embrassa encore une fois.

Peu décidée à se laisser faire, Alys planta profondément ses dents dans la lèvre inférieure de Quentin, attrapant en même temps les deux bras du jeune homme pour le repousser. Elle ne le lâcha que lorsqu'elle sentit une goutte de sang tomber sur sa langue, un sourire aux lèvres. Elle le repoussa alors brutalement, frappant du plat de la main au niveau du sternum, juste assez fort pour lui couper le souffle et pour qu'il recule afin qu'elle puisse se relever. Elle le toisa pendant qu'il reprenait sa respiration.

« Navrée, je ne trouve pas le sol très confortable. » Elle lui sourit méchamment. « Tu devrais faire attention, tu sais. Tu as quelques côtés brisées. » Elle rit, impitoyable. « Il serait malheureux que l'une d'elles te transperce la peau par hasard, tu ne crois pas ? »

Elle s'approcha de lui à pas lents et s'accroupit à sa hauteur, avant de lui attraper le menton entre ses doigts. Son pouce passa sur la lèvre ensanglantée du jeune homme et son sourire s'accentua.

« Tu es un peu trop abîmé pour que je te mette dans mon lit. »

Elle rit, moqueuse.
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeVen 28 Juin - 22:30


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Quentin Johnson
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Quentin se sentait vraiment mal, à genoux et assis sur ses chevilles, il avait une main sur son thorax, essayant de respirer, sans y arriver, le temps lui paraissait plus lent, et en la voyant s’approcher, il n’eut pu que lever les yeux, faire un effort lui demander une force faramineuse tandis qu’il se concentrait pour reprendre un peu d’air, son corps flanchait. Il balbutiait, bégayant tandis qu’il essayait d’inspirait une quelconque bouffer d’air, rien, le néant.

Il ne comprenait vraiment pas la jeune fille, il n’arrivait à savoir si la jeune fille voulait si ou ça. Qu’attendait-elle de lui ? Elle l’énervait, vraiment, prendre quelque coup pouvait être amusant, excitant, mais là il en était trop. Le regard mauvais jusqu’au plus profond de ses prunelles, Quentin la détruisait du regard. Les poings serrés, il la laissa s’avancer mais la caresse sur ses lèvres fut de trop, il avait compris qu’elle aimait son sang, mais elle n’avait au final rien à faire de lui, il jouait tout seul. Et ça, il n’aimait pas.
Il finit par entre-ouvrir les lèvres, sa longue inspiration se fit entendre alors qu’il réussissait enfin à avaler de l’air, emplissant douloureusement ses poumons. Il grimaça faiblement, désemparer. Il poussa d’un rêver de la main celle de la jeune fille, la poussant même sans y aller de main morte. Il grogna, gronda, geignant son mécontentement alors que des bruits de craquement d’os se faisaient entendre. Il tomba sur le côté, accroupi contre le sol tandis qu’il prenait en masse musculaire, déchirant ses vêtements. Peu à peu, sa peau était recouverte de poils, ses membres inférieurs n’ayant plus vraiment ceux d’un humain. Il commença à se relever, sa nouvelle carrure nettement plus imposante. Il mesurait presque deux mètres cinquante désormais, tous ses membres avaient au moins doublé de volume, une bête, un animal, un monstre.
Quentin tournait le dos à la jeune fille, tentant plus de s’enfuir qu’autre chose, il avait l’air désorienter tandis que son corps subissait des modifications, ses pas était aléatoires, il ne marchait même pas droit. Il tenta de s’enfuir, gardant la tête baissé pour cacher les défenses qui avaient poussés sur son crâne. Il fit tomber une statue par maladresse poussant l’imposant bloc de pierre comme si c’était une vulgaire branche. Apres quelque pas, il tomba a genoux, tenant sa tête à l’aide de ses mains, vociférant des sons sans sens.

Il avait perdu son calme, complément, plus de self contrôle, plus rien, juste le néant, la colère, la frustration, tout cela pour rien, il comprenait que tout ce qu’il avait accompli, tout ce qu’il était près à accomplir, n’avait pas lieu d’être, plus rien n’importait, au final, tout cela n’avait pas de continuité, et cela le rendais malade, mauvais.
Il avait les yeux fermé, ses cris s’atténuant peu a peu alors qu’il commençait à reprendre le dessus sur ses émotions. Le jeune homme tentait de faire abstraction de la demoiselle princesse à l’égocentrisme surdimensionné.
Il ne prit pas la peine de se tourner vers la jeune fille, annonçant d’une voix calme, presque froide :

« Va-t’en. Je ne voudrais pas te blesser, et je n’ai plus envie de te parler non plus. Tu es venue me voir et j’en suis content, mais j’ai besoin d’être seul. »


Ses propos avait un ton menaçant, même si il n’en était aucunement, il donné l’impression d’être… résigné.
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeMar 2 Juil - 20:14



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Remords. Honte. Regrets. Scrupules. Repentirs. Alys ne connaissait pas ces sentiments, n'avait jamais appris à les accepter, à les ressentir. Elle n'était qu'une femme impassible, cruelle, trop sadique pour son propre bien, dépendante de la souffrance des autres. Elle se complaisait dans la douleur d'autrui, se délectant de la jouissance malsaine qui la parcourait lorsqu'elle voyait le sang de ses victimes couler, leurs corps tremblant, accablées par le mal qu'elle leur faisait. Elle se sentit sourire alors qu'elle examinait avec attention les spasmes de douleur du jeune homme, sa bouche entrouverte, signe de son asphyxie, ses yeux remplis d'une haine féroce qui la fit frémir d'anticipation.

La brutalité de ses gestes et la violence de ses actes faisaient bouillir son sang, alors qu'elle hésitait entre l'envie qu'il se venge et celle qu'il finisse par agoniser au point de ne plus pouvoir lever le petit doigt. L'aversion qu'il ressentait pour elle, la rancœur qu'il avait à son encontre, était presque tangible, quasi palpable sous ses doigts tâchés de sang. Ce mépris envahissant l'air, entêtant, l'excitait plus que n'importe quoi et son self-contrôle menaçait de céder à tout instant. Un pas qu'elle se refusait de franchir pour le moment, peu volontaire à l'idée de faire un massacre dans toute la ville, sous le coup d'une folie sanguinaire.

Il repoussa brusquement sa main, durement, l'obligeant à reculer. Elle se redressa vivement et fit quelques pas en arrière, surprise devant ce revirement brutal. Lui qui pouvait à peine bouger quelques secondes plus tôt ! Puis, sous ses yeux vermeilles, il commença à changer de forme. La jeune femme ne laissa rien paraître de son étonnement, observant attentivement chaque phase de la métamorphose. Bientôt, elle leva la tête, notant distraitement qu'il la dépassait dorénavant d'un bon mètre et que son bras devait faire deux fois sa cuisse. Un sourire carnassier étira ses lèvres minces.

« Tu cachais bien ton jeu. J'aurais presque pu continuer de croire que tu n'étais qu'un simple humain, mais tu viens de prendre trois échelons d'un coup sur l'échelle de l'attention que je suis prête à t'accorder. »

Elle leva un sourcil, seul signe de sa surprise, lorsqu'une statue se renversa sur son passage. Nul doute qu'une gifle suffirait à lui retourner trois fois la tête, s'il décidait subitement de se venger. Elle sortit ses ailes et s'approcha de lui, lentement, les sens aux aguets. Au moindre mouvement suspect, elle s'envolerait sans lui laisser ne serait-ce qu'une chance de la toucher. Elle tenait encore à la vie.

« Quand tu parles à quelqu'un, aies au moins la politesse de le regarder. Je me fiche que tu aies des cornes ou des poils, je ne suis pas la mieux placée pour juger ce que tu es. Alors si tu veux vraiment que je parte, retourne toi. Regarde moi dans les yeux. Et dis le moi clairement. Sans flancher. Sans peur. Sans hésitation. Avec toute l'honnêteté dont tu es capable. Et si tu es sincère, alors je m'en irais. » Ses mots claquaient sèchement, durs, empreints d'une conviction tenace. « Retourne toi. »
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeDim 7 Juil - 0:14


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Debout, la bête respirait longuement, ses épaules se soulevant et s’abaissant aux rythmes de ses inspirations. Malgré son avertissement, elle avait continué à rester là, à blablater encore, et encore, et encore. Etrangement, son dialogue avait un côté apaisant, surement sa voix, ou ces mots, qui soignaient ses maux. Il finit par se tourner, la morphologie de son visage était similaire a celle d’un taureau. Il n’avait néanmoins pas de piercing à travers sa cloison nasal inférieur, comme dans la mythologie ou autre. Il la dévisageait de ses deux gros yeux, ses sourcils froncés ne lui donnait pas un air gentil, inoffensif.
Elle ne cessait de le chercher, de le pointer du doigt, de le pousser a agir, a réagir, et cela avait un côté… agaçant. Il se retourna, agacé, elle n’avait de cesse de vouloir commander, dominer, et cela avait tendant à être de trop désormais. Il fixa un instant ses ailes, mouvant machinalement sa mâchoire inférieure de droite à gauche. Il sourit, les muscles bander, crisper, annonçant en tendant lentement une main jusqu’à la jeune fille, tentant de lui caresser la joue. Sa main avait doublé de volume, presque triplé, des armes de guerres. Plantant son regard dans le sien, Quentin articula avec difficulté :

« Je suis… fla… flatté… que je t’inte…resse. Mais oui… Je pense qu’il… vaudrait mieux que tu… t’en ailles, j’aurais peur… d’abimer ta jolie… peau. »


Il retira sa main, perpétuant le souvenir de la peau douce de la jeune fille. A ses inspiration, sa cage thoracique se soulevait d’une manière anormal, les côtes briser qu’il avait ne s’était visiblement pas «réparer » lors de sa mutation, et laisser apercevoir un léger creux à chaque inspiration. Il n’avait pas l’air d’être endoloris, il respirait sans aucune gêne apparente, bien que parler lui était difficile, il devait prendre son temps. Son corps, ses cordes vocales, n’étaient pas habituer, il n’était que très rarement sous cette force la, généralement, quand il y arrivait, il tuait, il faisait taire sa rage en abattant ses poings sur le visage d’autrui, fracassant leurs maigre squelette sous ses doigts, qui pouvait résister et exercé une pression plus phénoménale, comparer a un simple homme.

Il inspirait de plus en plus rapidement, de manière presque erratique tandis qu’il finit par se retourner a nouveau, montrant son dos à la jeune fille en annonçant sans la regarder.

« Reviens quand… je serais… calmé… Me retenir est… insupor…table. »


Sa voix avait un ton étrange, à la fois douce et colérique, il tentait tant bien que mal à garder le dessus, le contrôle de soi-même, à ne pas laisser la bête tout ravager pour lui. Il l’avait intéressé, et c’était tant mieux, il était alors presque certains qu’elle le reverrait, ou du moins, qu’elle voudrait le revoir. Marchant lentement vers le château qu’il tentait de s’approprié, Quentin l’ignorait, au moins à moitié. Ce qu’elle avait à dire, n’allait pas être si important que cela, normalement.*
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys] Icon_minitimeMer 10 Juil - 9:04



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Il se retourna, enfin. Alys le dévisagea sans gêne, l'observant dans les moindres détails. Sa carrure imposante était surmontée d'une tête de taureau expressive et menaçante. Entre le minotaure et la dragonne, c'était un véritable rassemblement de monstres ! Et lesdits monstres, féroces dans leur liberté, ne deviendraient que des ridicules bêtes de foires s'ils venaient à être découverts. C'était d'ailleurs l'une des raisons qui poussaient la jeune femme à tuer tous les témoins de ses transformations, quand ces pauvres victimes ne lui servaient pas déjà de repas.

Or Quentin, devant qui elle avait volontairement sortit ses ailes, était plus ou moins comme elle, une étrange créature capable de prendre forme humaine pour se dissimuler parmi les hommes. Il n'avait donc aucune raison de souffler mot de son existence aux autorités, ce qui signifiait ainsi qu'elle n'avait pas plus de motifs de le tuer. Cela l'arrangeait, d'ailleurs. Il lui avait permis de s'amuser et même si elle n'était pas une fervente adepte de la reconnaissance, elle savait remercier les gens. Parfois.

Il s'approcha d'elle, lentement, et lui caressa la joue alors que les mots peinaient à sortir, dans un souffle erratique. Elle sentit le poids de ses doigts sur sa peau et le fixa dans les yeux, un demi-sourire sur les lèvres.

« C'est gentil de t'inquiéter, vraiment, mais ma peau ne s'abîme pas aussi facilement. »

Des écailles rouges apparurent juste à l'endroit où il avait laissé sa main le temps d'un instant, quand bien même il l'avait déjà retirée. Ce fut rapide, éphémère, et elles se résorbèrent en moins d'une seconde. Il lui tourna alors le dos, l'enjoignant de disparaître avant qu'il ne perde le contrôle. Alys aurait adoré voir ça mais il y avait des limites qu'elle-même n'avait pas réellement envie de franchir. Elle adorait sa tenue et elle aurait détesté l'abîmer en se défendant contre un taureau enragé. Et puis, elle lui avait déjà brisé deux ou trois côtés. Il avait son compte pour la journée.

« A la prochaine, petit mino. ♥ »

Le sourire sur ses lèvres persista jusqu'à qu'elle atteigne les arbres en bordure du terrain et disparut en même temps que ses ailes, alors qu'elle rejoignait la civilisation.
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MessageSujet : Re: You take the breath right out of me, you let a hole where my heart should be. [PV Alys]
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